Psychologie Cognitive

née dans les années 1970 en « croisant les apports méthodologiques de la cybernétique, de l’informatique, de la linguistique avec, d’une part, les approches communicationnelles issues de l’École de Palo Alto et d’autre part l’apport des sciences cognitives »; ses fondateurs sont R. Bandler et J. Grinder. L’idée de base est que l’individu se sert du langage pour communiquer et il utilise son cerveau et son corps pour se faire comprendre d’autrui Définir la PNL, décrire ses présupposés ses fondement

et cognitives françaises. Gustave Guillaume, Bernard Pottier, Maurice Toussaint, Antoine Culioli, Paris – Honoré Champion, coll. « Bibliothèque de grammaire et de linguistique » n° 24, 2006. 316 p. M. Valette propose ici une investigation originale tenant à la fois de la tâche de l’historien et de celle de l’épistémologue, par laquelle il entend « évaluer l’hypothèse selon laquelle la psychomécanique du langage de Gustave Guillaume est, d’une certaine façon, la première linguistique cognitive française

Le FIGARO économie LUNDI 27 MAI 2002 AGENCE Impact Mémoire applique les sciences cognitives à la publicité Comment optimiser la mémorisation d’une communication publicitaire ? C’est à cette problématique que le cabinet d’études et de conseil Impact Mémoire tente d’apporter des réponses aux annonceurs (comme Humex, Lou, Unilever, ect.), aux agences et analystes média. A l’origine de la création de cette structure, celle de Bruno Poyet, directeur de la société d ‘expertise média Climats Médias, Bernard

Dans son texte Alain expose sa thèse dès la première phrase : penser c'est dire non. Dès lors, nous pouvons séparer cette thèse en deux parties: d'un coté « penser » et de l'autre « dire non ». Mais qu'est ce que penser? En philosophie, comme dans la vie ordinaire penser se définit comme un ensemble de phénomènes produit par l'action de l'esprit. Employé dans un sens plus ou moins large, ce terme renvoi tantôt à toute les manifestations de la conscience quelle que soit leur nature, tantôt aux seuls

"La conscience n'est qu'un réseau de communications entre hommes ; c'est en cette seule qualité qu'elle a été forcée de se développer : l'homme qui vivait solitaire, en bête de proie, aurait pu s'en passer. Si nos actions, pensées, sentiments et mouvements parviennent _ du moins en partie _ à la surface de notre conscience, c'est le résultat d'une terrible nécessité qui a longtemps dominé l'homme, le plus menacé des animaux : il avait besoin de secours et de protection, il avait besoin de son semblable

l’action décidée par l’autorité Perte du sens de la responsabilité Pas d’atteinte à l’image de soi en cas d’actes odieux Facteurs de maintenance Continuité de l’action  on a commencé, il faut finir = dissonance cognitive (Festinger) : l’action continuée « répare » le mal « Protocole » de la situation (qui est élaborée de sorte qu’aucun compromis n’est impossible) Anxiété surmontée (« Je ne suis pas comme cela ») : tremblement, ricanement, embarras

courant de pensée propose une approche de la communication centrée sur la transmission d'informations. Il s'intéresse aussi bien à l'interaction homme-machine qu'au processus psychique de la transmission de connaissances (avec l'appui des sciences cognitives). Un second courant, porté par la psychosociologie, s'intéresse essentiellement à la communication interpersonnelle. La communication est alors considérée comme un système complexe qui prend en compte tout ce qui se passe lorsque des individus

On l’attribue au moins aux grands singes hominoïdés comme le sont par exemple les humains, les chimpanzés, les gorilles et les orangs-outans. Il semble assez raisonnable de l'étendre aussi aux dauphins et aux éléphants qui disposent de capacités cognitives et affectives avancées. La conscience dans ce second sens, implique celle du premier, puisque « se connaître », signifie nécessairement « se connaître dans ses rapports au monde » (y compris d’autres êtres potentiellement doués de conscience)

La dissonance cognitive Je propose d’aborder le phénomène par les entrées suivantes : - une brève description de la théorie de dissonance cognitive - dans quelles circonstances la dissonance survient-elle ?l - comment éliminer cette tension ? Débutons par la description de cette théorie que nous devons à un chercheur américain Léon Festinger (1957). Il définit la dissonance cognitive comme : « un état de tension désagréable dû à la présence simultanée de deux cognitions (idées,

pendant le Paléolithique Supérieur. Pendant cette période les êtres humains développèrent l’aptitude à créer de nouveaux modèles mentaux et avec elle les aptitudes pour l’art, la science, la religion et probablement le langage. Si les sciences cognitives ont souvent négligé l’étude de l’imagination humaine, il semble désormais qu’il faille en comprendre la nature pour expliquer les facultés humaines fondamentales. « Quand nous voyons des expressions et des modèles formels, nous leur attribuons