L'existentialisme est humanisme
Plan de l’oeuvre
Introduction (p. 21-25) : les critiques adressées par l’époque au « courant » existentialiste
Première partie (p. 25-30) : la définition rigoureuse de l’existentialisme
p. 26 : « l’existence précède l’essence »
p. 29-30 : « L’homme, si’il n’est pas définissable, c’est qu’il n’est d’abord rien. » « Ainsi, il n’y a pas de nature humaine puisqu’il n’y a pas de Dieu pour la concevoir. » « L’homme n’est rien d’autre que ce qu’il se fait. Tel est le premier principe de l’existentialisme. »
Deuxième partie (p. 30-51) : Explication des concepts fondamentaux de l’existentialisme
pp. 30-33 : l’homme est projet et responsabilité
p. 30 : « L’homme est d’abord un projet qui se vit subjectivement, au lieu d’être une mousse, une pourriture ou un choux-fleur ; rien n’existe préalablement à ce projet ; rien n’est au ciel intelligible, et l’homme sera d’abord ce qu’il aura projeté d’être. »
pp. 33-37 : l’angoisse et la tentative d’y échapper appelée mauvaise foi
pp. 37-47 : le délaissement. Première apparition du terme de « liberté »
p. 39 :« Il n’y a pas de déterminisme, l’homme est libre, l’homme est liberté. »
p. 39 : « l’homme est condamné à être libre. »
p. 40 : « L’homme est condamné à inventer l’homme »
p. 39 : « Si Dieu n’existait pas, tout serait permis » (Doistoïevski)
p. 40 : « l’homme est l’avenir de l’homme » (Ponge). Cette citation a la même signification que celle de Sartre « L’homme est condamné à inventer l’homme ». pp. 47-51 : le désespoir
p. 50 : « Il n’est pas besoin d’espérer pour entreprendre »
p. 48 : « Se vaincre soi-même plutôt que le monde » (Descartes)
Troisième partie (p. 51-56) : l’existentialisme prône l’action
p. 51 : « l’homme n’est rien d’autre que l’ensemble de ses actes »
p. 52 : « Un homme s’engage dans sa vie, dessine sa figure, et en dehors de cette figure, il n’y a rien. (...) Le