Affaire des poisons

Document n° 1 : Mme de Brinvilliers[1] [pic][2] Source : DREVILLON (Hervé), La sorcière et le roi : l’affaire des poisons, in Les Collections de l’Histoire, n° 33, octobre-décembre 2006, p.21. Question : -Pose-toi trois questions sur ce document ci-dessus. Document n° 2 : correspondance de Mme de Sévigné[3]  à Madame de Grignan[4] |Paris, mercredi 29 avril 1676. | |« […] Mme

Fontanges elle lui fait scène sur scène, cependant la jeune fille meurt après une fausse couche "blessée dans le service" comme se plait à dire Mme de Sévigné. Or très vite les soupçons se portent sur la marquise de Montespan, c'est la fameuse affaire des poisons qui débute, elle faillit éclabousser le roi....et la perdra! Tout remonte à La Voisin et à la marquise de Brinvilliers qui utilisent des poudres de succession, cette dernière, une fois arrêtée, désigne des personnes influentes de la cour

L'histoire du poison Depuis La préhistoire, les hommes ont sans cesses eu recours au poisons afin de tuer soit des animaux soit des humains. Le poison ont évolué au cours du temps, il est passé de naturel à synthétique. Préhistoire Les Hommes primitifs utilisait du poison à base de plantes comme la tubocurarine. Ils les combinait avec leurs armes(lance par exemple) pour paralyser des proies plus grandes et plus puissantes qu'eux, il suffisait ensuite de les achever. La Rome

2ème ACCORD: Quoi qu'il arrive, n'en faites pas une affaire personnelle. Vous faites une affaire personnelle de ce qui vous est dit parce que vous y donnez votre accord. Dès lors, le poison s'infiltre en vous et vous êtes piégé. La raison pour laquelle vous vous faites piéger est ce que l'on appelle l'importance personnelle, c'est à dire l'importance que l'on se donne. S'accorder de l'importance, se prendre au sérieux, ou faire de tout une affaire personnelle, voilà la plus grande manifestation d'égoïsme

Résumé du livre "Rouge Poison" Trois meurtres se sont produits dans un arrondissement de la ville de Montréal. Toutes les victimes sont mortes de la même façon, empoisonnées par de la mort aux rats... Les trois victimes portaient le nom de et Mathieu.... Sabine était toute excitée. Elle devait passer une semaine complète avec son père car sa mère partait en voyage avec son copain. Son père, le détective Pierre Ross a été chargé de l'enquête de

Texte 10 : « Le Poison », de Charles Baudelaire (Les Fleurs du mal, 1857) Le poison Le vin sait revêtir le plus sordide bouge D’un luxe miraculeux, Et fait surgir plus d’un portique fabuleux Dans l’or de sa vapeur rouge, Comme un soleil couchant dans un ciel nébuleux. L’opium agrandit ce qui n’a pas de bornes, Allonge l’illimité, Approfondit le temps, creuse la volupté, Et de plaisirs noirs et mornes Remplit l’âme au delà de sa capacité. Tout cela ne vaut pas le poison qui découle De

« Le mensonge est à la fois remède et poison » Depuis notre plus tendre enfance, le mensonge était qualifié de déplorable, et il l’est toujours. Or, il est constamment utilisé pour l’une ou l’autre raison, ce n’est un secret pour personne. Il semble que ce soit donc un énorme paradoxe. A partir de cette antinomie découle certaines interrogations à propos de la légitimité du mensonge. Nous nous demandons alors si le mensonge est toujours mauvais ou s’il est parfois nécessaire. Tout d’abord

Deuxième accord « Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle » Ne pas donner son accord à ce qui est vous dit .Ne pas donner de l’importance à ce que l’on nous dit .Considérer ce qui nous est mal dit comme un poison ,celui qui nous lance une insulte, une mauvaise parole projeté ses propres croyances ,ses propres sentiments .Il essayera toujours de vous envoyer du poison si vous en faites une affaire personnelle .Si l’on gobe tout ,vous ingurgitez des ordures émotionnelles

passage du futur immédiat au présent permet d'en mesurer la durée : « Je vais couler/ je meurs/ le poison me consume; je me mourir; le poison va meurs. » Le verbe intermédiaire « je meurs », dès le deuxième paragraphe, relève d'une anticipation qui dramatise encore davantage l'action. Le temps de l'écriture se confond donc avec celui de l'agonie, entre le moment où elle vient d'avaler le poison (« le poison va couler dans mes veines... ») et celui où il produit son effet («je sens affaiblir jusqu'à ma

construction sur ces deux répliques. On pourrait dire que nous avons affaire à un chiasme car nous avons une inversion du pronom personnel « tu ». 5) Les répliques de cet extrait, possèdent des rimes. Elles suivent une structure fixe. Les vers de cet extrait sont libres. A chaque vers, nous retrouvons une rime : « oh ! Ton âme est cruelle ! «  Pouvais-tu pas choisir d’autre poison pour elle ? Hernani et Doña Sol se répondent et leurs répliques se