Anubis

raconte l’intégralité de l’histoire. Le fantôme apparaît, mais sa faiblesse l’empêche de délivrer son message. Le premier acte se termine. Le deuxième acte, lui, montre d’abord un dialogue entre le sphinx et Anubis. Le sphinx déclame qu’il en a marre de tuer, qu’il est las. Anubis, en tant que dieu, lui conseille d’obéir. Après ces échanges, Œdipe arrive. Le sphinx, camouflé en jeune fille, discute avec lui. Après avoir révélé sa véritable identité, le sphinx se prend bêtement à son propre jeu

cacha en Egypte. Mais Seth découvrit le cadavre et le découpa en 14 morceaux qu’il dispersa dans le Nil. Isis reconstitua le corps d’Osiris qui fut momifié par Anubis le dieu chacal. Osiris régna alors ensuite sur le royaume des morts. Il existe d’autres dieux : -Horus : fils d’Osiris et Isis. Dieux à tète de faucon -Anubis : Dieu à tête de taureau, c’est celui qui embaume. -Thot : Dieu à tête de Ibis, c’est le dieu de la sagesse et celui qui inventa l’écriture. -Bastet :

Jocaste. Je la vois comme une innovation théâtrale, par les musiques et la mise en scène pour parler de l'interdit de l’interdit : le thème de l’inceste. Le dénouement devait reprendre la matière d'Oedipe roi, j'ai ajouté des soldats, un fantôme et Anubis ; j'ai transformé le grand Oedipus Tyranos le roi vainqueur du sphinx sans peurs, en jeune homme naïf où le sphinx représenterait une jeune femme. Le mythe est présent et me fascine car il permet d’aborder des sujets essentiels propres à l’humanité

la tête." Les indications de Cocteau sont claires "Elle doit parler comme une mitrailleuse-un télégraphe- une écuyère méchante et insolente." La dichotomie entre l'aspect et la voix est marque du cauchemar, le thème de la mort revient souvent. Anubis, homme à la tête de chacal, dieu des morts, est lui aussi effrayant. Il "paraît, les bras croisés, la tête de profil", représentation classique du dieu égyptien, doublée par les paroles du Sphinx "l'Anubis s'élancerait. Il ouvrirait ses machoires

Jocaste, Tirésias, Créon) apparaît une autre figure mythique des légendes Thébaines (Antigone), le fantôme du roi défunt Laïus et les personnages Sophocléens du messager de Corinthe et du Berger de Laïus. Deux dieux font également leur apparition ; Anubis et Némésis (qui prend la forme du Sphinx.) Une voix introduit chaque acte et le peuple y est successivement représenté par deux soldats, leur chef, une matrone, un petit garçon et une petite fille et un ivrogne. La voix n’est pas un personnage mais

Hathor, déesse de l’amour. * Représentations des Dieux II Les enfants de Nout sont donc : - Osiris, l’aîné au brun visage - Seth, le rouge - Isis, la magicienne - Nephtys - Horus l’ancien. - Ici, de gauche à droite : Anubis : Dieu des morts et de la momification, Osiris : Dieu régnant sur le royaume des morts, Isis, déesse protectrice des enfants, elle favorise la résurrection, Horus : Dieu du ciel - Plus tard, Osiris hérite du royaume de son père Geb. - Il épouse

Oedipe roi p.53Ce qui est raconté n’est que le contenu manifeste du rêve, pour arriver au contenu latent il ya un moyen facile, le rêve est la réalisation du désir de la personne qui rêve et non pas de la personne dont on rêve : (déplacement) Projection sur Oedipe qui est encore embryon, du désir maternel de l’inceste. Ce n’est pas a un homme accomplit auquel nous avons affaire ici, c’est un nourrisson (homme en puissance) pâte gluante (ce changement est régressif, on est en train de régresser vers

madame oh madame » (l. 60). Le personnage est aussi ridicule lorsqu’il a peur du loup (l. 57) ici représenté par Anubis. Cette peur est une reprise des angoisses infantiles. De plus le loup dont tellement Œdipe n’a pas lieu d’être dans le mythe initial. Cependant ici c’est lui qui a pour rôle de tuer le héros, on est donc face à un dédoublement du Sphinx qui partage son « travail » avec Anubis. La réponse apportée par la Sphinx et le côté infantile d’Œdipe remettent en cause le registre tragique présent

quelques œuvres. Par contre, chez les Grecs/Romains c’est un corps d’animal avec la face d’un humain (Hydrie à figures noires). Et chez les Egyptiens c’est le contraire (EGYPTE, Moyen Empire (2160-1785 av.J.-C) XIe-XIIe dynastie (2134-1785 av.J.-C) Anubis assis Bois, plâtre peint). Cela veut dire que chez les deux civilisations, le visage ou plus précisément le cerveau est important. Donc c’étaient des peuples qui cherchaient l’intelligence. 2. Si près mais si loin -Dans la salle égyptienne il

soumission animal et nous ramène une fois de plus a la misère humaine, au rabaissement de certains humain a adorer des animaux. Nous pourrions prendre comme exemple la mythologie égyptienne, comme « Râ » le dieu du soleil a tête de faucon ou encore Anubis, la divinité a tête de chien. Dans les pensées 87, 88 et 89, Pascal nous parle de l’inconstance (facilité a changer d’opinion), dans ces fragments, l’inconstance de l’homme est présentée non pas comme un accident. Mais le résultat de deux diversités