L’ENSEIGNEMENT DU DROIT COMPARE
Introduction :
Des moyens énormes ont été consentis dans des facultés pour rénover l’enseignement du droit comparé. Ce dernier connait une importance minime dans les facultés de droit à cette ère de mondialisation. Une différence subsiste entre le droit comparé et le droit international. De nos jours, où l’efficacité est de mise, les cours de ces droits deviennent une option et ne connaissent pas le succès qui leurs sont dû ; ce qui finalement décourage les enseignants du droit comparé.
Pour donner une valeur à cette discipline, le professeur Antoine Lyon-Caen, a remis un rapport au ministre de l’éducation nationale sur le développement du droit comparé en France. Il évoque la place peu enviable qu’occupe le droit comparé dans l’enseignement du droit nonobstant ses valeurs.
Il critique, le fait qu’en France le droit comparé soit orienté vers la : , tandis que les nouvelles exigences restent celles d’une élite mais aussi de ceux qui pratique le droit.
La pratique du droit comparé est peut-être encore trop négligée en France. L’on doit oublier l’image traditionnelle qu’il comporte. Tel qu’il se présente, le cours de droit comparé n’épargne pas surement les questions pratiques et méthodes modernes de l’enseignement. On ne doit pas réduire un cours de droit comparé à un ensemble d’exercices pratiques. Il permet de donner aux étudiants les moyens de devenir des >.
Les diverses sources internationales du droit affectent la nature même du droit comparé. C’est pour cela qu’après avoir répondu au questionnaire du rapporteur général, Mr Gabriel Moens nous invite à quelques libres propos sur le droit comparé.
1- Réponses au Questionnaire :
Le questionnaire présente une liste étendue et de questions détaillées, qu’on regroupera par thèmes. Certaines sont étrangères à la tradition universitaire française. Le plan du questionnaire quant à lui présente une contradiction dont l’approche littérale ne saurait