Alexandrin

ou de vers. 4-Les types de vers et de strophes A) les types de vers Une strophe de 12 syllabes = un alexandrin Une strophe de 11 syllabes = un 11 syllabes Une strophe de 10 syllabes = un décasyllabe Une strophe de 9 syllabes = un ennéasyllabe Une strophe de 8 syllabes =un octosyllabe Une strophe de 7 syllabes = un heptasyllabe Une strophe de 6 syllabes = un demi-alexandrin Une strophe de 5 syllabes = un pentasyllabe Une strophe de 4 syllabes = un tétrasyllabes Une strophe de 3 syllabes

dépassés car ils creusent un fossé entre les acteurs et le public. Ce dernier ne comprendrait pas certains langages ou n’apprécierait pas certains effets. Comme les pièces écrites en alexandrins par exemple le Cid ou Suréna de Corneille. Comme vous pouvez le constater les pièces contemporaines ne sont plus écrites en alexandrins car elles sont qualifiées de « lourdes ». De plus, certaines langues parlées sont révolues. Il en est ainsi pour le patois qui est utilisé pour parler dans Le Pédant Joué de Cyrano

s’avère que la majorité des poèmes, et drames romantiques restent écris en vers, et plus particulièrement en alexandrins qui est le vers solennel utilisé principalement dans les tragédies, ce n’est donc pas une libération totale. Seuls des écrivains mineurs tels que Musset avec Lorenzaccio et Vigny avec Chatterton ont écrit leurs drames en prose. Lamartine, dans son poème Milly, écrit en alexandrin, de plus il respecte l’alternance des rimes classiques (FF, MM, FF,…) ainsi que la césure à l’hémistiche :

importe de ne pas choquer le lecteur. C’est pour cette raison que les règles de la vraisemblance et de la bienséance jouent un grand rôle pendant le XVIIe siècle. c) La tragédie Phèdre est une pièce de théâtre de cinq actes et en vers alexandrins à rime plate. Un alexandrin est un vers de douze syllabes. Le rime plate a la structure suivante: AABB. Voici un exemple tiré de Phèdre : <<Va chercher des amis dont l’estime funeste/ Honore l’adultère, applaudisse à l’inceste,/ Des traîtres, des ingrats

pour l'hiver" un des poèmes recopiées à Douai, rassemblés dans un premier recueil adressé à Paul Demeny dans l'espoir d'être imprimé à Paris et qui relate la fugue en Belgique, la liberté adolescente d'un jeune poète de 16 ans. C'est un sonnet en alexandrins. 1-La marche de la liberté Le titre est explicite "Au cabaret-vert", mais pourrait plonger par erreur le lecteur à l'intérieur d'un établissement de spectacle dans lequel les spectateurs peuvent se restaurer. Il ne s'agit pas d'un cabaret mais

de celui de la plainte V13, Procédés d’écriture  tonalité douloureuse : - exclamation V1/2/3, - vocatif du début V1/2, - césure du V1, - anaphore du déictique «ces » (7x) V6/7, - pratique de l’enjambement = impression d’accumulation, - Alexandrin = ampleur solennel = circonstances,  Voltaire prend part a la souffrance : vers personnels V30/34/42. II- Poème argumentatif : Il s’adresse à des destinataires : philosophes, spectateurs,… Utilise des questions de rhétoriques V16/18,

Parmi ceux-là, celui de Baudelaire et de Corneille sont constitués de la même façon, les deux premières strophes sont des quatrains et les deux dernières sont des tercets. Mais il y a un point commun a tous les poèmes, ils sont tous formés avec des alexandrins et rien d’autres. Dans "La mort dit à l'homme " du XX è siècle l'auteur s'adresse à une personne ayant connu beaucoup de choses dans sa vie ,"Assez connu l'amour , le désir , le dégoût " et lui fait comprendre qu'il serait mieux mort "Quittez le

neuvain : neuf vers Un dizain : dix vers Un onzain : onze vers Un douzain : douze vers • le poème • BALLADE: 3 strophes plus une demie +refrain • RONDEAU  : 13 octosyllabes /décasyllabes groupés en 3 strophes. • SONNET :2 quatrains+ 2 tercets + alexandrins • PANTOUM : plusieurs quatrains ( vers 2 et 4 d'1 strophe =vers 1 et 3 de la suivante.  ) • les rimes • Rimes suivies AABB • Rimes embrassées ABBA • Rimes croisées ABAB • • • • • Féminines: e muet Masculine : ss e muet Pauvre : 1 son Suffisante:

pour l’enfant l’atmosphère des contes (strophes5, 6). Il mêle aussi des choses merveilleuses qui sont là pour le consoler. c- Le poète sollicite l’imaginaire de l’enfant par des phrases d’interrogations placées en anaphore (ver 25…) dans les alexandrins (ver 19). Elles mettent l’accent sur l’innocence présumé de l’enfant. III) Un poète engagé. a- Effet de surprise et choc du lecteur : la figure de l’enfant innocent et pure (le bleu de ces yeux est omniprésent 5/6 fois) se confond au dernier

horizon Nombre de syllabes : 10 ; nom du vers : décasyllabe Demain, dès l'aub(e), à l'heur(e) où blanchit la campagn(e), Nombre de syllabes : 12 ; nom du vers : alexandrin Et/ j'i/rai/ loin, / bien/ loin, / com/me un/ bo/hé/mi/en, Nombre de syllabes : 12 ; particularité : bo/hé/mi/en : diérèse On peut rythmer, à la lecture orale, un alexandrin en plusieurs parties ; la pause légère s’appelle la coupe. Lorsque la coupe est au milieu, c’est la césure et chaque partie de l’alexandrin s’appelle un hémistiche