Aristote Invitation à La Philosophie

d’une action vraiment spontanée, elle équivaut à ce qui correspondrait à une action libre au cas où la notion de liberté aurait vraiment un sens. Le spontané est non réfléchi. Il semble irresponsable d’associer la liberté à l’absence de réflexion. Pourtant, tout n’est pas réfléchi dans la réflexion, il y a bien une forme d’existence antérieure à la réflexion et elle doit bien avoir un peu d’ouverture et de liberté si elle a pu mener ultérieurement à la réflexion. De même il doit bien y avoir quelque

Plan du cours Introduction : de la permanence des questions philosophiques au cœur de la modernité 1-Analytique de la modernité : cadre conceptuel 2- Quelques courants de la philosophie moderne 2.1- Le tournant galiléen ou la reconnaissance des droits de la raison scientifique 2.2-Descartes : le cogito comme nouvelle entrée dans la modernité et dans la subjectivité 2.3-L’Aufklärung : les lumières de la Raison 2.3.1-L’esprit des Lumières : de la publicité de la raison chez Kant 2.3.2-La question

DIALECTIQUE MACONNIQUE »Quoique dubitatif quand j’ai pris connaissance de ce sujet, j’en ai pris la mesure et tout l’intérêt dès mes premières lectures et réflexions. Nous sommes en loge pour pratiquer un rituel qui n’est pas une routine mais bien une invitation à l’éveil par la richesse de ses symboles exprimée par la parole, la gestuelle, la vision, l’ouïe et les silences qui en disent long. Au cours de ce travail, j’évoquerais la dialectique en général et ensuite la manière dont elle se déploie et s’exprime

1 Que peut-on comprendre du mal ? En quoi la philosophie a pu soutenir le croyant dans la recherche d’une réponse à cette question. PLAN Introduction……………………………………………………………………………….p.1 I. Que peut-on comprendre de la nature du mal ?..................................................p.2 A. Plotin et le non-être du mal………………………………………………...p.2 B. Saint Augustin face à la conception manichéenne du mal…………………p.3 C. Saint Thomas d’Aquin et l’étiologie d’Aristote……………………………p.4 II. L’origine

blanche) que lui disait : « Ce n’est pas possible que la sorcière ait réuissi à avoir un enfant ! ». À cause de cette image (que lui a porsuivi toute sa vie), les personnes pensaient qu’il était comme un anormal (il traité sa anormalité : il s’a servi de cette situation défavorable et l’ai retournée à son profit). L’écrivain parle aussi d’autre image forte : son père se peignant en face ao miroir, avant son départ à la guerre. Il nos raconte encore quelques informations sur sa mère (la sorcière)

Etude du livre VIILa République Platon Il s'agit, comme le titre l'indique, d'un ouvrage de philosophie politique, mais pas seulement. Socrate dans ce dialogue rédigé par Platon présente à ses interlocuteurs une Cité idéale, parfaite, où règne la justice. On a reproché à ce projet d'être utopique. Mais cet idéal, s'il est irréalisable sur le plan politique, est réalisable sur le plan individuel. La Constitution de la Cité parfaite, même si elle est utopique, est riche en réflexions sur la politique

philosophie1) La philosophie quant à elle est une activité essentiellement rationnelle, ayant non seulement son origine dans notre raison, mais aussi, s'adressant à celle-ci.II- Conséquence : le rapport entre l'art et la philosophie est un rapport d'irréductibilité et d'oppositionA- Ils sont irréductibles du point de vue de la méthodeB- Art et philosophie sont irréductibles du point de vue de leur contenuIII- Dépassement de l'opposition tranchée art et philosophieA- La philosophie a besoin de l'artB-

progrès Longtemps, le développement de la technique s’est fait quasiment sans bornes ni limites. Le présupposé d’un progrès, à la fois fin (but de l’action technique) et produit (résultat obtenu grâce à son intervention), lui conférait un pouvoir souverain. Conçue comme autorégulatrice et, de plus en plus, comme autofinalisée, la technique a répondu à sa propre expansion ou à des besoins par elle-même créés, dans une logique de surenchère, ou dans une forme de fascination narcissique, sans réfléchir

LES GRECS ONT-ILS CRU A LEURS MYTHES ?L’auteur :Il est né en 1930, d’origine française et il est issu des milieux modestes. Il fasciné par l’antiquité dès son enfance. Paul Veyne est un historien du monde gréco-romain et un professeur honoraire au Collège de France. Il a étudié l’influence de sociologues, d’historiens au sujet de la « philosophie critique de l'histoire ». De plus, il fait une recherche sur l’émergence du christianisme dans l’Empire Romain et puis de sa victoire, sujet

attitudes, nous interrogent et mettent à mal nos certitudes ! Il y a eu de grandes époques de l'école. Une marquée par la prépondérance de la continuité, un héritage ancestral à perpétuer, et, en même temps, une certaine méconnaissance des finalités individualistes. La seconde, depuis les novateurs pédagogiques du début de ce siècle, a vu un recentrage sur les capacités, l'expression et l'épanouissement des sujets singuliers. L’Antiquité : de la Grèce à Rome Si en France, nous pouvons dire