André Derain

couleurs secondaires, par le mélange optique des six différents tons seulement1. Cette technique est née en France notamment sous l'impulsion de Georges Seurat (1859-1891) puis de Paul Signac (1863 - 1935), à la fin du XIXe siècle. Collioure, André Derain  9.Les Nabis: Le mouvement nabi (dont les membres sont les nabis) est un mouvement artistique postimpressionniste d'avant-garde, né à la fin du XIXe siècle en réaction contre la peinture académique et qui perdurera jusqu'au début du XXe siècle

qui puisse être qualifié exclusivement de fauve, mais on peut citer ceux qui ont participé au mouvement, dans les mêmes expositions, avant de suivre des directions diverses, parfois opposées. Les plus importants sont Henri Matisse (1869-1954) et André Derain (1880- 1954). Viennent aussitôt après : Albert Marquet, Henri Manguin, Charles Camoin, Georges Rouault, Maurice Vlaminck, Raoul Dufy, Othon Friesz, Jean Puy, Othon Friesz, Kees van Dongen, Louis Valtat et Georges Braque. Le rôle prépondérant qu'on

Apollinaire, qui apprend la sténo, fréquente assidûment les bibliothèques et sert de nègre à l'avocat bohème Esnard. En 1903, il rencontre Alfred Jarry et André Salmon. Avec ce dernier, il fonde en novembre sa propre revue le Festin d'Ésope, qui s'arrêtera en août 1904 après 9 numéros. En 1904, sa mère s’étant installé au Vésinet, il rencontre Derain et de Vlaminck qui peignent ensemble depuis 1900. En janvier 1905, il rencontre Picasso et devient un hôte assidu du Bateau-Lavoir. Il y fait la connaissance

usage. Sont autant d’influences ayant imprégnées le mouvement. Les principaux membres : Le premier artiste, reconnu « chef de file » est MATISSE, autour duquel vont se rassembler d’autres artistes : Albert MARQUET, Henri Charles MANGUIN, André DERAIN, Maurice de VLAMINCK, Kees VAN DONGEN et les trois peintres du Havre : Raoul DUFY, Georges ROUAULT et George BRAQUE, qui se tournera plus tard vers le cubisme. Caractéristiques du mouvement : Ce mouvement pictural n’a pas de bases théoriques

vivait Picasso jeune, le tableau ne prend son nom définitif de « Demoiselles d'Avignon », donné par André Salmon , qu'en juillet 1916 à l'occasion du Salon d'Antin. Pour les spectateurs de l'époque, ce n'est pas le sujet qui les choque mais sa réalisation.Henri Matisse, André Derain, Georges Braque et Guillaume Apollinaire qui découvrent le tableau, le perçoivent comme un acte de « terrorisme ». Derain dira même au collectionneur et marchand d'art Daniel-Henry Kahnweiler : « Un jour, nous apprendrons

froides qui le composent. Le bleu, vert et violet représente le coté du visage qui est dans l’ombre. Le jaune, l’orangé et les tâches de rouge représente le coté du visage éclairé par la source de lumineuse. 
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 Portrait de Henri Matisse, André Derain, 1906 
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 Autoportrait avec modele, Kirchner, 1910 
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 Contraste des complémentaires. Le contraste des complémentaire se compose, comme sont nom l’indique, de couleurs complémentaires. Se sont des couleurs qui se trouvent

même position. A gauche et à droite de ses femmes, deux autres femmes qui elles ont le visage noirci, sont elle aussi debout et nues. 3° Polémique et œuvre en relation Quand les surréalistes de l’époque: Guillaume Apollinaire, Henri Matisse, André Derain et Georges Braque découvrent le tableau, ils le perçoivent comme un acte de « terrorisme ». Le corps de ces prostituées perçu comme mutilé est à l'origine de cet effroi. A l’époque peu de peintres osèrent dessiner des prostitués nus, alors quand

en tant qu’employé de banque. C’est à partir de cette période – 1963 – qu’il se met à côtoyer les milieux artistiques, prendre part aux soirées parisiennes et se créait peu à peu un réseau d’amis tels qu’Alfred Jarry, André Salmon ou Maurice de Vlaminck, puis plus tard André Derain et, en janvier 1905, il se lie avec Pablo Picasso et Max Jacob. En effet, on ne peut pas présenter la vie d’Apollinaire sans évoquer ses relations dans les domaines artistiques. Ce sont ces mêmes relations qui lui ont

des Pyrénées-Orientales une terre d’accueil des maîtres de l’art moderne. Des artistes nés dans le pays, comme Maillol ou Terrus, arrivés de la Catalogne voisine comme Hugué, et du sud de la France comme Desnoyer, ou venus de Paris, comme Matisse, Derain ou Picasso, associèrent ce territoire à l’épopée des premières avant-gardes artistiques. Cette terre d’inspiration devint ainsi un lieu mythique dans l’histoire de l’art moderne. Le XXe siècle confirma, à travers les générations, cette vocation ininterrompue

l’origine du sobriquet qui qualifie les artistes dont nous allons faire connaissance de « fauves » et leur tendance de « fauvisme ». Au cours du vernissage du salon d’automne, qui s’ouvre au grand-Palais ; la salle VII, qui réunit les toiles de Camoin, Derain, Manguin, Marquet, Matisse et Vlaminck est jugée innacceptable par l’ensemble des critiques. On parle de « bariolage informes », de « brosse en délires », « de mélange de cire a bouteille et de plume de perroquet ». Plus particulièrement attaquée