Abou Bakr As-Siddiq

I. Introduction II. De l’âge d’or aux problèmes de Califat (610-659/661) A. Le prophète, ses débuts, son histoire à sa mort : la question de la succession (610-632) B. D’Abou Bakr à Uthman : le temps des califes « bien-guidés » (632-656) C. Ali, le dernier des califes « bien-guidés » : véritable emblème de l’Islam chiisme (656-659) III. Guerres et affrontements au sein de la communauté musulmane (659/661-750) : de la politique au dogme (à aujourd’hui) A. La dynastie Omeyyade : de Mu’awiya

et concluent le « serment de guerre » (Bayat al-Harb), selon lequel ils s'engagent à accueillir à Médine les musulmans mecquois et à les protéger. C'est pourquoi Mahomet engage ces derniers à émigrer progressivement à Médine. Lui-même, ainsi qu'Abu Bakr, part le dernier, le 16 juillet 622, après une tentative d'assassinat contre lui, perpétrée par de jeunes Quraychites. Ce départ est appelé l'hégire (de l'arabe hidjra, « émigration ») ; c’est le commencement de l'ère islamique – la période antérieure

premier fils était Al-qsim ,du nom duquel on a surnommé le messager d'Allah (saw).Puis Zainab ,Roqayya ,Oum Kalthoum ,Fatima ,et Abdullah qu'on a surnommé At-tayyib et At-tahir. 
Khadija ,avant d'épouser Mohammad (saw) était mariée avec un homme appelé Abou Hala ,à qui elle donna un fils nommé Hana. 
b) Les autres épouses du Prophète (saw) 
Quelques jours après la mort de Khadija ,le Prophète se maria avec : 
- Sawda bint Zam' a al -'amiriyya Al -qorachiyya .Elle était parmi les premiers croyants .Elle

problème de la succession s'est posé à sa mort. Ses compagnons ont désigné eux-même et entre eux plusieurs successeurs et ceci à plusieurs reprises. Mais pour ce qui est des chiites, ils ont considéré que ce n'était ni Abou Bakr As-Siddiq ( « Aboubaker » : À la mort de Mahomet, Abû Bakr devient le premier calife.) ni Othmân ibn Affân ( 3eme calife, assassiné en 656) ni personne d'autre... Cela devait être Ali, car il était le cousin du prophète, qui devait recevoir le titre de successeur légitime.

The Principles of Governing in Islam From the speech of Abu Bakr al Siddiq By Sheikh ‘Abd al Hamid Ibn Badis [Chapter 9 of Prof. Charles Kurzman, Modernist Islam, a Sourcebook, Oxford University Press, 2002] ‘Abd al- Hamid Ibn Badis (Algeria, 1889-1940) was an Islamic reformer, nationalist leader, and founder of the Association of Algerian Scholars. Ibn Badis was born in Constantine to a prominent Berber family and received religious education. In 1908 he joined the Zaytuna Mosque in Tunis

femmes de son temps est morte en 577 soit environs 6 ans après sa naissance, ce qui le laissa orphelin à l’âge de 6 ans. Il fut alors pris en charge par son grand-père Abdoul Mouttalib qui mourut quelque temps après et laissa donc Mohamed a son fils Abou Talib. Il y a très peu de chose sur l’enfance de Mohamed mais cependant il a connu une enfance pénible qui était marquée par la pauvreté. A l’âge de 12 ans, son oncle commerçant décida de faire un voyage vers la Syrie et comme il insistait

douteux, sera bien disposé à l’égard de l’interdit. Les actes criminels constituent une sorte d’enclos défendu par Dieu. Celui qui est disposé à pâturer près de cet enclos est très tenté d’y pénétrer. » L’explication des choses équivoques Hassan Ben Abou Sinan a dit : « Il n’y a rien de plus simple que le fait d’être scrupuleux. Tu n’as qu’à délaisser ce qui te paraît équivoque pour accomplir ce qui ne présente aucune ambiguïté. » Le fait de s’abstenir de choses ambiguës Anas a dit : « Le Prophète

saws était impensable selon lui. Si le Prophète saws n’était plus comme on le prétendait, qu’allait-il arriver à l’Islam et aux Musulmans ? Ces sombres pensées brouillaient la raison d’Omar jusqu’à ce qu’Abu Bakr lui rappelle le verdict clair du Coran sur le suicide. Durant son Califat, Abu Bakr se reposait sur les conseils d’Omar et ce parce que le Messager saws , de son vivant, donnait une grande importance aux paroles d’Omar. La conquête de l’Irak Après Khalid, Muthanna reprit le commandement

visions à sa femme Khadija et à ses proches – son fils adoptif Zayd, son futur beau-père Abu Bakr, Ali le fils de celui-ci, et son futur gendre Uthman. 622 : L'Hégire désigne la journée du 9 Septembre 622 où  c'est produit le départ des premiers compagnons de du porphéte Mohamed ( paix et bénédiction sur lui) de le Mecque vers l'oasis de Yathrib, ancien nom de Médine. Accompagné de son fidèle compagnon Abou Bekr Es-Seddiq, l'Envoyé de Dieu(paix et bénédiction sur lui) quitta La Mecque pour Médine

de Hasan et de Husayn. Ils se rendent aussi en pèlerinage sur la tombe de Ali à Nadjaf ou encore à Kazimayn, où se trouvent les tombeaux de deux imams martyrs. A la mort du prophète de l’Islam, en 632, Quatre califes lui succèdent, à savoir Abû Bakr, Omar et Othman et Ali (656-661). Or si les sunnites reconnaissant ces quatre premiers califes – les « bien guidés" -, les chiites considèrent que les trois premiers ont usurpé la place qui revenait de droit à ‘Alî.