Ancêtre commun

II) Diversité et parenté au sein des vertébrés 1°) organisation générale voir TP10 dissection les vertébrés (colonne vertébrale formée de vertèbres sur laquelle est posée la tête et se « fixe » le tronc) présentent une organisation générale commune : leurs organes sont ordonnés selon 2 axes de polarité. selon l’axe de polarité antéro-postérieur, sont disposés tête, tronc et queue selon l’axe dorso-ventral sont disposés le système nerveux (encéphale et moelle épinière) -côté dorsal- et les

Fosses temporales : ouvertures situées dans le crâne (en arrière des orbites) 2) Gésier : poche musculeuse de l’estomac Exercice 2a : Partant du principe que tous les être vivants ont un ancêtre commun, il est important de rechercher des liens de parenté plus étroits que cette parenté commune. C’est l’observation de certains caractères mettant en évidence des ressemblances qui permettra alors de hiérarchiser les degrés de parenté entre différents organismes. Ainsi, il s’agit ici de rechercher

Métropole 2005 Corrigé : Partie 2.2 obligatoire : 5 points (sujet) (Titre :) A la recherche de l'ancêtre commun (Introduction :) en quoi les découvertes d'Orrorin et de Toumaï impliquent-elles de rechercher l'ancêtre commun au delà de 7.106 ans ? 1. les critères d'appartenance à la lignée humaine L'Homme se distingue du Chimpanzé par son volume crânien (3 fois plus important), la réduction de la face, une mâchoire parabolique, de petites canines; et aussi par la position

sont des groupes ________. Si un ensemble d’êtres vivants partage des ________, c’est qu’ils en ont en hérité d’un _________ qui leur est ________ (exemple : le chat possède des poils et des mamelles, caractères qui lui ont été transmis par un ancêtre commun). Plus des espèces partagent de caractères et plus elles sont ________. Moins elles possèdent de caractères moins elles sont ________ : les scientifiques établissent ainsi la ___________ du __________ La classification des êtres vivants

quelque soit leur formes et leur fonctions (par exemple le membre antérieur du poisson fossile Eusthenopteron n’assure pas la meme fonction que chez l’homme) . Par conséquent leur homologie témoigne de ressemblances héritées d’un ancetre commun et donc d’une origine commune a tous les vertébrés. Les espèces sont donc reliées par une étroite parenté. Néanmoins les structures anatomiques évoluent au fil du temps que s’il y a une mise en place de certains mécanismes au niveau génétiques. L’évolution

PARENTES ENTRE LES VERTEBRES Les espèces, qu'elles soient actuelles ou fossiles, ne représentent qu’une étape de l'histoire de la vie. Elles sont le fruit de l'évolution. Les caractères (ou attributs) communs à tous les vertébrés (squelette vertèbres, crânes) sont hérités d'un ancêtre commun. Cet ancêtre les a transmis à tous ses descendants. Au cours de l'évolution des vertébrés, des caractères nouveaux (attributs) (le membre muni de doigts des tétrapodes par exemple), sont apparus. Ces innovations

processus évolutif et la classification de l’espèce? Monophylétique : Groupe qui comprend tous les descendants d’un ancêtre commun et lui-même. Homologie dérivé Polyphylétique : Groupe qui comprend les espèces dont les ancêtres dont les ancêtres les plus proches ne sont pas les mêmes. Analogie Paraphylétique : Groupe qui comprend une partie des descendants d’un ancêtre commun, mais pas la totalité. Homologie ancestrale Phénétique (taxonomie numérique) : Cladistique (Systématique

Millions d'années) Après avoir dégagé, à l'aide du document 1, les critères d'appartenance à la lignée humaine, montrez que la découverte récente d'Orrorin (document 2) et Toumaï (document 3) conduit à rechercher l'existence hypothétique d'un ancêtre commun à l'Homme et au Chimpanzé au delà de 7 millions d'années. Document 1 : données anatomiques relatives au Chimpanzé et à l'Homme actuels. 1 2 Document 2 : données relatives à Orrorin. 2a : vue antérieure du fémur d'Orrorin 2b : coupe

schémas utiles dans le devoir. I. HOMOLOGIES A L'ECHELLE DE L'ORGANISME Analogues Plan Développement embryonnaire Anatomie Homologues L'embryologie Ancêtre commun Membres antérieurs Plan d'organisation II. HOMOLOGIES A L'ECHELLE MOLECULAIRE Molécules homologues Séquence Myoglobine III. ETABLISSEMENT DE PHYLOGENIES Innovation évolutive Ancêtre commun exclusif Arbres phylogénétiques Etat ancestral Parenté Etat dérivé Tétrapodes Matrice Mutation Groupes monophylétiques Aucun schéma n'est indispensable

primitifs : l'arbre buissonnant des primates n'a jamais cessé d'évoluer, comme le démontrent de nombreux fossiles récents ; et ses représentants ne sont pas moins "modernes" que l'homme. Ils sont simplement plus ou moins différents, selon que leur ancêtre commun se trouve plus ou moins éloigné dans le temps. L'homme ne descend donc pas du singe : il est lui-même un singe ! Et plus précisément un singe haplorrhinien (à savoir pourvu d'un nez et non d'une "truffe" humide) hominidé, c'est-à-dire apparenté