L'adolescence clémentine
par Clément Marot
Épitaphes
Cette section propose une progression du plus sérieux au plus léger. On observe une variété de mètres et de vers. Le ton passe de la déploration à un ton plus ambiguë. On passe de la mort la plus courte à la mort la plus longue. Le style est lapidaire comme pour imiter les pierres tombales. Il est difficile de savoir s’il y a un ordre chronologique, et de qui Marot parle. Ce sont moins de personnes dont il s’agit que de types sociaux et de leurs différents comportements face à la mort. Ce qui est mis en avant est le théâtre du monde. La dernière épitaphe est une réflexion sur le genre et rappelle l’esthétique des danses macabres.