Acte manqué

fois, dans le texte nous retrouvons le « nous ». Dans un premier moment du texte, il considère que l'hypothèse de l'inconscient est nécessaire, il faut prendre conscience de l’inconscient, il en donne d’ailleurs les raisons en citant les actes manqués et les rêves pour les personnes saines et les symptômes psychiques, phénomènes compulsionnels chez les malades. La formation de cette thèse est nécessaire afin de faire comprendre aux personnes cartésiennes que tout n’est pas forcément calculé, prévu

inébranlable entre lui-même  et l’inconscient.          De plus, l’inconscient manipule l’homme tel un pantin, car, il ne dit plus des choses relevant forcément de son propre gré. Il pose des actes qu’il ne peut justifier plus tard. C’est le cas des actes manqués comme les erreurs commises en écrivant, ou lorsque nous faisons quelque chose qui ne fait pas partie de nos habitudes. Il arrive, par exemple, qu’un professeur, en voulant appeler un élève, prononce un nom qui n’est pas celui de cet élève. A ce propos

par le sujet, le « surmoi ». Les pulsions inconscientes ne connaissent ni le temps ni la réalité mais sont constamment actives et ne peuvent se satisfaire qu'en trompant la vigilance de la conscience, sous forme déguisé, dans les rêves, les actes manqués, c'est à dire les erreurs, les oublis ou encore les lapsus, comme par exemple lorsque qu'on s'adresse à quelqu'un en l'appelant par le prénom d'une autre personnes, cela signifiai que l'on pensait à cette autre personne à qui l'on désirerait parler

n'était pas consciente non seulement de l'origine de son comportement, mais encore de ce qu'elle même avait exprimé ! Et nul besoin de souffrir d'une névrose pour s'expirmer sans en avoir conscience, puisque nous savons que nos gestes et nos actes manqués (lapsus, bris d'objets...) sont les manifestations des tribulations de notre inconscient. Ce dernier exemple rejoint une faculté de l'esprit humain : arriver à extérioriser ce dont nous n'avons pas conscience. Des émotions que nous ne pourrions expliquer

la conscience est un produit du besoin: elle a donc pour origine le corps. L'homme pense constamment mais il l'ignore (le grand Pan n'est pas mort!) FREUD: lire Métapsychologie, IDEES, p.65 et suivantes... Lui aussi part de faits : rêves, actes manqués, idées qui viennent sans que leur élaboration nous apparaisse = la conscience et la pensée ne sont plus identiques. B. Si le biologique lui aussi pense, quelle conception doit être remise en cause (lire Alain Éléments de philosophie IDEES à partir

II- Le rôle de la conscience dans les actes humains. Sommes-nous toujours maîtres de nos actes ? - rejet de l'idée de responsabilité. Exemple de la justice qui tient compte du passé de l'inculpé - Les manifestations de l'inconscient : des actes manqués?aux psychoses? - L'inconscient une fatalité qui pèserait sur les hommes. Idées freudiennes - L'inconscient collectif - Les détracteurs Alain, Sartre? III- Y aurait-il une forme d'imperfection humaine ? - L'être inconscient est-il inhumain

ce texte, concernant l'inconscient, et en réponse à des objections, Freud cherche à prouver l'existence de l'inconscient. Dans un premier moment du texte, il considère que l'hypothèse de l'inconscient est nécessaire. Il en donne les raisons (actes manqués, rêves, symptômes psychiques). Dans un second moment du texte, il montre que l'hypothèse de l'inconscient est légitime, parce qu'il est possible de fonder sur elle une pratique efficace. La réussite de la cure psychanalytique est une sorte de vérification

Revenons donc à la théorie freudienne pour discerner ce que veut vraiment produire l’inconscient. Quand il nous apporte des preuves de l’existence de l’inconscient, Freud invoque chez l’homme sain, les rêves (exutoires de l’inconscient), les actes manqués (les petits ratés dans la vie de tous les jours, comme les lapsus, erreurs, oublis, maladresses, etc. … ) et les pensées sans à propos (celles qui nous viennent sans que nous en percevions l’origine). Rien que l’on puisse nous reprocher. Rien, dont

bien chez l'homme sain que chez le malade, il se produit fréquemment des actes psychiques qui, pour être expliqués, présupposent d'autres actes qui, eux, ne bénéficient pas du témoignage de la conscience. Ces actes ne sont pas seulement les actes manqués et les rêves, chez l'homme sain, et tout ce qu'on appelle symptômes psychiques et phénomènes compulsionnels chez le malade; notre expérience quotidienne la plus personnelle nous met en présence d'idées qui nous viennent sans que nous en connaissions

que l’on ressent ou perçoit sans en prendre conscience, tous les contenus relatifs aux pulsions, désirs ou encore souvenirs d’enfance qui, refoulés par le sur-moi demeurent cependant actif, manifesté par les rêves, les lapsus ou encore les actes manqués. A première vue, donc, l’inconscient n’est qu’une hypothèse et il semble paradoxal de concilier une théorie invérifiée avec le savoir et la connaissance, puisque par son essence même, l’inconscient s’y oppose. On peut donc se demander si l’inconscient