Acide aspartique

formées. I- Comment a-t-on decouvert cette maladie ? Les 1er acides aminés furent découverts au début du XIX ème siècle. En 1806, Pierre-Jean Robiquet et Louis –Nicolas Voquelin isolèrent une substance dans l’asperge, l’asparagine, le tout premier acide aminé découvert. En 1810, et 1884, deux autres acides furent découvert, la glucine et la lecine. II- Comment soigne t-on cette maladie ? On se soigne de cette maladie en utilisant la glutamine qui réduit la fatigue, enlève le stress, calme et renforce

Stérilisation / chaleur humide Pasteur et les fermentations (1857-1877) 1857: f. lactique: 1860: f. alcoolique: 1861: f. butyrique: sucre sucre sucre Micro-organisme globuleux Micro plus petit qu'une levure levures Acide lactique Ethanol, glycérol + CO2 Acide butirique pasteurisation Vibrions (-O2 ) anaérobiose 1866-1876: Maladies du vin et de la bière La bactériologie médicale Louis Pasteur et Robert KOCH (1843 (1843-1910) Maladie du charbon Bacillus anthracis Mise au

un double intérêt pour une éventuelle exploitation industrielle. a) Les protéines Les protéines du soja sont des protéines de réserve qui se trouvent localisées dans les cellules de cotylédons4. Celles-ci ont une teneur élevée en acide glutamique et en acide aspartique, mais elles contiennent peu d'acides aminés soufrés. Elles sont riches en lysine et contiennent une bonne proportion d'acides aminés essentiels. Depuis 1989, d’après la méthode conseillée par la F.A.O. et l'O.M.S.5, il a été constaté

mucoprotéines (>4% glucides): liaison avec un glucide souvent du type polyoside: par hydrolyse libération de sucres aminés comme l’hexosamine et d’acides uroniques. Ex: mucine, orosomucoïde, γ globuline (2 % galactose + hexosamine + mannose et + acide sialique). 4) Phosphoprotéines: sérine et thréonine estérifiées par un groupement phosphate: les caséines des laits avec environ 4% de phosphate. 5) Hémoprotéines avec un groupement prosthétique porphyrinique et un métal souvent Fe (hémoglobine

| |2,24 45,39 | TABLEAU DES RÉSULTATS 1 Mesures effectuées sur le bivalve et sur le moule qui trempe dans un acide à 0,25 mol/L |Bivalve |Avant |Après |Différence | |Masse (g) |3.15 |2.33

(et supra moléculaire) (ou macroscopique) Concerne l’hémoglobine Concerne les globules rouges (= hématies) Signes cliniques de l’individu - 6ème AA de la chaîne β = valine au lieu de - Forme de faucille (au lieu de disque - grave anémie (peu de GR) acide glutamique biconcave) - crise avec augmentation du volume de la rate, pouvant conduire à une hémorragie - HbS non soluble : polymérisation des - Hématies plus rigides et plus fragiles - crises articulaires molécules au niveau de la valine qui forme

lipase pancréatique Indispensables à la digestion des graisses Formés dans le foie à partir du cholestérol Hydroxylation du noyau de cholestérol (RE) + rupture de la chaine latérale (mitochondries) acides biliaire primaires : * Acide cholique * Acide chénodésoxycholique Conjugués à la glycine ou à la taurine et excrétés dans la bile sous forme de sels biliaires Leur action « solubilsante » sur le cholestérol est utilisée en thérapeutique pour dissoudre les calculs. 90% des acides

la réaction de l’acide (+)-malique avec PCl5 donna l’acide (-)chlorosuccinique qui fut converti en acide (-)-malique par traitement avec Ag2O humide. C’est ce qu’on appelle le cycle de Walden. OH HOCCH2CHCOH O O Acide (-)-malique Cl PCl5 HOCCH2CHCOH O O Acide (+)-chlorosuccinique Ag2 O , H2 O Cl HOCCH2CHCOH O O Acide (-)-chlorosuccinique Ag2 O , H2 O PCl5 O OH HOCCH2CHCOH O Acide (+)-malique Figure 2.1 A l’époque ces résultats étaient étonnants. Ils s’expliquent aujourd’hui simplement

armature). L’hydrolyse peut être réalisée en milieu acide : on obtient alors une gélatine de type A ou en milieu alcalin : on obtient alors une gélatine de type B. Que l’hydrolyse ait été réalisée en milieu acide ou en milieu alcalin, la gélatine est ensuite extraite à l’eau chaude à des températures croissantes. Trois matières premières sont utilisées pour obtenir industriellement la gélatine : -Les couennes de porc toujours traitées par hydrolyse acide et conduisant donc à des gélatines de type A

Titrage du dioxyde de soufre acide. – On utilise pour ce deuxième titrage une solution titrante d’hydroxyde de sodium (soude), couple H2O / HO aq, de -2 -1 concentration en soluté apporté : Csoude = 1,00.10 mol.L . Dans un erlenmeyer, on verse un volume : V2 = 25,0 mL de vin blanc. Lors du titrage de l’échantillon, l'équivalence est obtenue après avoir versé un volume : Véquv = 9,30 mL de la solution titrante. 2.1. Écrire les demi-équations protoniques des deux couples acide / base intervenant dans la