L’être humain a peur de la vie et il est surtout en quête de la sécurité de l’existence. il cherche, tout compte fait, davantage à survivre qu’à vivre. or survivre, c’est exister sans vivre… et c’est déjà mourir
Dissertation française
Sujet : « L’être humain a peur de la vie et il est surtout en quête de la sécurité de l’existence. Il cherche, tout compte fait, davantage à survivre qu’à vivre. Or survivre, c’est exister sans vivre… et c’est déjà mourir »
A l’heure actuelle, cette citation est un reflet d’une grande partie de la population et vous en faites peut-être parti. Effectivement, Nous pensons davantage à survivre qu’à vivre car la vie nous fait peur. Nous préférons baliser nos existences et éviter un maximum les surprises. Nous ne somme pas les acteurs de notre vie comme on devrait l’être. Mais si nous ne vivons pas … c’est que nous mourrons.
Nous nous accrochons à la vie mais nous ne la vivons pas. Nous nous attachons à notre existence. Exister est un fait et nous n’y pouvons rien. Vivre est un art, nous devons en avoir envie, ensuite la concevoir, l’inventer, enfin la réaliser, la modeler et cela à travers tous les imprévus, qu’ils soient positifs ou négatifs, qui surviennent. Nous préférons vivre comme des moutons, sans trop réfléchir, sans être audacieux, sans essayer de poursuivre nos rêves malgré qu’ils soient nos raisons de vivre. La sécurité est notre quête principale. Nous ne vivons pas, nous survivons.
Le fameux « métro – boulot – dodo » démontre effectivement que nous restons dans un cercle d’existence qui reste le même. Nous continuons à suivre le même rythme pour être en sécurité. Cette monotonie ne réserve aucunes surprises, aucuns bouleversements. Les personnes suivant ce mode de vie devrait se poser la question : « Suis-je vivant ? ».
A force de vouloir sécuriser notre existence, nous oublions de vivre et d’être heureux. L’écrivain Jules Renard disait : « Si l'on bâtissait la maison du bonheur, la plus grande pièce en serait la salle d'attente ». Les gens attendent souvent le bonheur, sans apprécier celui qu’ils ont déjà car ils ne le remarquent pas. La recherche de notre sécurité absolue nous empêche de