Bouddhisme

Le patrimoine religieux bouddhiste Le bouddhisme est une religion originaire de l’Inde qui s’est répandue surtout dans le sud-est asiatique et la Chine. Elle est présente au Québec depuis le XIXe siècle, mais c’est surtout dans la deuxième moitié du XXe siècle que sa présence s’est accrue, dû en grande partie à l’immigration en provenance de certains pays de l’Asie. Depuis les années 1960, mais surtout les années 1990, on a construit des pagodes bouddhistes et réaménagé des espaces (sous-sols

Bouddhisme : origine, philosophie À l'origine du bouddhisme... ... on trouve un homme : Siddhartha Gautama, né vers 560 av.J.C. dans le Nord Est de l'Inde. À l'époque où il naît, les gens sont désillusionnés par rapport à l'hindouisme. L'idée des réincarnations les terrifie et ils se tournent vers diverses croyances, entre autres l'adoration d'animaux. C'est un terrain tout à fait favorable à l'accueil de la doctrine bouddhiste. Mais avant de parler de la doctrine, voyons de plus près qui

Sous le régime de Soeharto, le bouddhisme faisait partie des cinq religions officiellement reconnues parmi lesquelles les Indonésiens devaient choisir pour remplir l'obligation de faire mentionner leur religion sur leur carte d'identité. Les chiffres officiels de 1998 indiquent que 88 % des Indonésiens sont musulmans, 5 % protestants, 3 % catholiques, 2 % hindous, 1 % bouddhiste, et 1 % d'"autres" religions1. L'Indonésie maintient son passé hindou-bouddhique. Une illustration en sont les armoiries

Les fondements du Bouddhisme, comme on l’appelle en Occident, se concentrent autour des Sutras. Ces derniers sont les écrits issus des paroles et discours du Bouddha. La compréhension des sutras est problématique en raison de leur diversité et complexité. Afin de mieux appréhender l’histoire du bouddhisme, nous étudierons ici l’évolution des sutras. On date la naissance du bouddhisme au Ve siècle avant J-C, en Inde. Siddharta Gautama, le premier Bouddha s’est beaucoup inspiré de son époque. Il

tient aussi à préciser divers points concernant le "Bouddhisme tibétain ou Vajrayâna", si en vogue actuellement et dont la diffusion en Occident atteint des proportions considérables (selon les pays plus de 60 % des centres bouddhiques, toutes écoles confondues). Nous tenons aussi à mettre en garde, selon le "discernement juste", les personnes qui seraient attirées par le côté ésotérique, prononcé et sous-jacent, de cette "forme" de Bouddhisme; ceci en fonction de différents éléments que l'on trouve

BOUDDHISME La Conception du Bonheur Le bonheur que nous pouvons, ressentir dans la vie quotidienne, lorsqu’une soif particulière ou une envie est satisfaite est la signification/conception ordinaire que nous donnons à ce mot, Dans le bouddhisme , le bonheur est présent seulement quand il n’y à plus aucune soif, aucun désir. On peut dire que le bonheur du bouddhiste est lié à l’absence de soif. Et à partir du moment ou nous n’avons plus de désir(de “soif”), nous ne souffrons pas de ne pas pouvoir

 LE BOUDDHISME DANS LE MONDE 1. 1. Origines et fondateur(s) du courant religieux : Le Bouddha Shâkyamuni, aussi appelé Siddharta Gautama. 2. Contenu et croyances spécifiques : Fondé sur les notions indiennes de rétribution (gain accordé à la suite de bonnes actions ou de travail) des actes - Karma - et de cycle des renaissances - Samsâra -, le bouddhisme prône l'acquisition de la vue correcte des choses, soit la perception

simplement, la question pourrait être : Qu’est-ce qui nous rend heureux, joyeux ? Il s’agit ici de satisfactions physiques, palpables et non intellectuelles ou théoriques (non négligeables mais pas abordées dans cette page). Pour aborder ce thème, le bouddhisme utilise la notion de ce qu’on appelle le principe des "6 racines". Dans les 6 racines, il y en a 5 que l'on connaît bien. Elles correspondent aux 5 organes des sens. Ce principe explique que nous ressentons joies et peines à travers nos 5 sens"

Partie 2 :L’enseignement bouddhiste Au Bouddha en refuge je vais, Au Dharma en refuge je vais, Au Sangha en refuge je vais. Après avoir prononcé ce texte, ils se voient remettre leurs robes et leurs bols avec lesquels il feront l’aumône de riz quotidien du lever du soleil à midi. L’après-midi est consacré à la méditation, l’étude et la contemplation. Les moines sont tenus de respecter l’éthique bouddhiste qui est basée sur le fait que les actions du corps, de la parole et de l’esprit

Bouddha, deux écoles propagèrent sa doctrine : celle des Anciens ou Theravàda et celle du Grand Véhicule ou mahàyàna. Toutes deux enseignèrent et enseignent la pratique de la méditation considérée comme base pour parvenir à l’Eveil. THERAVADA Le bouddhisme theravāda (doctrine des Anciens) souligne le fait d'être attentif (sati) et inclut deux pratiques : -Samatha bhavana, le développement de la tranquillité, mène à l'atteinte des dhyānas, de profonds niveaux de concentration. Elle vise également