Animaux Personnifiés

Fontaine, au XVIIème, utilise ses fables moralisées pour dénoncer les différents abus de la société. Il personnifie souvent des animaux, en vue de leur donner une dimension symbolique pour que les lecteurs puissent faire un parralèle entre leur vie en société et la fable. L’une des plus célèbres fables, « Le Chêne et le Roseau », présente une double originalité, d’une part de personnifier non pas des animaux mais des végétaux, d’autre part de se présenter comme un réel récit. La morale de l’histoire est

faire réfléchir le lecteur sur la condition humaine et animale ? Pour répondre à cette question, nous verrons dans un premier temps, de quelle manière les hommes, à divers degrés, sont animalisés, puis dans un second temps, nous nous attacherons à l’humanisation des animaux. I – Les hommes « animalisés » L’animalité dans le roman se traduit de plusieurs manières. Tout d’abord, le sort réservé aux prisonniers, traités comme des animaux, est un procédé utilisé par les gardes, pour les déshumaniser

Corrigé du devoir « le cheval s’étant voulu venger du cerf » Pistes pour la réponse à la question : privilégier deux axes. -Pts co ds la forme : fable avec deux animaux personnifiés, dialogue, morale, versification hétérométrique -Pt co ds le fond : leçon sur la liberté, valeur qui n’est pas monnayable et reste plus précieuse que tout (le loup refuse la domestication, le cheval s’est laissé prendre) Allusion sans doute à la condition des courtisans, entretenus par le roi Louis XIV dans une forme

épique. II/ une vision pessimiste de la condition humaine I/ Une scène de chasse traditionnelle Le sujet est une chasse au loup qui se passe dans une forêt. On peut relever "le loup vient et s'assied", "la louve", "les louveteaux", "les animaux" et le titre même nous l'indique. Nous pouvons relever un un vicabulaire de la violence d'objets de chasse, avec "les couteaux, les fusils", "nos couteaux aigus plongeants dans ses larges entrailles...". Il y a en plus l'évocation des chiens qui poursuivent

vassalité. 3. animalerie du lion, son aspect sauvage et non civilisé. 4. lien de l'animal et la situation d'Yvain 5. conclusion Développement : Partie 1 La symbolique du serpent est bien connue, elle fait référence à la religion qui présente cet animal comme le tentateur, l'envoyé du diable. L'auteur joue sur cette représentation en utilisant des métaphores, ou des références renvoyant au maléfique. Un serpent lui mordait la queue et lui brûlait la croupe en lui jetant des flammes'' (p. 130) ''

deuxième partie, nous verrons que cette fable a pour but d’instruire. I) Divertir Pour commancer, L’Âne et le Chien, comme de nombreuses fable est une histoire courte, celle-ci fait 37 vers, ce qui limite l’ennuie du lecteur. L’utilisation d’animaux personnifier, a qui on prête la parole “Le Chien mourant de faim, Lui dit…”v16-17; “il répondit”v23, ou encore des sentiments “délicats”v12; “craignit”v20, donne a la fable un coté enfantin et ludique. Cette fable a aussi un shéma narratif simple : la situation

sur le point d’être mangées s'interrogent sur la cruauté qui conduit les hommes à les traiter ainsi. Cette critique de la violence faite aux animaux est le point de départ d'une dénonciation de la cruauté des hommes. LECTURE A HAUTE VOIX PLAN (thématique) Une parodie de dialogue philosophique L’intérêt des personnages dont on se sert (animaux de la basse-cour) Dénonciation/critique de la barbarie humaine (ce qui est démontré précisément) I – Une parodie de dialogue philosophique Parodie

siècle, recourent à des images saisissantes pour rendre compte du monde sensible qui les entoure. • Hugo, dans Les Contemplations, pense que « tout est plein d’âmes » ; aussi mélange-t-il souvent tous les règnes, minéral, végétal, animal et humain. Il personnifie ici « l’araignée » et l’« ortie » et, dans la métaphore qui clôt le poème, leur donne la parole, les unissant dans un même murmure : « La mauvaise bête et la mauvaise herbe Murmurent : Amour ! » Il invite ainsi à aller au-delà des

ressemblent à des fables car elles sont courtes. Les personnages sont des animaux que l'on personnifie. Le héros emploie la ruse, c'est un beau parleur, il aime se moquer. L'histoire se termine par une morale. Les autres personnages sont souvent prétentieux ou naïfs et finissent souvent par être trompés. Exercie n°17 La fable de la Fontaine « Le corbeau et le renard » est écrite en vers. Elle utilise aussi des animaux personnifiés. Le renard est flatteur et rusé, le corbeau naïf. Il y a une morale à

verrons comment la rigueur de l’écriture à travers la symétrie des scénettes donne un rythme lent qui traduit mort de la nature, des animaux, de l’Humanité ? Le déroulement de cette étude étudiera les différents types de tableaux que nous peint le narrateur, Ceux des hommes dans un premier temps, puis ceux de la nature et du paysage qui se meurt et pour finir ceux les animaux. Les figures humaines qui ouvrent et clôturent cette partie du poème (Strophe 4 à 10) dédiée à la description de l’Hiver