Aristote L étonnement Quelle Condition

dans l’écrit Théétète. Mais en quoi consiste cet étonnement philosophique ? sommes nous tout capable de cet étonnement ? si oui, quelles en sont les conditions qui le rende possible ? La philosophie est-elle un étonnement parmi d’autres ou la source de l’étonnement ? Dans un premier temps nous essaierons de montrer que l’étonnement est à l’origine de la philosophie, dans un deuxième temps, nous nous demanderont d’ou vient le fait de cet étonnement puis nous constaterons qu’il existe des obstacles

positif permettant la découverte. Ne pas s’étonner serait-ce donc dangereux pour l’homme ? Faut-il donc toujours s’étonner ? Ou cela peut-il être nuisible ? Pouvons-nous savoir, dans quelles conditions est-il mieux ou non de s’étonner ? S’étonner est la première qualité d’un philosophe. En effet, Aristote affirme que « c’est l'étonnement qui poussa, comme aujourd'hui, les premiers penseurs aux spéculations philosophiques » L’être humain s’étonne de faits inhabituels, exceptionnels ou rares, or

Argumentation texte Aristote Argumentaire Argument 1 1. C’est, l’étonnement qui poussa, comme aujourd’hui, les premiers penseurs aux spéculations philosophiques. Au début leur étonnement porta sur les difficultés qui se présentaient les premières à l’esprit. Puis s’avançant ainsi peu à peu, ils étendirent leur exploration à des problèmes plus importants, tels que les phénomènes de la Lune, ceux du Soleil et des Etoiles

est aussi la seule de toutes les sciences qui soit libre, car seule elle est sa propre fin." Quel peut bien être le but de l'activité philosophique ? Aristote, philosophe de l'Antiquité, élève de Platon, s'est employé à répondre à cette question dans l'un de ses ouvrages majeurs, la Métaphysique. Dans un passage célèbre de cette œuvre, Aristote met ainsi en évidence la spécificité de cette activité, dans laquelle il s'est lui-même illustré, en remontant à ses origines. Fille de l'étonnement, la

Quel peut bien être le but de l'activité philosophique ? Aristote, philosophe de l'Antiquité, élève de Platon, s'est employé à répondre à cette question dans l'un de ses ouvrages majeurs, la Métaphysique. Dans un passage célèbre de cette œuvre, Aristote met ainsi en évidence la spécificité de cette activité, dans laquelle il s'est lui-même illustré, en remontant à ses origines. Fille de l'étonnement, la philosophie se distinguerait, selon lui, des autres activités par sa liberté, en tant qu'elle

Excepté l’homme… plus ou moins évidente » = la nature, de l’inconscience à la conscience, par l’intermédiaire de l’homme. II. L’homme comme animal métaphysique : « De cette réflexion et de cet étonnement en soi et pour soi ». III. « Au contraire… se comprendraient d’elles-mêmes » : la spécificité et les caractéristiques de l’étonnement philosophique. I. L’homme est un être à part dans la nature car seul

Aristote est un philosophe grec né à Stagire en Macédonie, en-384, et mort à Chalcis, en Eubée, en -322. Le thème majeur de ce texte est la métaphysique (science universelle, science des formes). Néanmoins nous retrouvons la physique. La thèse de ce texte se divise en deux parties : dans la première partie l’auteur considère l’étonnement une origine de philosophie (l1 à 10), mais dans la deuxième partie il considère la philosophie une pensée libérée de toute utilité (l10 à 20). Ainsi dans la

question de l'Humanité serait l'origine même du questionnement philosophique. Par Humanité, il faut comprendre tout ce qui est relatif à l'Homme en général : ses croyances, ses habitudes, ses pensées, sa culture, son environnement... Comme a dit Aristote dans Métaphysique : « L'étonnement est ce qui, toujours, pousse les hommes à philosopher. ». C'est sans doute ce « sentiment philosophique », comme le caractérisait Platon, qui a permis à l'Homme de s'adapter à un monde qui lui est, par multiples

) 1er caractéristique : Poser la question « qu’est ce que ? » Toujours partir d’un étonnement. La philo sert à determiner si ou ou non une opinion et légitime ou pas, c.a.d si elle est fondé sur la raison. Si cela peut être accepter universellement. 2ème caractéristique : Prendre conscience de son ignorance, rejeter toute opinions. Philosopher s’accompagne d’un sentiment d’émerveillement. ( Aristote soulignera l’étonnement. ) Un philosophe doit être capable d’utiliser sa raison en la confrontant

de la réflexion de la pensée qui existe entre animal politique et doué de raison : L'Homme est doué de paroles, but pour devenir un animal politique. Pour Rousseau l'état est artifice alors que pour Aristote il est biologique. « Née du besoin de vivre, la cité existe pour être heureux. » Aristote Éthique à Nicomaque d'Aristote. Les actions ont un but ultime, le bonheur (finalisme dans tous les domaines). Développement de toutes les potentialités, vertus et raisons. Chaque chose a une fonction