Allégorie de la caverne

L A C A V E R N E LA JOURNALISTE : Bonjour chers téléspectateurs, et bienvenue sur le plateau de « La Caverne ». Mais d’abord, rappelons le principe de notre émission : trois personnes aux opinions différentes, enfermées dans une caverne, à la recherche de la Vérité…nous allons chercher la lumière dans un endroit très obscur ! En effet, nous sommes ici dans « la caverne de la caverne » : rappelons que nous parlons de l’art… Or Platon, notre directeur général, pense que l’art n’est qu’une

argument n’est que la généralisation de l’argument précédent. Platon, comme tous les rationalistes, a donc tort de croire que la raison est capable de connaître la Réalité Vraie (les fameuses «Idées»). Il est instructif de relire la fameuse Allégorie de la Caverne de Platon à la lumière du scepticisme de Sextus. Alors que Platon parle de «prisonniers» et d’«ombres», expliquant qu’au-delà se trouve la Vérité et que le bonheur consiste à connaître cette Vérité, pour le scepticisme, il n’y a en fait que

passages, « gémissements fréquents », « tourments », « gémissements », « pénétrait les entrailles », « hurler », « supplice destiné aux damnés », font penser au purgatoire, à l’enfer. Avec Caliban aussi, Prospero le traitait bien, il dormait dans sa caverne, jusqu’au jour où il a voulu attenter à l’honneur de sa fille, jour où il devint son esclave. Caliban (dont le nom vient de celui de « canibal ») et Sycorax représentent le mal. Sycorax plus particulièrement car elle était une magicienne dotée de

notamment) que sur la constitution du soleil lui-même. La vie est-elle un rêve ? Pire encore : il se pourrait bien que l’ensemble du monde visible ne soit rien d’autre qu’une illusion, comme une ombre projetée sur le mur d’une caverne, pour reprendre la célèbre allégorie de Platon, ou encore un simple rêve, dont nous nous réveillerons lors de notre mort. Comment, en effet, être sûrs que nous ne rêvons pas ? Comment savoir que notre image du monde correspond bien à celui-ci ? Pour cela il faudrait

2) cm si ce qui importait d’abord au fur et à mesure qu’elle s’avance vers le personnage de l’artiste accoudé au café était la percept° qu’il en a, lui, avant même de l’identifier (même de manière indéfinie) cm « Une fm » : elle est d’abord une allégorie, une image de sa douleur (« crispé », « extravagant », v. 6) • Attitude de la silhouette prime : adj. monosyllabiques s/lesquels porte l’accent oratoire avant la césure : allongement // sens : 1/1/3 ac 2 sons vocaliques [dœj] // hémistiche entier

codifiée et contraignante : dans la tradition Rimes embrassées/alternances rimes féminines et masculines I La muse, allégorie d’une œuvre d’art A. Vénus Vénus par paronomase (proximité sonorité) « Vénus »/ « Vénale » Figure amoureuse, maitresse : 2 expansions du nom muse « de mon cœur » « amante des palais » Erotisme : allusion aux épaules « épaules marbrées » = allégorie de la beauté, représente l’amour, figure traditionnelle de Vénus Allusion au « palais » -> la femme est une princesse

dans le sens où toute théorie empirique réfutée par l’expérience est fausse. II/ Mais je ne connais les faits que par mes perceptions (subjectives) : il me faut donc me servir de ma reflexion pour atteindre la vérité Référence : Platon, Allégorie de la caverne III/ Le formalisme mathématique : toute vérité n’est vraie que dans un « système de vérité » et est donc indépendante de la réalité Référence : Leibniz : « Faut d’analyser chanque notion en profondeur on se contente d’une connaissance symbolique

cris blancs de la mort blanche/ (TOUSSAINT, TOUSSAINT LOUVERTURE) / c’est un homme seul qui fascine l’épervier blanc de la mort blanche » Ces vers annoncent la figure du Rebelle, héros prométhéen, qui veut sortir de son île, allégorie des cavernes, où la culture, la langue, les références sont celles du colonisateur pour retrouver ses racines, ses « rhizomes » selon la terminologie de Deleuze qui courent loin au-delà des mers. Il se fait l’avocat de toutes les souffrances celle du peuple

nature, et quelles sont celles que seuls les codes imaginaires édictent. B résume bien la condition de l'homme civilisé lorsqu'il dit "Il existait un homme naturel: on a introduit au-dedans de cet homme un homme artificiel; et il s'est élevé dans la caverne une guerre continuelle qui dure toute la vie. Tantôt l'home naturel est le plus fort; tantôt il est terrassé par l'homme moral et artificiel". La société et la civilisation imposent donc une convention de morale aux hommes civilisés. Les Otaïtiens

finale » , organise l'identification des victimes de l'extermination raciale et leur déportation vers les camps de concentration et d’extermination. FOLIE génie, cruauté, création  Folie et génie  Folie et création  Folie et cruauté Allégorie de la caverne Platon Platon dans le livre VII de La République Décrit la pénible accession de l'individu vers la connaissance de la réalité, la difficulté de se détacher de certaines connaissances acquises par habitudes, la violence qu’on doit se faire