Ambroise de Milan

tentatives de codification romaine (Code Grégorien et Code Hermogénien) Galère publie un édit de tolérance envers les chrétiens Conférence de Milan (hiver 312-313), entre Constantin et Licinius Concile de Nicée ; Paul, Sentences Saint Ambroise, évêque de Milan à partir de 374 Baptême et mort de Constantin Saint Martin, évêque de Tours Saint Ambroise, évêque de Milan (t 397) Edit de Thessalonique Division définitive de l'Empire romain entre pars occidentalis et pars orientalis Saint Augustin, évêque d'Hippone

répand l’idée d’un univers infini. En peinture, on découvre l’art de la perspective grâce à une ouverture du champ visuel. En art de la guerre, on invente la poudre à canon, l’arquebuse en 1500 et le mousquet en 1525. En médecine, le chirurgien Ambroise Paré invente de nombreux instruments visant à soigner les nouvelles plaies dues aux armes à feu. Il met également au point la ligature des artères et la cautérisation dans les amputations. Les « châteaux de la Loire » sont un ensemble de châteaux

contraint de faire vivre sa famille (son père étant mort peu après le départ pour Carthage), Augustin dût arrêter ses études et trouver un métier. Il devint, à dix-neuf ans, professeur et enseigna la rhétorique, d’abord à Carthage, puis à Rome et enfin à Milan, alors capitale de l’Empire d’occident auprès duquel il envisagea même de postuler pour un poste de gouverneur de province, ce qui aurait satisfait les ambitions que sa mère nourrissait pour lui. Cependant, sa conversion au christianisme

sur la faction chrétienne. Or en 312, il remporte une grande bataille non loin de Rome face à un ennemi pour le siège de Rome à Pont Milvius. En 313, il décide de donner la liberté de culte aux chrétiens : Edit de Milan de 313. Les empereurs ne résident plus à Rome, plus souvent à Milan d’où le nom de l’Edit, on l’appelle aussi l’Edit de tolérance. Le culte chrétien se répand encore plus facilement d’autant plus en 324 Constantin parvient à se débarrasser de l’Empereur d’Orient ce qui lui permet de

 Tout d’abord je présente cette peinture d’huile sur toile dont Ambroise Louis Garneray est le créateur. Il peint ce tableau, intitulé La Bataille de Navarin en 1827. J’ai choisi cette œuvre pour la scène qu’elle représente. En effet Garneray représente la bataille navale de Navarin. Lors de la lecture de ce recueil de poèmes j’ai remarqué que dans un grand nombre d’eux la guerre et plus particulièrement cette bataille est évoquée. De plus je pense que ce tableau montre une partie de

désormais historique exposition au Salon d’Automne, le critique Louis Vauxcelles, scandalisé par les œuvres exposées, les qualifiera de "Fauves" en référence notamment à la vivacité agressive des couleurs. Puy est alors à l’apogée de sa carrière. Ambroise Vollard lui achète une grande partie de ses œuvres de 1905 à 1926. Le peintre fait éclater la couleur dans ses bords de mer, ses paysages du Midi et ses nus allongés dans des intérieurs feutrés. Il s’attache plus généralement à peindre des scènes

(le terme grec pour signifier « consubstantiel » est homoousios qui avait été employé dans la culture hellénique par des courants considérés comme hérétiques par la Grande Eglise) : rencontre à Sirmium en 351, mais également à Arles ou encore à Milan en 355. Alors qu’il y avait deux tendances au départ, on arrive à quatre manières différentes d’exprimer les relations du Père et du Fils (voir docs tableaux photocopiés). -les nicéens stricts comme Athanase d’Alexandrie, déjà inquiété du temps

l’enseignement de la Renaissance. Les études humanistes — tout comme les grands efforts artistiques de cette époque — sont encouragées et soutenues financièrement par de grandes familles comme les Médicis à Florence, les Este à Ferrare, les Sforza à Milan, les Gonzague à Mantoue, ainsi que les ducs d’Urbino, les doges de Venise et les papes à Rome. En France, la Renaissance italienne est introduite et favorisée par François Ier (1494-1547). L’humanisme est une autre rupture culturelle avec la tradition

la rhétorique est déjà présente dans ce texte. D’un côté, en effet, Augustin revient sur ses années d’études et d’enseignement, principalement dans les livres III et IV pour les années d’étude et le livre V pour les années d’enseignement à Rome et Milan. Quand il décrit cet enseignement, Augustin en souligne deux aspects : d’une part on y apprend à vendre du vent ou du verbiage (IV, 2, Ep. 259, 4) ; d’autre part, on y apprend la mauvaise foi et l’arrogance. Ici, ce n’est pas la pensée qui prime mais

avancer la science.  Le Polonais Copernic affirme que la Terre tourne sue elle même et autour du soleil, ce qui est en contradiction avec ce qu'affirme l'Église. Le Flamand Vésale fait progresser l'anatomie en disséquant des cadavres, le Français Ambroise Paré améliore la chirurgie en parvenant à arrêter les hémoragies grâce à la ligature des artères. Des progrès sont aussi réalisés en mathématiques. L'Italien Léonard de Vinci pense que l'univers est régi par des lois mathématiques et imagine des