L’idéologie Nazie Les crises politiques, économiques et sociales des années 1930 se propagent juqu’en Allemagne et mènent Adolf Hitler; chef du parti nazi au pouvoir. Une fois nommé chancelier le 30 janvier 1933, il met en place une dictature. Les trois documents que nous avons représentent l’idéologie Nazie selon Hitler. Le Nazisme est une idéologie politique développée en Allemagne suite à la Première Guerre mondiale. C’est une doctrine politique d' extrême droite …afficher plus de contenu…

Nous pouvons donc nous demander en quoi la première guerre mondiale a unifié puis divisé le peuple Allemand. Dans un premier temps nous parlerons d’une nation puérile mais unie en période de guerre puis, dans un second temps, une période de guerre qui divise. La première guerre mondiale débute le 28 juillet 1914 au moment où l’empire Allemand (les Trois royaumes de Prusse, les six grands-duchés de Bade, de Hesse, de Mecklembourg-Schwerin, de Mecklembourg-Strelitz…) s’oppose à la France et ses alliés (Grande Bretagne, Belgique…). La guerre fait rage mais elle n'a pas un très grand impact sur le peuple. Sebastian Haffner dit que “l’âme collective et l’âme enfantine réagissent de façon fort semblable”. Les paroles prononcées par l'État sont simplifiées, de façon à ne pas créer de mouvement de masse telle qu’une révolution qui serait problématique en temps de guerre. Cette …afficher plus de contenu…

Le peuple est réuni dans la défaite et la tristesse, ce qui accentua encore le sentiment d'unicité. À travers cette guerre, la nation a été unie par le fait qu’elle partageait les mêmes idées, par une vision absolument identique de la guerre pour tous les habitants de tout âge, et par la défaite qui a en plus accrue l’idéologie nazie. Cependant la guerre a également été source de conflits et a divisé la population. Effectivement, la vision de la guerre n'était pas tout à fait partagée de la même manière par les soldats tout juste sortis du combat et les habitants. En ville la guerre était embellie et les soldats partaient “la fleur au fusil”. On leur apprenait que les balles adverses ne tuaient pas et que les soldats n’avaient donc aucune raison de s'inquiéter. Mais