Aérobie

course lente Métabolisme aérobie (AGL-GLUCOSE) Récupération active 70.8% : Marche + course lente Métabolisme aérobie (AGL-GLUCOSE) Récupération active 14.9 % :Sprints courts + actions intenses et courtes. (ATP :PCr + pouvoir oxydatif) Actions souvent déterminantes 14.9 % :Sprints courts + actions intenses et courtes. (ATP :PCr + pouvoir oxydatif) Actions souvent déterminantes (Cazorla, Farhi. 1996-97) 14.3% : course intense Mét.mixte : - aérobie (glycogène) - VO2max

Coordination inter-musculaire  Etirements : lequel potentialise la contraction  Réflexe myotatique  Elasticité 1. Structuraux  Fibres musculaires : Trois types de fibres musculaires :  Type I : fibres lentes, tps de contraction long, métabolisme aérobie, glycogène+++, force faible.  Type IIA : fibres rapides, tps de contraction bref (moyen), métabolisme anaérobie, glycogène++, force moyenne.  Type IIB : fibres rapides+, tps de contraction bref (faible), métabolisme anaérobie+++, glycogène+, force

mesurer l'endurance, il est possible de mesurer le temps passé à un certain pourcentage de « VO2max » (la consommation maximale d'oxygène). On appelle ensuite cette valeur « Temps limite à x % VO2max ». Par exemple, quelqu'un qui a une vitesse maximale aérobie (VMA) de 20 km/h peut tester combien de temps il pourra courir à 90 % VMA, soit 18 km/h. Il y a cependant quelques problèmes avec cette méthode : le test est très difficile au niveau mental et il faut connaître très exactement sa VMA. Par contre,

est couramment simplifiée en 3 étapes : l’hydrolyse, la croissance et la mortalité de la biomasse. Deux voies sont possibles pour dégrader la matière organique. La première en aérobiose et la seconde en anaérobiose. • Les procédés biologiques aérobies : Les matières organiques des effluents sont transformées en énergie, CO2, et en Biomasse avec production d’un résidu final plus ou moins important suivant les conditions de fonctionnement imposées. Le point fondamental est la structure sous

VM Quels sont les conditions de développement de la Puissance Aérobie ? Construire la relation Charge Référente – Indices Physiologiques et Ressentis d’effort g f y gq ff Pour les différents types d’entraînement VMA Travail au niveau de VMA – Amélioration du système de transport de l’02 (Central et périphérique) et de son utilisation musculaire. Quels sont les conditions de développement de l’endurance Aérobie ? Travail au seuil – Amélioration de l’activité de la LDH-H Gacon G

a) Vitesse Maximale Aérobie et VO2max L’accroissement du VO2max intervient lors de l’entraînement d’un sportif d’endurance (comme le ski fond). Effectivement, le VO2max étant la consommation maximale d’oxygène, c’est la filière aérobie qui est sollicitée, l’individu effectue donc un effort prolongé. On dit que le VO2max est atteint quand l’athlète évolue à une vitesse appelée Vitesse Maximale Aérobie (VMA), comprise entre 8 et 24km/h et qui peut être soutenue durant 4 à 8 minutes. (cf. 24)

d’endurance, mais bien souvent cette notion d’endurance est associé, à tort, à celle du domaine aérobie, comme si cela suffisait de courir lentement, longtemps, en équilibre d’oxygène. La notion d’endurance est mal perçue, en effet on associe l’endurance au métabolisme aérobie c’est-à-dire au transport de l’oxygène des poumons jusqu’aux muscles, MAIS ON SE TROMPE !!! Car l’endurance ne se limite pas à l’endurance aérobie. En effet tous les types de motricité, tous les types énergétiques se caractérisent par

métaboliques), • il passe plus rapidement en endurance qu’un adulte (un enfant au bout de 30 secondes et un adulte au bout de 2 à 2mn 30), • … Mais à conditions de respecter certaines règles : • éviter les efforts continus intensifs (cf. chapitre puissance aérobie), • adapter la pratique de la course longue aux élèves en difficulté (surpoids, asthme,…) pour lesquels il faudra envisager une entrée dans l’activité par un travail technique (appuis, respiration) qui les préserve des problèmes, • surveiller les

corps - Bio-mécaniques : la prise d'élan, les différentes foulées et l'efficacité des impulsions - Bio-énergétiques : activités de vitesse explosives entrant dans le processus anaérobie alactique, ou activités d'endurance entrant dans le processus aérobie alactique. NB : Les efforts à intensité élevée doivent être très brefs (< 7 sec.) Composantes de l'activité : - Les courses demandent de parcourir une distance plus ou moins longue, avec ou sans obstacles, seul ou à plusieurs, le plus rapidement

d'une part par les méthodes choisies, directes ou indirectes, et d'autre part par la multitude de protocoles mis à disposition des professionnels : - Méthode directe (à l'aide d'un analyseur de gaz très onéreux, permettant d'analyser les deux seuils aérobie et anaérobie, ainsi que la VO2 max), beaucoup plus fiable que la méthode indirecte (simple ECG d’effort avec détermination de la VO2 max et du seuil anaérobie ; sans prise de lactates, par contre souvent complété par un logiciel d’exploitation informatique)