Aristote L étonnement Quelle Condition

l’étonnement ? Cette question de fond ouvre des pistes de réflexion tout à fait intéressantes, car l’étonnement est un effet de surprise caractérisé par l’inattendu, l’imprévu. La notion d’étonnement renvoie à celle de stupéfaction qui s’applique à un étonnement profond empêchant toute réaction. Or le mot stupéfaction est proche du mot stupeur. Qui a le double sens d’étonnement profond dû à une vive émotion et d’engourdissement de l’intelligence et de la sensibilité. Celui qui est frappé de stupeur est

peut-elle nier l’évidence, critère de vérité, et prétendre la rechercher ? 2 ABC- La valeur de la philosophie réside dans cette possibilité de douter Se libérer des habitudes est la condition pour éveiller sa pensée La philosophie accroît la connaissance d’une réalité possible La philosophie comme étonnement Conclusion ■ Corrigé (corrigé complet) Introduction1 La philosophie comme « amour de la sagesse », quête de la vérité, s’applique d’abord à rejeter ce qui se présente sous l’apparence

 1. L’étonnement est la condition même d' une anthropologie à vocation éthique, développez cette affirmation en montrant les articulations entre les différents points de matière auxquels elle fait référence. Aristote a dit: « l’étonnement est le début de la philosophie ». L' étonnement, mène au questionnement et sans questionnement, pas d'anthropologie ni de philosophie. S’étonner du pourquoi et du comment des choses sans en connaître les causes nous mène a philosopher. L' anthropologie

ma totalité et mon être. » MOUNIER. Aporie, étonnement : → aporie: difficulté, problème, situation sans issue. Difficulté insoluble, problème d'où l'on ne peut sortir ; confrontation (sans solution) de deux opinions contraires. «  Difficulté : lorsque, raisonnant dans les deux sens, toutes les raisons nous paraissent égale de part et d'autre. C'est alors que nous sommes dans l'incertitude sur l'action à entreprendre. » ARISTOTE. → étonnement : Système, formalisme, axiomatique : → système

souvent décrit comme procédant de l'étonnement et du doute. De cet étonnement, plusieurs interprétations sont possibles : • l'étonnement comme prise de conscience que l'on ignore quelque chose ; dans ce cas l'étonnement prend la forme d'une question. Par exemple: quel est le principe des choses ? « C'est en effet l'étonnement qui poussa comme aujourd'hui les premiers penseurs aux spéculations philosophiques. Au début, leur étonnement porta sur les difficultés qui se présentaient les premières à

l’intérêt philosophique » ; or on sait avec Nietzsche qu’il n’y a que la nécessité, non vécue comme une contrainte (= une exigence contingente et douloureuse), qui permet à la liberté de s’exercer. On ne pourra donc donner l’envie de philosopher qu’à condition d’apporter la preuve de la nécessité de disserter. Il faut donc montrer la nécessité d’un traitement philosophique des objets (pourquoi ne se contenter que d’une essence plutôt que d’une simple explication subjective ?) qui dès lors rendra la dissertation

lui-même. Taumazein = l’étonnement, l’émerveillement est le commencement de la vie intellectuelle. Et c’est pq la grande question en philosophie est pq y-a-t-il quelque chose plutôt que rien ? ce qui fait l’objet d’un étonnement d’un étonnement sans fin c’est le fait d’être selon Aristote. Le plus grand danger pr l’H est de cesser d’ê humain. La théologie répond à cette question de la vie et de la mort. La raison remonte à un ê qui lui est éternellement qui a la simplicité qui est parfait qui n’a jamais

« L'art n'est sûrement qu'une vision plus directe de la réalité » Bergson Pb : A quelles règles techniques pourrait répondre un objet inutile ? Œuvre d'Art n'a pas de fonction précise. Elle suscite beaucoup de sentiments : étonnement, surprise … La beauté est-elle la condition d'une œuvre d'art ? Me plaît-elle forcément ? On ne peut pas la définir car elle affecte nos sens. Platon se méfie des OA : source d'illusion ? Il s'inscrit dans la lignée des philosophes plus scientifiques, comme Descartes

Calliclès affirme que la domination des plus forts sur les plus faibles est une loi. Le scepticisme libère l’opérateur et déjoue toute espèce d’analyse critique. L’introduction est suivie d’un chapitre sur Aristote. On peut s’appuyer pour dire que l’histoire ne vise pas à la vérité car Aristote pense que la poésie est supérieure à l’histoire (elle ne vise que le particulier donc elle a un caractère trivial). L’histoire convainc donc son objectif est la persuasion et non la vérité. En tout état de

profondément, notre existence. Il faut tout de même préciser que nous formulons des idées spéciales, en effet il faut s'interroger, s'examiner, tout remettre en question continuellement. Cette recherche commence avant tout pas un choc, un malaise, un étonnement qui va nous déstabiliser car nous nous rendons comptes des limites de nos connaissances. On ne sait pas répondre, alors qu’on pense avoir la réponse et être capable de la donner sans difficulté. Ce choc nous amène à l'envie de connaître la vérité