Analyse Pestel Groupe Lafarge

d’une entreprise peut être relativement difficile. Une industrie peut être associée à plusieurs métiers (industrie automobile). Deux industries apparemment très différentes peuvent relever du même métier. La notion de métier permet de dépasser les analyses traditionnelles effectuées en termes de consommateurs et de produits. Elle permet de raisonner, en termes de compétences distinctives et de situer l’entreprise par rapport à son environnement concurrentiel. Dans certains cas, cette notion est rarement

qui facilitera le déplacement pour eux. Certes, la concurrence existe, mais la demande reste importante car les besoins ne cessent d'augmenter dans un marché ou l'offre est insuffisante pour combler la demande. Nous aurons à travers une multitude analyses des idées plus précises sur ce secteur, ses caractéristiques propres, afin d’analyser la rentabilité de notre projet et ses possibilités de réalisation au futur. Notre projet est né de la synergie de notre volonté, de la qualité et la complémentarité

Stratégie de l’Entreprise – A. Le Flanchec Fonctionnement du cours 12 séances de cours : connaissances théoriques 12 séances de td : application du cours autour de cas pratiques Contrôle continu : exposé oral par groupes sur un cas pratique, interrogation de mi-parcours et participation. Examen terminal : question de cours (3 à 5) et cas pratique. Chapitre 1. Définition des concepts clés 1- Qu’est- ce que la stratégie ? Définition de Chandler : « La détermination des buts et des objectifs à long

des banques tunisiennes. par Karim HAJ AYED Faculté de droit et des sciences économiques et de gestion de Sousse - Mastère finance et banque 2007 Dans la categorie: Economie et Finance précédent sommaire suivant Les stratégies bancaires : analyse & enjeux : Les banques ont pris conscience, depuis des années, de la nécessité de définir une véritable stratégie, aussi bien que pour des raisons internes de présentation plus claire des objectifs et des missions que pour des causes de communication

..........26 11. L’analyse externe.......................................................................................................................................................................26 111. L’analyse du macro-environnement avec PESTEL ............................................................................................................26 Grille PEST application à la banque : .................................................................................................

4. Expériences étrangères ........................................................................................ - 56 Chapitre 4 ; Résultats et interprétations .......................................................................... - 67 4.1. Analyse documentaire.......................................................................................... - 68 4.2. Enquête par entretien semi directif .................................................................... - 146 Chapitre 5 ; Stratégie

Université Catholique de Louvain LOUVAIN SCHOOL OF MANAGEMENT Analyse et recommandations sur l’utilisation des applications du Web 2.0 dans la communication en business-to-business Etude de cas : Wide Gallery Directeur : Manuel Kolp Mémoire-projet présenté par Julie Tessier en vue de l’obtention du titre de Master en Sciences de Gestion Année académique 2010 - 2011 Avant propos En guise d’avant propos

simples et composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

simples et composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .