Abside

deux construites à la fin du XIème siècle et au début du XIIème siècle, hors des murs de la ville. L’église Saint Savinien est la plus petite et la plus ancienne des trois églises. Elle a une nef unique charpentée avec un transept et un chœur à abside ronde. La façade, avec ses quatre contreforts, comporte deux hautes arcades aveugles encadrant la porte centrale. Elle est la seule du XIe siècle en pays mellois. Sur la façade, il y à également une corniche à métopes et modillons et le deuxième

de 1492, un homme tenant un oeillet. Le deuxième degré, iconographique, identifie le thème secondaire ou conventionnel : un portrait de Dürer. Enfin, l’interprétation iconologique montre comment l’oeillet identifie Dürer à un homme amoureux. Abside Aussi chevet. Dans les églises chrétiennes, partie terminale de la nef centrale, située derrière le chœur. Elle est semi-circulaire et recouverte d’une semi-coupole. Autel Table de pierre à usage des sacrifices offerts aux dieux et centre des

débordant de ce carré par 4 absides, proportions parfaites. Se rapproche de la croix latine, rappelle le supplice du christ. Apres la souffrance de la croix, perfection divine (4 bras égaux) A chaque angle de cette croix, espaces secondaires, comme duplication de l’espace principal, réduction proportionnelle. Croix de St André trace les diagonales, qui tracent les 4 parties carrées, qui correspondent à des campaniles, et stabilisent l’édifice (en particulier déséquilibre des absides) 4 piliers très massifs

porteur de l’Eucharistie et qui s’apparente à l’art lombard de l’époque ou encore le groupe cathédral de Trèves dont l’agencement est, en bien des points, semblables à celui d’Aquilée. Et la petite contre-abside occidentale de l’abbatiale Saint-Denis ouvre peut-être la longue série des absides more romano au Nord des Alpes. Vers 780/790, s’ouvre une nouvelle période, le temps des grandes abbayes, avec l’avènement d’une monumentalité nouvelle que l’on peut voir dans la création de l’abbaye de Lorsch

des révolutionnaires. Saint-Créon était bâtie selon le plan traditionnel des abbayes médiévales. L’église abbatiale reposait sur une crypte à demi enterrée ou se trouvaient le tombeau de saint Créon et d’autres sarcophages. Son plan : Une nerf a abside, Un clocher proche, Chœur au peu au nord. Elle fut utilisée comme église paroissiale au XVIII siècle. Cette église a était ferme en 1792 et détruite en 1794. Sur le côté nord une chapelle, sur le côté sud

plus imposant, le mieux conservé et le plus grand des temples préhistoriques. Il est plus beau que Stonehenge du point de vue grandeur. L'ensemble comprend un Temple Méridional (3600 avant JC) composé de cinq absides et un Temple Septentrional, plus petit mais plus récent et formé de quatre absides. Il s'agit d'un site à découvrir absolument ! Xlendi : Xlendi est une station de vacances, pour les habitants de l'archipel et les touristes. Les fonds sous-marins sont très fréquentés par les plongeurs

indications fournies, c'est-à-dire du titre et de la scène dépeinte, nous pouvons émettre l'hypothèse qu'il s'agirait d'une sorte de mise en abîme. En somme, puisque qu'un retable est un tableau d'autel et que ce dernier est placé dans l'abside -cette même abside étant celle représentée par le peintre et celle dans laquelle le tableau est accroché-, alors nous comprenons que Piero della Francesca inscrit son oeuvre dans le prolongement de l'espace réel. Par conséquent, deux registres sont suggérés: celui du

des chapelles échelonnées ; on trouve cependant des églises sans transept dans le cas des constructions les plus humbles ou avec deux transepts, en particulier en Allemagne où s'est développée l'architecture ottonienne. un chœur une abside avec ou non des chapelles rayonnantes, appelées également chapelles absidiales, et une voute en cul de four (voute quart sphérique). A l'extérieur du bâtiment, figurent des éléments décoratifs initialement très simples comme la bande lombarde

du clergé catholique qui s'élève contre la construction d'une église dont le plan au sol ne serait pas celui d'une croix latine. Soufflot doit donc revoir son plan. Il allonge d'une travée le bras du chœur (branche est), ce qui permet de créer une abside flanquée de deux tours abritant des chapelles au rez-de-chaussée et des clochers en élévation. À l'opposé, il allonge également le bras de la branche ouest en la dotant, à la manière des temples grecs de l'Antiquité, d'une sorte de pronaos, c'est-à-dire

portiques surélevés. Au centre de la place se dressait la statue équestre de l’empereur. Au fond de cette cour s’élevait la basilique Ulpia qui, , fermait l’ensemble de sa colossale façade. La basilique de 170 m sur 59 m comptait cinq nefs et deux absides latérale et un vaisseau central qui s’élevait à près de 30 m. Elle était la plus grande jamais construite à Rome et se distinguait par le luxe de la polychromie de ses marbres, de ses ornements de bronze. Cet édifice était prévu pour les activités