Au cours XXᵉ siècle, un metteur en scène appelé Peter Brook dépose son empreinte dans l’histoire. Il dévoile au grand jour sa renversante vision du théâtre. Un tapis et des comédiens, c’est son seul besoin. Il part de rien et crée une pièce émotionnellement renversante, à l’aide de sa troupe. Il expérimente le vide comme moyen d’expression. C’est par cette thématique que l’on découvrira l’esprit de Peter Brook. On parlera du rôle du metteur en scène, des moyens d’expressions ainsi que des méthodes pour les développer et de la relation du metteur en scène avec les comédiens. D’entrée de jeu, Peter Brook se distingue des autres metteurs en scène avec un processus de création hors du commun. Il ne possède aucune technique de création spécifique. Il n’a mit en œuvre aucun système pour monter une pièce. En fait, il s’engage dans chacun de ses projets par de simples sentiments informels. On peut donc affirmer qu’il commence son travail à partir de rien. Autrement dit, il découvre et développe ses idées à l’aide d’expérimentations. Ainsi, le travail de création démarre avec les comédiens. Il est conscient que les formes de représentation, développées au cours des expérimentations, sont destinées à être constamment modifiées. C’est pourquoi les répétitions avec les artistes sont le principal moteur créatif. Les acteurs sont libres d’improviser et de révéler leurs pensés pour enrichir la pièce. Dès le premier jour de travail, certains metteurs en scène se présentent en annonçant aux artistes le spectacle entièrement préconçues. À l’opposé, Brook commence le processus de création aux répétitions. Il n’impose rien et laisse l’entière liberté aux comédiens de s’exprimer tel qu’ils le ressentent. Il n’inflige aucune censure. Il encourage ses interprètes à proposer de nouvelles inspirations et il s’encourage lui-même à atteindre de nouvelles limites de création. Ainsi, avec cette méthode de recherche, il obtient une abondance d’idées burlesques et excessives. Selon