Résumé «À Calais, chez les radicaux sans frontières»
L'article «À Calais, chez les radicaux sans frontières», écrit par Denis Demonpion et Elsa Vigoureux et publié le 28 août 2014, traite de « No Border », une organisation d’activistes qui affirme qu’elle s’engage pour les migrants et trouve qu’ils devraient avoir le droit d’habiter où ils le souhaitent.
Cet article est divisé en trois domaines thématiques dont le premier aborde l’histoire et des faits sur No Border. Selon les auteurs, le groupe a été créé dans les années 90 en Allemagne par des partisans de l’idée d’un monde sans frontières. Aujourd’hui, certains membres qui généralement appartiennent à différents secteurs professionnels, se trouvent à Calais, une ville pauvre qui sert d’escale pour les émigrants dont la destination est la Grande-Bretagne. De plus, en recourant à l’internet, No Border a formé un grand réseau. En outre, un de ses défenseurs, Martin, est présenté. Venant d’une famille française socialement engagée, il explique que leurs actions sont dirigées contre l’UE et visent à entraver sont travail. Le deuxième sujet concerne les relations de No Border avec d’autres organisations d’assistance et des politiciens. D’après Demonpion et Vigoureux, No Border critique le fait prétendu que les autres organisations s’occupent seulement des besoins physiques tandis qu’eux se soucient des besoins mentaux aussi. Les collaborateurs des organisations de secours, en revanche, pensent que No Border provoque des conflits sans aider les émigrés. Quand même, certains croient que No Border a réussi à consolider les droits des citoyens et migrants vis-à-vis de la police. Par contre, des politiciens comme Emmanuel Aguis uniquement ont une mauvaise opinion de No Border. Agius prétend que c’est un mouvement d’extrême gauche qui utilise les migrants à ses propres fins. Selon le Ministre Cazeneuve, No Border donne aux émigrants des faux espoirs d’une vie en Grande-Bretagne. D'ailleurs Cazeneuve souhaite