Archéologie du bâti

VILLAGE AU MOYEN ÂGE » : LA FIN D’UN PARADIGME ? 1 Magali Watteaux saisonnier en matériau léger, occupé au moment de la pêche ou de la saillie des bêtes au bord des bois, au village temporaire abandonné au bout de quelques années, jusqu’au centre bâti en dur autour de la maison d’un saint ou d’un maître laïc [Fossier et Chapelot 1980 : 28]. L E VILLAGE et la question de sa naissance occupent, depuis le début des années quatre-vingt, une place centrale, voire exclusive, dans la réflexion sur

entre les habitants d’un même quartier. L’habitat pavillonnaire est quant à lui davantage individualisé, il représente un aménagement de plusieurs maisons individuelles sur un même îlot ou dans un même quartier. Il se caractérise par la répétition du bâti néanmoins sans lien les uns avec les autres. L’unique espace partagé ici est celui de la voie publique. La maison individuelle est un logement individuel, le terme de « pavillon » est aussi employé pour la désigner. Elle est totalement autonome et

l'élaboration de projets tant architecturaux, urbains que paysagers. L'alternance de cours théoriques, pratiques, de travaux encadrés, de stages, d'initiation aux méthodes de la recherche donnent les clefs pour faire face à la maîtrise de l'espace bâti qui constitue un enjeu essentiel dans le monde d'aujourd'hui et de demain. L'architecture est « une expression de la culture ». Elle est d'intérêt public. Ce principe, affirmé avec force dans la loi de 1977 sur l'architecture trouve son expression

ouvertures sur l’extérieur pour un souci hygiénique. Tout le long de l’avenue de Temara des boutiques sur lesquelles vont venir se greffer des habitations et créer le quartier Diour jammae. C’est à peu prés la seule construction que l’Etat colonial a bâti au départ pour les marocains, laissant à ces derniers le soin de le faire, dans des quartiers qui se trouvaient loin du centre ville et qui ne constituaient pas encore un réel danger pour eux ou pour le développement harmonieux de la ville.

constituent dorénavant les techniques décoratives privilégiées. Plat, terre cuite peinte et décorée 2ème période arawak e cu ak Site de Dizac, Diamant, Martinique Les petites figu figurines modelées sont appelées "adorno ornos". Musée archéologie de Martinique M Les ustensiles du quotidie étaient de facture grossière, mais les poteries tidien ma cérémoniales étaient bien réalisées. La céramique arawak se constitue de : coupes, vases à ouicou (bo (boisson alcoolisée rituelle), des bouteille

II-Présentation générale de l'édifice a- Contexte historique Ce sanctuaire fut bâti sous le nom de Sernin ou Saturnin car il a été bâti exactement à l'emplacement de sa tombe. C'est un bâtiment qui a été construit dans le but de « rendre hommage » à la mémoire de Saturnin , qui a été le premier évêque et martyr de Toulouse . Il a vécu dans la première moitié

oublier qu’ils sont aussi façonnés... La « production » du paysage-objet, aussi bien que le cadre naturel dans lequel elle s’inscrit, a cependant déjà été bien explorée grâce aux disciplines explicatives du paysage matériel (sciences naturelles, archéologie, histoire, géographie...), ce qui a permis de rendre compte de la réalité matérielle du paysage en terme de naturalité et d’historicité. Il s’agit en effet de reconnaître avec précision le cadre physique (et par là de mieux saisir les interrelations

Sereer. Ces deux populations et sûrement d'autres ne se sont pas installées en Sénégambie à la même période. Dès lors tous les tumulus d'une même région ne sont pas forcément contemporains. La réflexion de G. Aumassip illustre ce problème : "  En archéologie, le concept de contemporanéité n'est, même dans les conditions d'observation les plus favorables, qu'une apparence à application analogique. Le seuil de résolution temporel des procédés de datation les plus sophistiqués n'autorise pas le préhistorien

d'exercice et domaines professionnels de l'architecture. L'accent est mis sur les enjeux du développement durable, la prise en compte des risques majeurs, la qualité d’usage et l’accessibilité des bâtiments, la réhabilitation et les interventions sur le bâti existant. L'habilitation de l’architecte diplômé d’Etat à l'exercice de la maîtrise d'œuvre en son nom propre (HMONP) est une formation d’une année. Elle comprend une formation théorique de 150 heures minimum et une mise en situation professionnelle

VINCENT Marion Nîmes Colonia Augusta Nemausus Licence 2 Histoire de l’Art et Archéologie 15/12/2010 Sommaire : Introduction ……………………………………………………………………………………………………………….. p. 3 2 I- Description et statut de Nemausus ………………………………………………………….. p. 3 II- Urbanisation de la cité ……………………………………………………………………………. p. 4 III- Edifices de spectacle ………………………………………………………………………………… p. 5 IV- Edifices religieux …………………………………………………………………………………….…. p. 6 Conclusion ……………………………………………………………………………………………………………………