Ali Bongo

ville d'Angondjè, à la demande du gouverne ment gabonais qui veut faire de cette ville une ville nouvelle sans bidons villes, sinon Libreville 2. Que celui qui v e u t contredire CSE interpelle les ministres d'Etat Jacques Adiahénot, Paul Toungui ou Ali Bongo. Pour passer aux actes, comme c'est le mot à la mode, on a arraché des terrains aux gens, en les expropriant ou en les déguerpissant. Histoire de vouloir donner une impression d'adhésion au projet collectif du chef de l'Etat en matière d'habi tat

nouveau régime, ce nouveau régime démocratique mais et basé sur une dictature. Il a existé des cas ou la constitution démocratique peuvent être détournée. Exemple : la constitution du Gabon en 2009. La président Omar Bongo en 2009 cède le pouvoir, son fils Ali Bongo gagne les élections. Neuf candidats sur 18 qui contestent l’élection pour fraudes. On va appliquer la constitution gabonaise qui prévoit que le juge constitutionnel va vérifier si fraude il y a ou pas (décision prise par le juge)

devenu ESAIE BENA'YAH (Fils de YAH) devenu BENAJA lire 1ROIS 1:38 (voir tous ses noms sont en hebreux, ancien kikongo, n'oubliez pas comme les autres sémites, les kongos utilise bena, bana, pour dire FILS, chez les ishmaelites, c'est ben, comme ben-ali (fils d'ali). le nom le nom de YAH est blasphémé par les ennemies, les ntantous de YAH, lire ESAIE 52:5 les edomites , les adumdums, le saint NOM de YAH a été associé par les édomites impies, peuple des ténèbres, la synagogue de satan, peuple maudit

pèlerinage pour se prévaloir du titre de "hadj" et lorsqu'aucun d'entre eux n'émit la moindre réserve devant le code de la famille) encore moins le projet démocratique, qui les dérangent, mais bel et bien le fait que les responsables du FIS (en particulier Ali Belhadj) n'offraient aucune garantie aux locataires des Tagarins (le siège du ministère de la Défense nationale et de l'état-major de l'armée). En effet ceux-ci voyaient leurs privilèges menacés, mais risquant aussi de rendre comptes de leur gestion

l’éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, chargé de la formation professionnelle. MONUMENTS MAROCAINS.  LE MINBAR DE LA KOUTOUBIA est une chaire commandée par le sultan Ali Ben Youssef. Il a été commencé à Cordoue en 1137 et achevé huit ans plus tard.  LES REMPARTS DE MARRAKECH ont été construits au XIIe siècle sous la dynastie des Almoravides sur ordre d’Ali Ben Youssef afin de se protéger des attaques des tribus

réagit fermement: treize insurgés furent pendus. En 1987, le procès des militants islamistes a provoqué une vague d’agitations. La mouvance islamiste Ennahdha ayant contesté la politique gouvernementale de laïcisation de l’enseignement, le président Ben Ali dénonça le 7 novembre 1989 «ceux qui confondent la religion et la politique», et affirma «qu’il n’y a pas de place pour un parti religieux en Tunisie». L’étouffement des libertés démocratiques par le pouvoir en place réanima la contestation islamiste

Chili C) De l’Argentine D) Du Brésil 48. Qui est Ray Charles ? A) Un réalisateur B) Un chef d’orchestre C) Un jazzman D) Un chorégraphe 49. L’actuel chef d’Etat de la Syrie est : A) Bachar el-Assad B) Abdallah II C) Abdelaziz Bouteflika D) Ali Saleh 50. Les Dolomites sont : A) Une région des Balkans B) Un massif montagneux italien C) Un site mégalithique corse D) Un ensemble de volcans siciliens 51. L’indépendance de l’Algérie a été proclamée en : A) 1954 B) 1956 C) 1960 D) 1962

cas gabonais, présenté ici comme l’archétype du régime qui a abusé de la coopération, par cet historique diffusé dans le Soir 3 du 24 mai 1990. L’action d’Omar Bongo au Gabon Images INA - Omar Bongo historique (SOIR 3 - 24/05/1990 ) Voir la vidéo sur le site de l’INA On y relèvera les critiques portées à l’encontre du régime d’Omar Bongo (mal développement, endettement, corruption, parti unique, libertés…). © SCÉRÉN [CNDP-CRDP] 2010 48 Mémoire et commémorations : 2010, année de l’Afrique

| |(1976-1991) | | | | |Tunisie |France | | |Al-Qaïda Maghreb |Zine Ben Ali | | | |(1881-1956) | | |1998 |1987 | |Afrique |Cap-Vert |Portugal |

Banques Sigle Capital social ou dotation (en millions) Répartition du capital (en pourcentage) Nombre de guichets Ecobank DG: ACKRE SERGE ALBERT DGA: YANINDI CELESTIN Banque Populaire MarocoCentrafricaine DG : TAHRI JOUTEI ABDESLAM DGA : ALI CHAIBOU Banque Sahelo-Saharienne DG : BARRY GAOUSSOU Ecobank 3 000 Ecobank Transnational Inc Privés Centrafricains Etat centrafricain 75,00 3 20,00 5,00 BPMC 2 000 Banque Centrale Populaire du Maroc 62,50 1 Etat centrafricain