Être un bon entraineur
Lorsque l'on cherche la définition du verbe « entrainer » , on trouve principalement celle qui évoque le fait de préparer une personne à une performance au moyen d'exercices appropriés. Cela étant, il est également dit qu'il s'agit de conduire quelqu'un en lui exerçant une pression moral. Dans ces deux définitions, il n'y a pas d'allusions au sport. Nous pouvons donc nous interroger sur la façon d'agir lorsque l'on est un entraineur sportif et ainsi nous demander, plus précisément, qu'est-ce qu'un bon entraineur? Pour répondre à cette question, nous allons nous pencher sur le rôle respectif de l'entraineur et celui de son athlète. Dans un second temps nous parlerons du lien entre l'entraineur et l'entrainement. Nous ferons pour finir une synthèse afin de répondre à la problématique donnée.
Pour ma part, il est assez difficile d’admettre qui est un bon entraîneur et qui ne l’est pas. Pour en être un, il faut posséder certaines facultés et correspondre à plusieurs critères. En effet, tout le monde ne peut pas être entraineur, il faut avant tous un esprit de partage, une volonté d'apporter des valeurs à autrui, c'est une sorte d' « éducation ». Son athlète, lui, joue également un rôle important pour que l’entraînement soit concluant car chaque individu ne reçoit et n’interprète pas les informations données de la même façon. Pour que le duo entraîneur/athlète fonctionne, il faut que les deux personnes se comprennent et des liens doivent se créer car l’entraîneur fait aussi parti de l’équipe : cela est l’un des principaux défis d’un entraîneur. Il doit pouvoir comprendre son athlète et savoir s’y adapter. Il doit savoir agir en conséquence pour que ses entraînements soient le plus bénéfiques possibles. L'athlète lui, doit savoir être à l'écoute et ouvert face à son entraineur. Certes, un athlète qui ne comprend pas son entraineur, ne sera pas performant lors des entrainements. De façon plus générale, parlons