Aladin, ou la lampe merveilleuse

par

Le magicien africain

Il est le « grand  méchant » de l’histoire : cupide, sans scrupule, calculateur, manipulateur, etc. Tout est bon pour servir ses intérêts. Utilisant sans complexe la mort du père du jeune Aladin, il entraîne le jeune homme dans une sombre caverne, et n’hésite pas à l’enfermer sans possibilité apparente de sortie, uniquement parce qu’il n’a pu obtenir immédiatement ce qu’il désirait. Comme dans de nombreux contes, sa mauvaise conduite sera punie. Ici, c’est par la mort qu’il sera châtié. Par un plan simplement conçu, Aladin et la princesse parviennent à endormir ses sens et à  l’empoisonner : « En achevant de le vider, […]  il demeura quelque temps en cet état, jusqu’à ce que la princesse […]  vit que les yeux lui tournaient, et qu’il tomba sur le dos sans sentiment. »)

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