Aristocratie

—> apparaissent les législateurs (constitut°) = Soumission à LA LOI.! ! => Marche vers la démocratie à Athènes! ! LOIS DE DRACON (-621) :! Le droit pénal voit le jour et est attribué aux seules autorités =/= ! ! ! ! ! phratries et aristocratie.! SOLON —> Classification des citoyens par leurs richesses. (4 classes fondées sur le cens)! ! —> Crée la Boulê et tribunal de l’Héliée.! ! SOLON = Législateur athénien et homme d’Etat.! AEROPAGE = Institution juridique suprême en Grèce

ses vassaux ( lien féodal ) L'Hommage, un seigneur rentre en vassalité à un autre seigneur, on se reconnaît l'Homme d'un seigneur. Le seigneur doit protection à ses vassaux => C'est le contrat. L'aristocratie du 17ème siècle sort de cette aristocratie du Moyen Age. Le Moyen Age => problèmes, histoire de la France. 17,18ème siècle: extension des territoires. Au 16ème siècle, le seigneur est si puissant que même si il y avait désaccords, ils s'inclinaient. Fin 16ème : guerre de religion ( protestant/

comparaison entre les Anglais, les Allemands et les Français, au détriment des deux derniers. La critique passe encore ici par l'utilisation d'hyperboles et de connotations défavorables. L'adjectif " monstrueuse " présente l'association commerce / aristocratie comme une anomalie fondamentale selon les Allemands. On peut observer la reprise du mot " orgueil " qui figure déjà à la ligne 23 dans le sens de vanité mais non de fierté légitime. La critique s'exprime par la mise en relief ironique de l'attachement

soutenaient de bon gré le blason au Guépard." De ce fait, il est le véritable "maître" de sa classe et se revendique lui-même comme membre de la vieille classe dirigeante : l'aristocratie. Si le Prince semble être le symbole vivant de la puissante aristocratie, sa famille a son importante aussi au sein de cette classe sociale. En effet, prenons exemple sur son neveu, Tancredi, qui est son véritable double en plus jeune ( notons tout de même que Tancredi est un noble, certes, mais ruiné). Tout comme son

un héritage historique. Ainsi, selon Montesquieu, on observait historiquement une chambre aristocratique et une chambre représentant le peuple. Ceci est symbolisé dans les institutions parlementaires britanniques par la Chambre des Lords (pour aristocratie) et la Chambre des Communes. Le bicaméralisme tend à se généralisé au XIXème ; c’est notamment le cas en France avec l’instauration du régime parlementaire sous la Restauration et la Monarchie de Juillet, où le Parlement se compose d’une chambre

sont bien placés. L’exemple de l’élection du doge de Venise confirme cette distinction, loin de la détruire : cette forme mêlée convient dans un gouvernement mixte. Car c’est une erreur de prendre le gouvernement de Venise pour une véritable aristocratie. Si le peuple n’y a nulle part au gouvernement, la noblesse y est peuple elle-même. Une multitude de pauvres Barnabotes n’approcha jamais d’aucune magistrature, et n’a de sa noblesse que le vain titre d’excellence et le droit d’assister au grand

bureaux85. Aux VIIIe et IXe siècles, la fonction publique constitue le meilleur chemin vers le statut aristocratique, mais, à partir du IXe siècle, une aristocratie de la noblesse héritée rivalise avec l'aristocratie civile. Selon certaines recherches sur le gouvernement byzantin, la politique du XIe siècle est dominée par la concurrence entre les aristocraties civiles et militaires. Au cours de cette période, Alexis Ier Comnène entreprend d'importantes réformes administratives, comprenant la création de

égaux. Elle repose sur le principe de vertu (dévouement, patriotisme, comportements moraux et austérité traditionaliste, liberté, amour des lois et de l'égalité)7. Montesquieu voit ce système comme plus adapté aux communautés de petite taille. Aristocratie, régime où un type de personnes est favorisé à travers les élections. Repose sur le principe de modération (fondée sur la vertu et non sur une « lâcheté ou paresse de l'âme »8) pour éviter le glissement à la monarchie ou le despotisme. Dans les

le déclin d’un autre grand thème. En effet tout au long du roman l’auteur cherche à nous montrer grâce à de nombreux symboles que la noblesse est en pleine déchéance. Pour cela il nous présente à l’aide du salon non utilisé des Briseville une aristocratie qui se replie sur elle-même, qui n’organise plus de réception comme le faisait les nobles auparavant. Celle-ci n’a plus sa place dans la société, elle reste emprisonné dans le passé comme le montre les vêtements de la vicomtesse qui sont hors

membres de la classe noble en Attique, il exerce sur Athènes un fort pouvoir oligarchique. Le pouvoir oligarchique est un système politique dans lequel le pouvoir appartient à un petit nombre d’individus constituant soit l’élite intellectuelle, aristocratie, soit à une minorité possédante, ploutocratie, c’est donc l’accaparement d’un pouvoir ou d’une autorité par une minorité. En effet, ils sont chargés de connaître les questions sacrées, de fournir des magistrats, d’enseigner les lois et aussi d’interpréter