Aujourd’hui, nous évoluons dans un système prônant la rapidité ( transports, informations, communication, échanges ...) ce qui a modifier nos comportements de consommation. La croissance et la facilité des communications ainsi que la forte concurrence des marchés ont poussé nos industriels à revoir leur compétitivité et pour cela se tourner vers des conductions de production plus avantageuses, autrement dit vers des pays pratiquant de bas salaires. La délocalisation fut amorcée dans les années 60, d’abord développée dans les secteurs de grande consommation et à fort contenu de main d’oeuvre, elle s’est ensuite élargie avec la mondialisation vers d’autres secteurs. Mais à l’heure actuelle, d’un point de vue plus territorial, comment nos entreprise peuvent-elles faire face aux problèmes de production, faut-il encore délocaliser ? Dans un premier temps nous étudierons en quoi ces échanges sont bénéfique, puis nous noterons qu’il ne sont soumis à conditions.

Comme André -Yves nous l’explique à travers son article, le but primaire des délocalisation était de conserver les taches noble pour les pays industrialisé afin de devenir des moteurs de progrès , d’innovation et de délecter les fonctions plus frustes de la fabrication à des pays en voie de développement . En se détachant des taches les moins « nobles» les pays industrialisés ont contribué à l’émergence rapide de pays pauvres voulant s’insérer dans l’économie mondiale, et ont pu plus rapidement accéder à des techniques modernes en achetant des machines grâce aux gains des exportations. Grace à ces échanges, on constatera également une évolution concernant la société juridique, une lutte plus concrète contre la corruption, un effort pour l’éducation ainsi que la construction de nouvelles infrastructures.
Les pays développés tirent également un énormes bénéfices de cette situation, le cout de la mains d’oeuvre étant nettement avantageux dans les pays en voie de développement permet une réduction du cout final