Affaire Véronique Courjault

L’Affaire Courjault L'affaire Véronique Courjault, également appelée «affaire des bébés congelés» est une affaire criminelle française concernant Véronique Courjault, mère de famille ayant tué trois de ses nouveau-nés. Elle a été victime de trois dénis de grossesse et a commis des infanticides sur ces propres nouveau-nés, dans l'ignorance totale de son mari, Jean Louis Courjault, ingénieur pour un équipementier automobile en Corée du Sud depuis 2002. C'est le 23 juillet 2006 que celui-ci découvre

L'AFFAIRE DES BÉBÉS CONGELÉS SOMMAIRE Introductionp.3 1. La découverte de deux cadavresp.3 1.1 Une main dans le congélateur p.3 1.2 La décision de Jean-Louis Courjault p.3 2. L'affaire transmise aux autorités française p.4 2.1 Nouveaux tests ADN p.4 2.2 Mise en examen et arrestation de Mme Courjault p.4 3.Condamnation d'une peine de 8 ans de prison p.4/5 3.1 Huit ans de prison pour un déni de grossesse meurtrier p.4/5 3.2 La mise en liberté conditionnelle

tLe procès de Véronique Courjault Véronique Courjault âgée alors de 41 ans, a tué 3 de ses bébés nés . Le débat de dénit de grossesses est mis en place. Depuis 1944, la notion d'infanticite n'existe plus. Véronique Courjault est accusé pour «triple assassinats» et va subir la réclusion criminelle à perpétuité. Son mari Jean-Louis Courjault qui a été mis en examen pour «complicité» a été libéré, en ignorant tout, jusqu'à dire que son épouse ne prenait plus la pilule, ni moyen de contraception

en vie. Dans 10% des cas la maman étant dans un état second, n’ayant plus le sens de la réalité peut-être amenée à tuer volontairement à tuer son bébé c’est ce qu’on appelle l’infanticide comme dans l’affaire médiatique de Véronique Courjault « des bébés congelés » . Cette affaire avait été l’occasion de mettre en lumière ce phénomène, véritable tabou sociale. En règle générale la grossesse passe inaperçue autant pour l’entourage que pour le corps médical, l

fonctionnaires. Le préfet a effectivement décidé d’élargir aux trois départements de petite couronne l’action de ce service de la police judiciaire parisienne. L’année dernière, la section A2 de l’exécution des peines du parquet de Paris a envoyé 3 500 affaires aux policiers de ce service. En tout, 932 interpellations ont été réalisées, « environ trois par jour », précise le commissaire Gilles Aubry, sous-directeur à la police judiciaire (lire encadré). « Pratiquement une personne sur quatre n’a pas été