Antimilitarisme

elle a les volets fermés et un arbre mort en façade. Les couleurs de la maison sont sombre, rouge pour représenter le sang. Elle s’écroule sur un tas de pierre fissurer portant des inscriptions désordonnées mais reconnaissable : « communisme, antimilitarisme, capitalisme, avarice… » 3 gros blocs de pierre sui servent de fondation portent les mots paresse démagogie et internationalisme. La maison s’inscrit dans un nuage rouge associé à l’étoile de David (signe du judaïsme) portant en son milieu 3

Grosz est arrêté en janvier 1919. Il parvient à s'échapper grâce à de faux papiers d'identité. Avec Heartfield, il rejoint le Parti communiste allemand (KPD). Il participe aux revues politisées berlinoises (Der Blutige Ernst et Die Aktion). Son antimilitarisme et son engagement pour un art prolétaire lui causent des démêlés avec la justice. Baptisé "Maréchal Propagandada", il organise avec Raoul Hausmann et Heartfield la Première foire internationale Dada à Berlin, le 5 juin 1920. Grosz pratique l'exagération

 25 juillet 1969) peintre Allemand associé aux mouvements de l'expressionnisme et à la Nouvelle Objectivité. Otto Dix s’engage en tant que soldat volontaire pendant cette guerre. Il est marqué par l’horreur de la guerre et va dorénavant faire preuve d’un antimilitarisme radical. Dans son œuvre Les joueurs de cartes (1920), Otto Dix représente la violence nouvelle infligée par la guerre aux corps des combattants, une violence monstrueuse qui déshumanise. Les personnages de cette peinture sont des anciens combattants

Edeline Paul-Emmanuel PCSI2 Français : Boris Vian, "Le déserteur" : Monsieur le président Je ne veux pas la faire Je ne suis pas sur terre Pour tuer de pauvres gens "Le déserteur" est une chanson écrite pas Boris Vian, connu pour son antimilitarisme. Publiée en 1955 lors de la guerre d'Algérie, cette chanson est un chant de protestation contre la guerre en général. Ce poème, sous la forme d'une lettre direct au président de la république, affirme le refus de partir à la guerre d'un jeune

dans des journaux. Il rejoint par la suite l'école des arts et métiers de Berlin. S'engageant comme volontaire dans l'armée en 1914, il est libéré pour raisons de santé après deux ans de service. Traumatisé par la guerre, il nourrit un sentiment antimilitarisme et même antinationaliste, qui le pousse à changer de nom en y enlevant sa connotation allemande : il devient ainsi George Grosz. En 1919, Il adhère au parti communisme allemand (KPD) et s'engage dans le mouvement dadaïste et celui de la nouvelle

après avoir publié de nombreuses œuvres à succès : chansons, poèmes, scénarios, nouvelles et romans, dont l'Ecume des jours (1947) et l'Arrache-Cœur (1953). Œuvre : Le Déserteur est une chanson écrite par Boris Vian, musique de Harold Berg. Son antimilitarisme a provoqué beaucoup de polémiques. Date de parution : le 7 mai 1954, jour de la défaite de la bataille de Điện Biên Phủ durant la Guerre d'Indochine. Analyse de l’œuvre : Boris Vian (1920-1959) a écrit la chanson « Le Déserteur » en 1954. Elle

leurs faux-plis (3) sur leurs bajoues Des larmes de honte et de boue.   Boris Vian, «  A tous les enfants » Introduction : Boris Vian était un écrivain engagé aux multiples talents. Ill est connu pour ses provocations, son engagement et son antimilitarisme. Il écriva 11 romans, 4 recueils de poèmes, plusieurs pièces de théatre et encore des chansons comme « A tous les enfants » (1954-1959) . Il dénonce une nouvelle fois la guerre en réaction avec les évènements d’algérie. Il veut rendre hommage

critique également les élites. Il n'y a pas de fondations : les causes de l'écroulement de la France sont inscrits sur les gravas, On peut cité « Démocratie », « Juiverie », « Communisme », « Capitalisme », « Pastis », « Franc-maçonnerie », « Antimilitarisme », « Système D », « Désordre », etc... Enfin, la devise de la République Française est pervertie : « Liberté, Égalité, Fraternité » devient « Paresse, Démagogie, Internationalisme ». A l'inverse, la maison de droite représente le régime de

le « je » de l’énonciation puisqu’il répond à sa place (vers 7 ; 9 ; 13 ; 14) De part son contexte militaire, un champs lexical abondant, les personnages opposés hiérarchiquement (un officier, un second de classe), le poème s’oriente vers un antimilitarisme malicieux, c'est-à-dire traiter par l’humour, où l’oiseau, mot clé de la poésie de Prévert, joue tout son rôle. II – Un poème malicieusement antimilitariste. 1) Le renversement des valeurs. Le départ du poème est constitué par

c’est une forme plus intime de littérature. Le poème de Boris VIAN est adressé au président, comme dans une lettre, mais son but était infiniment plus politique puisque ce poème fut rendu publique (et censuré par le gouvernement choqué par cet antimilitarisme), tandis que le poème de RONSARD n’avait pour destinataire que son amie, dans un cadre plus intime. Antithèse SARTRE a dit un jour : ‘‘Longtemps j’ai pris ma plume pour une épée, à présent, je connais notre impuissance’’. Cette citation