Antiparticule

positron en 1932 confirma la théorie de Dirac et lui valut de recevoir le prix Nobel en 1933. Nous savons aujourd’hui que toute particule a son anti-particule avec laquelle elle peut s’annihiler. (Dans le cas des particules supports-de-force, les antiparticules sont les mêmes que les particules elles-mêmes.) Il pourrait exister des anti-mondes et des anti-gens fait d’anti-particules. Cependant, si vous rencontrez votre anti-vous, ne lui serrez pas la main ! Vous disparaîtriez tous deux dans un grand

proton-proton. La fusion nucléaire peut être divisée en 3 étapes : 1ère étape : A partir de deux protons, on fabrique de l’hélium 2. Un des protons est immédiatement transformé en un neutron. Il se forme également un positron (antiélectron ou antiparticule de l’électron) qui «emporte» la charge positive et un neutrino qui assure la conservation de l’énergie. Du deutérium est crée. 2ème étape : Avec ce deutérium et l’autre proton, de l’hélium 3 est fabriqué. Et, l’émission d’énergie se fait sous

dont la lumière. Photosphère : surface du Soleil. Plasma : Etat de la matière dans lequel les constituants des atomes, les noyaux et les électrons, sont dissociés. Pôle : extrémité de l’axe de rotation d’un corps céleste. Positron : antiparticule de l’électron, de même masse mais de charge opposée. Pression de dégénérescence : Force exercée par des particules atomiques qui ne peuvent pas se trouver dans un même état d'énergie au même endroit. C'est cette force qui permet à une naine

il y avait annihilation et le produit de cette destruction mutuelle était constitué par deux photons. Mais la réaction inverse existait aussi : deux photons suffisamment énergétiques, entrant en collision, pouvaient redonner un couple particule-antiparticule. Création et annihilation de paires de particules de matière et d'antimatière. A ce stade, le lecteur sera en droit de se poser une question : - Pourquoi les photons ne s'annihilent-ils pas à leur tour ? La réponse est simple : le photon est

2 neutrons, appelé particule. Radioactivité Beta- : La radioactivité bêta-, caractérisée par l'émission d'un électron e-. La radioactivité bêta-moins est l'émission d'un électron et d'un antineutrino (= Tout aussi invisible, l’antineutrino, antiparticule du neutrino, est le partenaire du positon). Dans les désintégrations bêta des noyaux, un antineutrino ou un neutrino est émis en association avec un électron ou positon, une particule quasi-indétectable qui emporte avec elle une partie de l’énergie

vague. Par exemple, P.A. Dirac a découvert l'antimatière en suivant un certain but: il essayait d'écrire l'équation d'onde de l'électron relativiste, une manipulation algébrique a fait surgir une symétrie inouïe dans la matière, il a découvert des antiparticules. Le savant remet en cause les connaissances établies, mais il a généralement une conviction métaphysique sous-jacente à sa recherche: c'est qu'il y a un ordre dans l'univers et que la science peut le découvrir. Conclusion: Le savant

l’antimatière est chargé positivement et ses protons sont chargés négativement: “... chaque particule a son antiparticule de charge opposée… et la relation d’incertitude nous indique que la création de paire et l’annihilation de paire se produisent dans le vide à tout moment, dans tous les endroits.” 8 Prof. Paul Dirac Les Miracles du Coran Chaque particule dans l’Univers a son antiparticule. L’antimatière a la même masse mais porte la charge opposée. C’est pourquoi quand la matière et l’antimatière

antimatière ont été formées en quantités égales. Leurs composants élémentaires sont de même masse, mais de charge électrique opposée, à chaque particule de matière correspondant une antiparticule  : ainsi de l’électron, de charge négative, et du positon, chargé positivement. Or, lorsqu’une particule et une antiparticule se rencontrent, elles disparaissent dans un flash de lumière, leur masse se transformant en énergie. Si matière et antimatière étaient restées en quantités égales, elles

antimatière ont été formées en quantités égales. Leurs composants élémentaires sont de même masse, mais de charge électrique opposée, à chaque particule de matière correspondant une antiparticule : ainsi de l’électron, de charge négative, et du positon, chargé positivement. Or, lorsqu’une particule et une antiparticule se rencontrent, elles disparaissent dans un flash de lumière, leur masse se transformant en énergie. Si matière et antimatière étaient restées en quantités égales, elles auraient donc

applications les plus spectaculaires de ces conversions sont les cr¶ations e e et annihilations de particules ¶l¶mentaires. Quand deux antiparticules s'annihilent en ¶mettant de ee e l'¶nergie sous forme de rayonnement ¶lectromagn¶tique, on a une conversion totale d'une certaine e e e quantit¶ de masse en ¶nergie. Le ph¶nomµne r¶ciproque, la cr¶ation d'une paire particule/antiparticule e e e e e e a µ partir d'un rayonnement su±samment ¶nerg¶tique, correspond a la conversion d'¶nergie en masse. e e µ e Pour