21 juin

heurte au refus de l’administration, qui le maintient à la préfecture. La France est envahie le 10 mai 1940 et Jean Moulin s’efforce de maintenir le calme en Eure-et-Loir. En tant que préfet, il va bientôt devoir faire un choix déterminant. En effet, en juin 1940, les nazis lui soumettent une déclaration selon laquelle un groupe de tirailleurs sénégalais appartenant à l’armée française aurait commis des crimes graves. Conscient de l’innocence des accusés, Jean Moulin refuse de signer le document. Ayant

mitrailleurs d’Eure-et-Loir, mais un problème de vue l’empêchera de continuer. Il décide de passer l’examen médical à Tours qui cette fois ci le déclare apte. Mais le ministère de l’intérieur l’éloigne encore une fois de ce poste. Il se fait arrêter en juin 1940 par Allemands à cause d’un refus d’accuser une troupe de tirailleurs sénégalais de l’Armée Française d’avoir commis des atrocités envers des civils, en réalités victimes de bombardement allemands. Il sera maltraité et enfermé pour refus de complicité

infirmité et n'entraîne donc aucun droit à pension d'invalidité. C'est dans cet abîme de détresse que quelques-uns d'entre eux, refusant le désespoir et la pitié, s'élevèrent au-dessus de leur condition de mutilé pour proclamer leur humanité. Le 21 juin 1921, à l'initiative de deux « grands mutilés», Bienaimé Jourdain et Albert Jugon, une quarantaine de soldats blessés au visage créent l'Union des Blessés de la Face, qu'ils surnomment les " Gueules Cassées " : Ils en confient la présidence au Colonel

Béziers dans une famille aisée, Jean Moulin entre dans la carrière administrative. Sous le Front Populaire, il fait partie du cabinet de Jean-Pierre Cot, ministre de la Guerre. Lorsque la guerre éclate, il est à Chartes sous Préfet d'Eure-et-Loir. En juin 1940, il mène ce qu'il appelle "son premier combat" : il refuse de signe une déclaration imposée par un officier allemand ; menacé, il tente de se taillader la gorge. Révoqué par le Gouvernement de Vichy, il noue des contacts avec des mouvements de

Résistance. Le 21 juin 1943, Jean Moulin est arrêté par la Gestapo à Caluire. Torturé par Klaus Barbie, responsable de la Gestapo à Lyon, il meurt, sans avoir parlé, le 8 juillet 1943 lors de son transfert en Allemagne. Les cendres de Jean Moulin reposent aujourd'hui au Panthéon. Charles de Gaulle, né le 22 novembre 1890 à Lille et mort le 9 novembre 1970 à Colombey-les-Deux-Églises en Haute-Marne, est un général, écrivain et homme d'État français. Après son départ pour Londres en juin 1940, il devient

II L’Auteur a) Jean-Paul Sartre est né le 21 juin 1905 à Paris. En septembre 1906 son père décède. A cette époque, Sartre part avec sa mère s’installer à Meudon, chez ses grands parents maternels et il y restera jusqu’en 1911, date à laquelle la famille déménage à Paris « En 1911, nous avons quitté Meudon pour s’installer à Paris, 1, rue le Goff (…) » b) le 21 juin 1905 Sartre est né. Puis en octobre 1915, Sartre rentre au petit lycée Henri IV à Paris

mais elle avait la volonté d’aider ceux qui souffre (elle allait régulièrement faire des cures à Villard de Lans pour reprendre des force. Pendant ces cures, elle prenait plaisir de raconter des histoires le soir aux enfants malades comme elle). En Juin 1940 elle entend l’appel du général De Gaulle et décide tout de suite d’entrer dans la résistance . Elle n’avait jamais entendu parler de cet homme mais ses idées lui plaisaient . Elle en fait par à sa meilleure amie (la conseillère principale d’éducation

l’air sous le gouvernement du front populaire et il participa « aux livraisons clandestines d’armes aux Républicains espagnols ». En 1939 il deviendra préfet de l’Eure-et-Loire à Chartres. Les représentants de la République restent en fonction après juin 1940 afin de défendre les valeurs de la France et d’entrer dans une résistance contre la collaboration du maréchal Pétain avec les occupants. Jean Moulin, au nom de l’honneur de l’armée française, refusera de signer le ‘protocole’ dans lequel figure

Jean-Paul Sartre est un philosophe et écrivain français (dramaturge, romancier et nouvelliste), né le 21 juin 1905 à Paris et mort le 15 avril 1980 dans sa ville natale. Sa vie d'intellectuel révolutionnaire a suscité polémiques et réticences. Prolifique et hyperactif, il est autant connu pour son œuvre, et notamment ses paradigmes philosophiques que l'on regroupe sous le nom d'existentialisme, que pour son engagement politique à l'extrême gauche[1]. Sartre est connu aussi comme le compagnon de la

1905 Naissance le 21 juin à Paris. 1906 Mort de Jean-Baptiste Sartre, son père, qui était enseigne de vaisseau . Il est terrassé par une fièvre asiatique 1915 Jean-Paul Sartre est élève au lycée Henri-IV 1917 Sa mère qui s'est remariée s'installe avec le beau-père de Jean-Paul Sartre à la Rochelle 1924 Il entre à l'Ecole Normale Supérieure. Il y fait la connaissance de Raymond Aron, Paul Nizan, et Maurice Merleau-Ponty 1929 Il est reçu premier à l'agrégation de philosophie. Simone de Beauvoir