Antoine Augustin Cournot La Religion Du Progrès

XVIIIème siècle sur une confiance assez naïve dans le progrès que pouvaient nous apporter les sciences. Pour la première fois, l’idée d’un progrès de l’humanité ne s’appuyait plus sur des croyances religieuses, comme celle de l’avènement proche de la Cité de Dieu, pour Saint Augustin mais sur une foi dans l’homme, dans sa raison et dans le pouvoir de la technique de changer radicalement la vie humaine. Le sens de l’Histoire était celui du progrès scientifique et technique. L’homme moderne possède une

justement à cause de la surprise causée par leur succession irrégulière, ne méritent pas le nom d'histoires. Je crois que par une raison contraire on en pourrait dire autant d'un journal de siège écrit par un ingénieur, et où seraient notés tous les progrès méthodiques de l'attaque, tous les reculs méthodiques de la défense, avec états de situation à l'appui : de sorte que l'homme du métier ne serait pas en peine d'assigner très approximativement l'époque de la capitulation. L'histoire des sciences est

dans la durée. Que les hommes soient conscients ou non du temps les phénomènes sont fonction du temps. Lucien Febvre a été un des pionniers de l’histoire. Il a publié un livre consacré à Rabelais : « Le problème de l’incroyance au XVIe siècle, la religion de Rabelais » (1942). Les croyances sont un objet d’étude pour l’historien. Que croyait-on au moyen âge ? A la renaissance ? Le peuple était croyant on le sait au travers de textes. Après Lucien, dans les années 50-60-70, on va étudier les peurs

Connaître l’homme (histoire et poésie) 3 B. Tirer les leçons du passé 4 C. L’influence de l’histoire sur la vie 4 III. Quelques interprétations de l’histoire 5 A. Les téléologies 6 1. Origine : la religion chrétienne (Saint Augustin) 6 2. Le progrès historique (Kant, Hegel) 6 3. La fin de l’histoire 8 B. Quelques interprétations de la modernité 8 1. Le marxisme (Marx, Moore) 8 2. Le procès de civilisation (Freud, Elias) 9 3. Rationalité et désenchantement

effet presque mondial, suivie d’une crise éco et sociale. Il est analysé sur plrs axes ou dimensions : * Le pôle technique * Le pôle économique * Le pôle social * Le pôle politique 1.1 Le pôle technique Il concerne le progrès technique, les innovations technologiques, qui ont des effets éco et structurels : - sources de l’innovation (Shumpe) - Amélioration des performances des produits existants - changement des conditions de P° et des conditions de L - évolution de

1°Les faits en histoire Prendre compte des faits historique est l’objet que ce sont donnée les premiers historiens tels que Hérodote et Thucydide. L’Histoire est-elle subjective ? L’Histoire est-elle quantitative ? I. Hérode, Bayle et Cournot, Voltaire vs. Bossuet... A- Hérode, L'enquête – Thucydide, Laguerre du Péloponnèse Hérodote : le «père de l'Histoire» Dans son ouvrage « L'Enquête » ou les Histoires (œuvre en prose) Essaye de juger les faits qui se sont réellement produits

économique est restée dépendante de la morale. Dans l’Antiquité Platon et Aristote s’intéressent aux problèmes de la maison. Au Moyen-âge, St Thomas d’Aquin dans La somme théologique (1266) détermine quelles sont les pratiques économiques justes selon la religion chrétienne. Renaissance marque rupture, l’expansion du protestantisme comme le montre Weber favorise le développement du capitalisme. Profit et intérêt ne sont plus condamnés mais valorisés. A. Les mercantilistes : A partir du XVIème siècle, les

des céréales, du bronze, des produits de luxe, … Toutes ses importations sur les rives de la méditerranée sont rendus possible par les progrès des moyens de transports. Vers le V ème siècle avant JC, les premiers marchés se développent en Grèce antique. A Athènes, les fondamentaux de l'économie de marchés sont instaurés : le droit de propriété, la monnaie, le progrès des transports, l'esclavage, début du salariat, les premières techniques financières, … Pour autant, les marchands sont tenus en suspicion

SCIENCE, RELIGION, PHILOSOPHIE : UNE CONFRONTATION SALUTAIRE Bernard JOLIBERT IUFM de la Réunion RÉSUMÉ. – Face au relativisme qui paraît dominer l’épistémologie contemporaine, l’effort pour distinguer l’approche scientifique de la réalité des approches religieuse et philosophique peut paraître téméraire et démodé. C’est pourtant une tâche urgente si on veut éviter le banal « Tout est bon » qui place toutes les formes de savoir au même niveau d’incertitude et de confusion. Comment distinguer esprit

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