Histoire du Divertissement

point de vue par le biais d'une histoire : - L'apologue, (récit court amusant, qui au dela de son aspect enfantin instruit le lecteur par le biais d'une morale ) récits fictifs ... . N'est -il pas préférable de convaincre par le biais d'une histoire que par un long discours austère ? II - inconvénients d'avoir recours aux fictions littéraires/apologues : cela peut déconcerter le lecteur, réduire la porter du texte : Ainsi, exposer ses arguments sans histoire, sans conte III- depassement

Les divertissements au Japon Introduction Que le divertissement soit signe et source de malheur, la tradition moraliste occidentale nous l'a laissé entendre depuis quelques siècles. De la même manière, le Japon médiéval a considéré le plaisir ainsi que les institutions qui le portent comme un danger pour ses fondements politiques et religieux. Néanmoins loin de le bannir, institutions politiques et religieuses lui reconnaissent une fonction dans la société à la fois en termes de culture et de

oublier le livre d’imprimerie comme les tablettes autrefois. Un monde sans livre est assez difficile à concevoir, puisse qu’il apporte à l’individu divers éléments indispensable à notre développement intellectuel tel que l’apprentissage, le divertissement, et les transmissions. Le livre à toujours été associé à la connaissance et à l’apprentissage. Enfant, nous avons tous appris à lire sur un lire sur un livre avec le doigt sur le papier pour se repérer dans le texte. Le livre permet d’apprendre

origines (Jérémy) II/ Le genre et la fonction Le « fait divers » appartient à un genre particulier du monde des médias et à un type d’écrit journalistique. Il se caractérise surtout par une forme très concise et dense. Il raconte généralement une histoire particulière qui s’est déroulée dans la société. Un fait divers doit avoir son essence dans un fait qui sort de l’ordinaire : il est à la fois un acte singulier tout en étant extraordinaire. Souvent, ce que raconte ce fait se produit à l’encontre

atroces? "Le théâtre comme la peste est une crise qui se dénoue par la mort ou par la guérison. ", dit Antonin Artaud en 1938, dans Le théâtre et son double. D’après cette citation, le théâtre est un genre littéraire qui raconte une histoire se finisant soit par une fin tragique ou bien par une fin heureuse. Nous pouvons nous demandez si la seule vocation du théâtre est de représenter le mal sur scène. Pour répondre à cette problématique, nous aborderons d'abord le

définir le « rôle » que devraient jouer les médias dans notre société. On pense à l’information, car le principal avantage que possèdent les médias est la diffusion d’informations et de nouvelles à grande échelle à la population, puis l’offre d’un divertissement à son public. Selon moi, tout le débat sur le rôle des médias tourne autour de la qualité de l’information et du dosage de ses deux aspects dans les médias. Selon moi, il est possible, peu importe ce dosage, que les médias jouent bien leur rôle

prennent de plus en plus de place dans les loisirs des enfants, adolescents… Mais faut-il être pour ou contre ce type de divertissement ? Le jeu-vidéo serait-il mauvais ? Les jeux-vidéo sont tout d’abord un divertissement, pour se reposer après un travail ou alors pour s’occuper lorsque l’on s’ennuie. On peut aussi dire que c’est devenu un art : un film jouable, une histoire que l’on vit… Mais en plus d’être divertissants, ils peuvent améliorer les capacités du joueur. C’est le cas des jeux

Quichotte ne sera pas présent. Nous allons alors nous demander comment ce passage nous donne une vision globale de la littérature. D’abord nous allons voir des descriptions aux multiples buts, ce qui nous amènera a voir le livre présenté dans son histoire et nous finirons par voir une réflexion sur les acteurs du livre. I/ Des descriptions au multiples butsUn but d’éloge Chaque livre qui n’est pas brulé est complimenté : à propos du livre Les Quatre livres

de l’Occupation, ou de nombreux écrits des Lumières…). II – Mais la littérature peut très bien se passer d’intentions instructives 1) La littérature de divertissement n’a pas d’autre ambition que de procurer un agrément à son lecteur. L’écrivain ne cherche alors surtout pas à instruire. Il veut procurer au lecteur le plaisir du divertissement, du dépaysement, du rire sans arrière-pensée. Les romans d’aventures, la littérature fantastique, ou, dans un tout autre domaine, le théâtre de boulevard

passer les effets comiques au peuple, assemblé en plein air, très friand de ces courts divertissements. Souvent, la farce est porteuse d’une morale. De nombreuses farces fonctionnent sur le rapport de force entre le trompeur et le trompé. Le jeu consiste à tromper l’autre, à le farcer. Le visage du farceur, quand il n’est pas masqué, est maquillé à l’aide de farine. C’est Molière, friand de ce genre de divertissement, qui a hâté le passage de la farce à la comédie. LA FARCE DU CUVIER Farce en quatre