Amin Maalouf

aider son Il faut d’ailleurs préciser que les flux de réfugiés n’ont pas uniquement eu lieu dans le sens du Soudan vers l’Ouganda : en effet, en Ouganda, la chute d’Idi Amin Dada en 1979 a provoqué l’exode vers le sud Soudan de certaines tribus. Il s’agit essentiellement des tribus des West Nile qui du temps de la dictature d’Idi Amin Dada l’ont soutenu et craignaient des représailles armées en raison de sa chute. 1 5 vieil ami John Garang dans sa lutte. Telle est l’interprétation qui a prévalu

ses armes. L’acteur devient même le premier noir à interpréter le rôle titre dans Henri VI, une pièce de William Shakespeare. En 2006, il apparaît dans Le dernier roi d’Ecosse aux côtés de Forest Whitaker, qui incarne le dictateur ougandais fou Idi Amin Dada, mort en 2003.

sont autoritaires pour maintenir les privilèges existants, ou ils le sont pour être en mesure de les abolir […] » (Tibor Mende, Un monde possible, 1963). Le pouvoir finit par être confisqué par un coup d’Etat militaire, comme celui du général Idi Amin Dada en Ouganda en 1971, ou par un seul homme, auréolé par son combat pour l’indépendance, comme Sékou Touré en Guinée de 1958 à 1984. Les Occidentaux soutiennent parfois ces régimes autoritaires, souvent seuls remparts contre l’expansion du communisme

(« Hynkel ») et Mussolini (« Napoeloni »). Le documentaire de Barbet Schroeder, Général Idi Amin Dada : Autoportrait (1974), illustre la mégalomanie du dictateur ougandais. Le film V pour Vendetta (2006), mentionne un dictateur fictif dans l'avenir, portant le titre de « grand chancelier d'Angleterre ». Le film Le Dernier Roi d'Écosse (2006) montre là aussi la mégalomanie du dictateur ougandais Idi Amin Dada. Le film La Vague (2008) montre avec quelle facilité un régime autoritaire et le culte

président de la République centrafricaine (1966-1976) par un coup d'Etat, autoproclamé empereur sous le nom de Bokassa Ier (1976-1979). Il impose une dictature sanglante a son pays, se proclame president a vie en 1972 il est renversé en 1979. Idi Amin Dada : (1924/2003) Formé dans l'armée coloniale britanique, il est le chef d'etat major du president de l'Ouganda independant, Milton Obote, qu'il renverse en 1971 avec un coup d'Etat. Pendant 8 ans il impose un regime de terreur qui a fait 200 000

d’Etat, qui le porte au pouvoir de 1973 à 1994. Le dicateur Juvenal Habyarimana. Il meurt à la veille du génocide. Parenthèse Ouganda : colonisé par les britanniques jusqu’en 1962 L’uns des pays les plus instables et violents de 1962 à 1986 (ex : Idi Amin Dada de 1971-1979) En 1986 Museveni arrive au pouvoir, il va devenir très apprécié des Americains (libérale, respect des droits de l’homme) MAIS!! Museveni ne serait pas arrivé au pouvoir sans l’aide des Tutsi réfugiés labas depuis les 60’s. Il va

indépendance de la Grande-Bretagne le 9 octobre 1962 (à cette date précise le droit des femmes a été officiellement reconnu). Après celle-ci, la première structure politique fut crée dans le pays ; elle est de type fédérale. Le 25 janvier 1971, Idi Amin Dada prend le pouvoir par un coup d'État. Il deviendra dans les années à venir un dictateur cruel et sans scrupule qui mènera son pays vers la faillite économique ainsi que dans une guerre avec son voisin la Tanzanie. La Tanzanie contre-attaque et

au Tchad2, ce qui lui vaut l’inimitié de la France et entraîne la Libye dans une longue période d’implication dans le conflit Tchadien jusqu’en 1987. Durant la guerre Ougando-tanzanienne en 1978-1979, il envoie 3.000 militaires pour soutenir Idi Amin Dada, en guerre contre la Tanzanie qu’il essaie d’envahir. L’année suivante, le président tchadien, Goukouni Oueddei, déclara à Tripoli la fusion de son pays le Tchad avec la Libye, suscitant la réprobation de la France 3, le Tchad étant considéré

mondialisation quasi globale, Amin Maalouf lève sa plume pour évoquer encore une fois la douloureuse question de l’identité. Son livre « Les identités meurtrières » est une réflexion très pointue sur les appartenances à des groupes minorés. Un islandais se sent-il lésé de ne voir sa langue parlée que dans son pays ? La puissante modernité du XXIeme Siècle suscite-elle quelque fois un phénomène de rejet et de repli sur soi ? La réponse à ces questions est « oui ». Selon Amin Maalouf, la mondialisation et

Préface de « Le premier siècle après Béatrice » d'Amin Maalouf. Après « Samarcande », « Les échelles du Levant », « Les identités meurtrières » , « Origines », Amin Maalouf nous emmène dans un monde totalement différent avec « Le premier siècle avec Béatrice » mais tout aussi intéressant puisqu'il écrit un roman d'anticipation. En effet, ce livre nous montre son monde de demain qui est le monde d'aujourd'hui, tout en essayant de nous mettre en garde sur les problèmes de la société actuelle.