Theologie

INTRODUCTION Pour ce travail de recherche, il est question d’étudier la vie de Paul sur un des aspects suggérés. J’ai choisi d’approfondir mes connaissances sur sa théologie de la Croix de Jésus, car elle forme le cadre de la pensée paulienne. Son interprétation de l’œuvre rédemptrice du Christ est novatrice pour son époque (1er siècle), je rajouterai même contre-culturelle. Il voit dans la Croix, le lieu, l’endroit, l’événement spécifique de la révélation de Dieu, de son jugement et du Salut

tournaient en dérision ce qu’il disait, soit ils le regardaient avec une certaine condescendance. Après plusieurs mois de ce traitement, il me confia, résigné : « Ils ne peuvent pas comprendre… » La théologie Pour comprendre l’articulation qui existe entre l’expérience de Dieu et la théologie nous allons faire appel à une anecdote : Il y a quelques années, j’étais allé à un salon culinaire. Je m’étais arrêté à un stand où l’on me proposa de goûter différents beurres. Suite au test, je constatais

(Modifier l'article) Engelbert Mveng, né le 9 mai 1930, à Enem Nkal, près de Yaoundé (Cameroun) et décédé le 22 avril 1995 à Yaoundé (Cameroun), était un prêtre jésuite camerounais, auteur dans les domaines de l’art, l’histoire, l’anthropologie et la théologie. Sommaire 1 Enfance et formation religieuse 2 Mveng, le théologien 3 Mveng et l’art 4 Mveng et l’histoire 5 Œuvres principales 5.1 Ouvrages théologiques 5.2 Articles 6 Bibliographie 6.1

se libérer de l’ignorance. Il y a aussi la théologie, une science qui étudie Dieu, elle est né de l’étonnement du croyant en constatant d’être capable de croire dans la révélation de Dieu, elle est l’initiative de la foi qui se met à la recherche de la raison. Elle est aussi un effort rationnel de l’homme qui nait de la relation entre foi et la pensée de l’homme. Il est extrêmement important et nécessaire d’utiliser les yeux de la raison dans la Théologie pour pouvoir mieux comprendre la révélation

le plus important est « Adversus haereses » en français, « Contre les hérésies ». Irénée meurt autour de 202 sous le règne de SeptimeSévère. Saint Irénée fut un ecclésiastique digne de ce nom. L’ecclésiologie est une des maîtresses pièces de sa théologie. C’est cette ecclésiologie « irénéenne » que nous essayerons de découvrir à partir de son œuvre « Adversus haereses ». 1. Définition « irénéenne » de l’Eglise A la question qu’est- ce que l’Eglise ? Saint Irénée répond que l’Eglise est « l’assemblée

politique de la vie communautaire des cités s'appliquait aussi aux relations avec les dieux et l'imbrication étroite du politique et du religieux s'explique dans ce cadre. Il faut donc se garder d'y voir un quelconque modèle « théocratique ».   Une « théologie » civile à Rome Cette modalité de fonctionnement d'une cité face à des « dieux citoyens » est d'autant plus perceptible à Rome que des interprètes de haut vol, comme Cicéron ou Varron, l'ont intégrée dans leurs explications de la réussite exceptionnelle

autres collèges de l'époque. En effet, elle décide dans un premier temps de réunir sous le même toit des étudiants en théologie mais aussi des étudiants plus jeunes, inscrits à la faculté des arts et d'autres encore qui vont étudier la grammaire comme on le voit dans le texte avec la phrase « Y habiteront 20 écoliers enfants en Grammaire, et 30 en logique et philosophie et 20 en théologie ou divinité ». Ce choix ne va pas de soi et est novateur au début du XIVème Siècle. Ensuite, Jeanne de Navarre va

toutefois la philosophie en position de servante de la théologie, seule capable d’atteindre la Vérité. Cette harmonisation n’a pas résisté à la modernité. C’est d’abord Descartes qui, en instituant une nette distinction entre le savoir et le croire, sépare philosophie et théologie. Et les philosophes des Lumières achèvent le divorce en inversant le modèle médiéval pour en finir avec l’obscurantisme religieux. Désormais, la philosophie refuse à la théologie la possibilité de comprendre par elle-même les vérités

LEURS CONTRIBUTIONS DANS LA THEOLOGIE Les pères Africain de l’Eglise primitive ont beaucoup contribués par leurs écrits dans la théologie chrétienne. Certains parmi eux ont été les pères fondateurs de plusieurs disciplines théologiques. Voici la contribution de quelques pères Africain : Clément d'Alexandrie est un des premiers théoriciens de l'Église à avoir présenté le christianisme comme une philosophie, en cherchant à réconcilier les prophètes bibliques et

par « Le monde et la Sainteté », le Professeur Illanes Maestre démontre théologiquement que le monde et la sainteté ne sont théologiquement pas incompatibles. Le concile Vatican II l’a promulgué, notamment dans la constitution Lumen Gentium, la théologie spirituelle d’après le concile l’enseigne : tous les fidèles du Christ (les chrétiens) sont appelés à la sainteté. Or ces fidèles du Christ sont des hommes évoluant dans le monde que Dieu Tout Puissant a créé et leur a donné comme espace de vie.