Arawaks

mot tabac, désignant à l'origine, pour les européens, à la fois la plante et le cigare confectionné avec ses feuilles, vient de l'espagnol tabaco, lui-même emprunté à un mot arawak désignant une sorte de pipe, un instrument à deux tuyaux. Il est attesté sous sa forme espagnole depuis la première moitié du XVIème siècle. Les Arawak, ensemble de peuplades amérindiennes des Antilles et d'Amazonie, possédaient donc probablement un autre mot pour désigner la plante que nous appelons tabac (digo selon l'archeologue

originel de l'île. Peuplements amérindiens[modifier] Petroglyphe laissé par les Arawaks à Trois-Rivières. Selon les connaissances actuelles, les Arawaks, des Amérindiens venus du plateau des Guyanes, furent les premiers à avoir occupé la Guadeloupe. Ce peuple pacifique de pêcheurs y aurait vécu jusqu’au ixe siècle. À cette date, selon une thèse aujourd'hui sujette à controverse, les Arawaks auraient été massacrés à l'arrivée des Indiens Caraïbes (appelés aussi Kalinagos ou Caribes)

que Colomb baptise Hispaniola. Comment appeler les indigènes rencontrés sur ces territoires ?             Des « Indiens », puisque Christophe Colomb se croit aux Indes. Mais ce sont des Lucayes à Guanahani, des Siboneys à Cuba, des Tainos ou Arawaks en Haïti. - http://www.icem-pedagogie-freinet.org/book/export/html/3105 B. La conquête Européen En 1492,Christophe Colomb désirant trouver une nouvelle route pour accéder au Indes, découvre l’Amérique. Cette découvert bouleverse l’Europe

le reste serait composé de mulâtres. Toute la population haïtienne parle le créole, mais pour le français il est parlé à différent degré. Revenons quelques siècles en arrière disons dans les années 1492. Avant l’arrivée de Christophe Colomb, les Arawaks et les Caraïbes avaient surnommé l’île Ayiti et on comptait la population à une centaine de milliers d’habitants. Lorsque l’explorateur vu l’île pour la première fois, il décida de la nommé Española ou Hispaniola, car le paysage lui rappelait

rencontrer en littérature et en histoire. -Pour le Canada : les Hurons, les Crees, Les Iroquois. -Pour les Etats-Unis : les Apaches, les Cheyennes. -Pour l’Amérique centrale: les Quechuas. -Pour l’Amérique du sud (Guyane) : les kali’nas, les Arawaks, les Wayanas, les Emerillons, les Palikurs, les Wayanpis, etc. Séance 9 : En lien avec les arts visuels. Objectifs : Réaliser des œuvres en mélangeant des collages et des dessins. En complément

1 er idée : La Caraïbes contemporaines est littéralement une création coloniale, certes le nouveau monde près a exister , mais les sociétés antillais actuel son le produit de l’appropriation du nouveau monde par les puissance européenne Les Arawaks ont très peu survécu ( ça si exterminer ) par le contacte violant des conquistadors Les européens ont mis rapidement en place une éco de plantation alimenter par un commerce triangulaire ; Europe, Afrique, Amérique qui a duré pendant plus

on peut raisonnablement penser que cette terre est située dans les îles Bahamas : il pourrait s'agir de l'île Watling (baptisée alors San Salvador, le Saint Sauveur). Colomb pense être à proximité de l'Asie. Les indigènes rencontrés, les indiens Arawaks, lui font comprendre qu'il existe vers l'ouest une grande île Colba (Cuba) que Colomb pense être le fameux Cipango. Premiers contacts avec un nouveau continent[modifier] L'exploration des îles de la mer des Caraïbes ne permet pas de découvrir

enveloppes », correspondant aux « quatre âges de la Caraïbe », peuvent être identifiées. • La Caraïbe amérindienne L’historien Michel Devèze définit l’aire Caraïbe comme les territoires occupés, à l’arrivée des Européens, par les peuples Arawaks (Tainos), Caraïbes (Calinagos) et Chibchas qui partageaient une origine commune : ils se sont en effet installés dans la région à la suite d’une série de migrations ayant pour point de départ les profondeurs de l’Amérique du Sud. Ces Amérindiens étaient

vaut mieux ne pas se diviser, fait semblant d'accorder du crédit au récit de Pinzon. Longeant les côtes nord de l'île, les deux navires restant arrivent dans la baie de Samaná, ils y rencontrent les cannibales déjà évoqués. Plus agressifs que les Arawaks, ils déclenchent une escarmouche et Colomb décide de battre en retraite. Mais les marins en ont assez de leur vie dans ces îles, ils veulent rentrer en Europe. Christophe Colomb met le cap vers l'Espagne le 16 janvier 1493, aidé par de bons vents

mot tabac, désignant à l'origine, pour les européens, à la fois la plante et le cigare confectionné avec ses feuilles, vient de l'espagnol tabaco, lui-même emprunté à un mot arawak désignant une sorte de pipe, un instrument à deux tuyaux. Il est attesté sous sa forme espagnole depuis la première moitié du XVIe siècle. Les Arawak, ensemble de peuplades amérindiennes des Antilles et d'Amazonie, possédaient donc probablement un autre mot pour désigner la plante que nous appelons tabac (digo selon l'archéologue