Aristote Futurs Contingents

justice doit être organisée par un gouvernement d’Elites composé d’un Roi-philosophe et de ses magistrats. Section 4 : Aristote et le droit politique : Aristote a consacré beaucoup de libre à la thématique de la justice et du droit : Les deux important sont La Politique qui est un traité de philosophie dont le droit présente une grande partie mais c’est surtout L’Ethicaninomémac. Aristote distingue la morale et le droit sans toutefois lié les ressorts moraux du droit, mais ce qui l’intéresse c’est d’étudier

| |Le contenu propositionnel (les différences dans le contenu propositionnel qui sont déterminées par des mécanismes liés à la force | |illocutionnaire : états de choses passés, pour le rapport, états de choses futurs, pour la prédiction). | |Mais pas : les différences entre actes essentiellement et non essentiellement linguistiques (qui ne peuvent pas ou respectivement qui | |peuvent être accomplis y compris sans le dire :

imitazione, che son per sè, sì che male in gran parte riman difeso Omero; pur rimane a mio giudicio difeso in alcuna parte, cioè in quella dove l’opposizioni riguardano alcune cose accidentali. (LP XXVIII, 2-7) Évidemment, le Tasse reprend Aristote et la défense soutenue par Plutarque (De audiendis poetis) aux accusation ontologiques et éthiques de Platon aux œuvres de Homère, et de cette façon le poète sauvegarde les parties où l’on aurait pu «desiderare più istoria e men poesia», en y reconnaissant

qu’ils appartiennent à une espèce étrangère, ni les mêmes besoins ni les mêmes sentiments que les autres. Illusion commode pour les économisent qui déplorent le poids que les non-actifs représentent pour les actifs. Comme ci ceux-ci n’étaient pas des futurs non actifs et n’assuraient pas leur propre avenir en instituant la prise en charge des gens âgés. Si mêmes désirs mêmes sentiments mêmes revendications que les jeunes ils scandalisent, chez eux l’amour la jalousie semblent odieux ou ridicules la

le bonheur ne peut pas totalement nier le temps. Et ainsi, vis-à-vis de l’ouverture du présent à l’avenir, il faut reconnaître avec Rousseau « qu’on n’est heureux qu’en attendant de l’être. » : « elle [l’âme] dirige ses pensées vers les plaisirs futurs » (VI, 1). Or, justement, c’est ce que Sénèque va refuser : le passé nous livre à la nostalgie. Il encombre l’esprit qui devrait se consacrer au présent, seul temps de la moralité (cf. note n° 2, p. 55). Quant au futur, il livre l’esprit à la crainte

institutionnels : l'indifférence de la sociologie générale le poids de la philosophie politique l'emprise du droit public Que fait-on en science politique et comment le fait-on ? I- Naissance de la science politique Pensée politique grecque avec Platon et Aristote → recherche des meilleurs modes de gouvernement. 4 périodes sont à distinguer. A- Les origines = science politique avant le 19ème siècle Dès l'Antiquité, il existe des formes d'organisation politique, la police est étudiée dans la philosophie.

Résumé 15 Eléments de biographie 15 Maïeutique et ironie 15 Ethique et connaissance de soi 16 Le procès de Socrate 16 Conclusion 17 Platon (427-347) 17 Les Idées 18 L’allégorie de la caverne 18 Eros 18 Philosophie morale et politique 19 Aristote (384-322) 20 Physique 21 Ethique 21 Le divin 22 Politique 22 Esthétique 22 Autres philosophes grecs 23 Diogène le cynique (410-323) 23 Epicure (341-270) 23 Le philosophe grec 24 L’époque romaine 24 Lucrèce (98-56/55) 24 Le stoïcisme :

que les animaux, que les plantes mêmes peuvent bien vivre. Quand on distingue le bonheur de la vie en général, qu'on le regarde comme supérieur à la vie végétative et même à la vie sensitive, qu'on le place dans la vie raisonnable (comme le fait Aristote), il reste encore à dire pourquoi on accorde la prééminence à la vie raisonnable, à expliquer si on estime la raison pour elle-même ou seulement pour les objets qu'elle peut nous procurer afin de satisfaire les premiers besoins de la nature :

ensemble, et qu’ils ne se remarqueraient pas si cette vague qui le fait était seule. » Gottfried Wilhelm Leibniz, Nouveaux Essais sur l’entendement humain, préface, Paris, Flammarion, 1990, pp. 41-42. « Il n’y a pas de science par la sensation. » Aristote, Seconds Analytiques, Paris, Flammarion, 2005, chapitre I, 87b. « Nous percevons bien des choses, et formons des notions universelles à partir des singuliers, qui se représentent à nous par le moyen des sens de manière mutilée, confuse, et sans ordre

qu’être différent ? l’autre, mais à établir une relation d’enrichissement mutuel (exemple de l’amitié, développé par Kant). « La connaissance de soi n’est pas possible L’accroche sans la présence de quelqu’un d’autre qui soit notre ami. » (Aristote) Le plan détaillé du développement I. Comprendre autrui revient à l’identifier à soi. a)  Au sens intellectuel, la compréhension suppose la saisie des intentions, des propos, par la disposition commune de raison (cf.  analyse de Malebranche)