Analyse Le Paresseux Saint Amant

............................... 89 CVI. – Le vin de l’assassin ................................................................ 90 CVII. – Le vin du solitaire................................................................. 92 CVIII. – Le vin des amants ............................................................... 92 Fleurs du Mal ..............................................................................93 CIX. – La destruction...........................................................

...............................................147 CVI. – Le vin de l’assassin ....................................................... 148 CVII. – Le vin du solitaire ....................................................... 150 CVIII. – Le vin des amants....................................................... 151 Fleurs du Mal ............................................................................ 152 CIX. – La destruction ...............................................................152 CX

de lignes, le portrait de l’oncle en faisant attention à ce qu’il coïncide avec le décors évoqué. Mon oncle, le chevalier de***, habitait une petite maison donnant d’un côté sur la triste rue des Tournelles et de l’autre sur le triste boulevard Saint-Antoine. Entre le boulevard et le corps du logis, quelques vieilles charmilles*, dévorées d’insectes et de mousse, étiraient piteusement* leurs bras décharnés* au fond d’une espèce de cloaque* encaissé par de noires et hautes murailles. Quelques pauvres

| | | | |Drame | | | | | | 3e heure de cours : Analyse d’extraits (1ère partie) ▪ Distribution, à chaque élève, du tableau construit en classe au cours précédant. ▪ Garder les groupes tels qu’ils étaient formés pour la 1ère activité. Distribuer un extrait de texte sans aucune référence et

.186 CV. Le Vin des chiffonniers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .188 CVI. Le Vin de l’assassin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 190 CVII. Le Vin du solitaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 193 CVIII. Le Vin des amants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 194 FLEURS DU MAL CIX. La Destruction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .196 CX. Une Martyre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .197 CXI. Femmes damnées (Comme un bétail

se trouvait à l’emplacement actuel de la librairie Hachette car elle fut détruite lors de la percée du boulevard Saint-Germain). Il fut baptisé le 7 juin à Saint-Sulpice. Il était le fils de Joseph-François Baudelaire, qui avait été dans sa jeunesse prêtre du diocèse de Châlons-sur-Marne, mais n’avait, selon toute apparence, jamais exercé le sacerdoce, car il devint répétiteur à Sainte-Barbe puis précepteur des enfants du duc de Choiseul-Praslin. Il fut marqué par la fréquentation des philosophes

cyniquement. Dans cette partie o la femme est toujours perdante, par ses manoeuvres auprs des unes et des autres, il joue tous les rles dtestables et tous les moyens lui sont bons, de la tromperie la trahison il est un suborneur de jeunes filles, un amant profiteur et entretenu, un souteneur, un captateur de fortune. Il a pour matresse Catherine, une femme dvoue, presque honnte, mais il courtise sa meilleure amie avec laquelle quil rencontre sa Nmsis, car la jeune fille le fait souffrir son tour. lI

sait perdu dans l’immensité. On parle de mal de siècle. L’idée qu’il faut retenir = la mélancolie devient une sorte de malédiction, elle est liée au génie, dans la mesure où l’idéal ne cesse de se dérober Hölderlin, Nerval. La science médicale analyse et classe les symptômes de l’aliénation (Pinel, Esquirol, Dr Blanche). La mélancolie est classée comme une manie : se caractérise par un délire, une tristesse immense, un abattement jusqu’au dégoût en vertu d’une cyclothymie notoire (Esquirol).

du sujet, lesquels renvoient implici- tement au thème de la métamorphose : « un grand jeune homme gauche » : Schlemihl avant son malheur « un homme à longue barbe » : Schlemihl, après « […] gauche (sans être maladroit) » « […] inerte (sans être paresseux) » « […] renfermé en lui-même » « en butte aux sarcasmes de nos amis » « un homme à longue barbe, vêtu d’une vieille kurtke noire râpée, et portant des pantoufles par-dessus ses bottes »L ’ ÉTRANGE HISTOIRE DE PETER SCHLEMIHL 69 L’auteur insiste

dramatiques de poèmes narratifs en latin dont le plus ancien remonte à la fin du Xe siècle. La plupart déroulent comme une immense tapisserie (de 15 000 à 45 000 vers) la vie du Christ, de l’Annonciation à la Résurrection puis plus tard, les vies de saints. Par le sujet, la farce de Maître Pathelin est encore un fabliau; par les rebondissements de l’intrigue (découpée en trois actes dans des versions ultérieures) et surtout par le relief des caractères, c’est déjà une comédie. La sotie, elle aussi