Armand du Paty de Clam

fixé, l’auteur entame sa deuxième partie, la reprise de l’affaire. II. La reprise complète de l’affaire1. L’accusation violente et répété du lieutenant-colonel du Paty de Clam  Il commence ses accusations, avec un premier nom le « lieutenant-colonel du Paty de Clam » (ligne 20), officier supérieur français, passionné de graphologie, c’est à lui que sera confiée l’expertise de la clef de voute de l’affaire, le Bordereaux. Son rôle sera

générale au ministère de la Guerre où il se rend en civil. En raison des soupçons pesant sur celui-ci, le commandant Armand du Paty de Clam lui demande d'écrire une lettre. Au cours de la dictée, le 15 octobre, il est arrêté sur ordre du général Mercier et accusé de haute trahison. Il proteste de son innocence et est incarcéré à la prison du Cherche-Midi. Le commandant du Paty de Clam écrit au chef d'État-major, que la preuve devant servir de fondement à l'arrestation de Dreyfus est fragile. Le 3

rend en civil. En raison des soupçons pesant sur celui-ci, le commandant Armand du Paty de Clam lui demande d'écrire une lettre. Au cours de la dictée, le capitaine Dreyfus est arrêté et accusé de haute trahison. Il est aussitôt interrogé. 15 octobre 1894 : Le capitaine Dreyfus est arrêté sur ordre du général Mercier. Il proteste de son innocence. Il est incarcéré à la prison du Cherche-Midi. Le commandant du Paty de Clam procède avec le commissaire Cochefert, chef de la sûreté, à une perquisition

prouvait qu’un traître livrait des informations militaires. 13 octobre 1894 : le capitaine Dreyfus est convoqué pour une inspection générale au ministère de la Guerre. En raison des soupçons pesant sur celui-ci, le commandant Armand du Paty de Clam lui demande d'écrire une lettre. Ensuite Dreyfus est arrêté et accusé de haute trahison. Il est aussitôt interrogé. 22 décembre 1894 : Alfred Dreyfus est reconnu coupable de haute trahison, il est condamné par le conseil, à l'unanimité

pouvoir ne serait-ce que grâce au nom que l'auteur lui a donné. Dans une optique de parallèle avec l'Histoire, Greatauk serait à l'image du ministre de la guerre de l'époque, le général Auguste Mercier, et le personnage de Panther serait alors Armand Du Paty de Clam, qui en 1894 fera des pieds et des mains pour obtenir les aveux de capitaine Dreyfus après avoir déclarer qu'il était l'auteur du « Bordereau ». L'image de la panthère (Panther = panthère) annonce peut être la fourberie qui caractérise le

Dreyfus, attaché au 3e Bureau de l'État-major, achevant une période de deux années de stage, est convoqué pour une inspection générale au ministère de la Guerre où il se rend en civil. En raison des soupçons pesant sur celui-ci, le comman-dant Armand du Paty de Clam lui demande d'écrire une lettre. Au cours de la dictée, le capitaine Dreyfus est arrêté et accusé de haute trahison. Il est aussitôt interrogé. Le capitaine Dreyfus est arrêté sur ordre du général Mercier. Il proteste de son inno-cence. Il

Dreyfus, attaché au 3e Bureau de l'État-major, achevant une période de deux années de stage, est convoqué pour une inspection générale au ministère de la Guerre où il se rend en civil. En raison des soupçons pesant sur celui-ci,  le commandant Armand du Paty de Clam lui demande d'écrire une lettre. Au cours de la dictée, le capitaine Dreyfus est arrêté et accusé de haute trahison. Il est aussitôt interrogé. Le 5 octobre 1894, Le capitaine Dreyfus est arrêté sur ordre du général Mercier et une perquisition

En quoi l’Affaire Dreyfus divise-t-elle la France ? Selon un bruit largement répandu, que reprend l’historien Armand Israël, il ne fait aucun doute que si Dreyfus n’avait pas été concerné par l’affaire éponyme, il aurait été antidreyfusard. Bien que récusée par de nombreux autres historiens, cette assertion illustre la grande complexité de cette fameuse intrigue qui, d’abord confinée au milieu militaire, va frapper la France dans sa quasi-totalité et la fracturer en deux camps distincts :

Renseignements Agitateur des rues Cibler ses notes : la matrice « active » Maître Demange Matthieu Dreyfus Lucien Herr Jean Jaurès Maître Labori Bernard Lazare Maître Leblois Général de Miribel Général de Pellieux Édouard Drumont Commandant du Paty de Clam Ferdinand Esterhazy Général Gonse Jules Guérin Émile Loubet 31 32 Méthode 2 Tableau 2.9 – Personnages principaux de l’affaire Dreyfus : tableau synoptique par opposition Dreyfusards Principaux acteurs Charles Péguy Colonel Picquart

effrayante». Il sortait peu, sinon pour se documenter ou pour ses travaux de journaliste parlementaire. Au café tenu par Auguste Guerbois, 11 Grande-Rue des Batignolles, le vendredi et le dimanche, il rencontrait Duranty, Philippe Burty, Théodore Duret, Armand Silvestre, Manet, Guillement, et tous les peintres du groupe des Batignolles. Le jeudi, il recevait chez lui surtout des amis d'enfance. Parmi les écrivains, il ne fréquentait que Gustave Flaubert (qui avait dix-neuf ans de plus que lui), Edmond de