ARN polymérase

cellules hôtes ; - les sondes nucléiques ; - les puces à ADN. 2.2. Principales techniques 2.2.1. Analyse des acides nucléiques On présentera : - l’extraction ; - la quantification ; - la séparation électrophorétique ; - le séquençage : ADN, ADNc, ARN. 52 2.2.2. Hybridation On présentera : - le principe de l’hybridation ; - l’hybridation sur membrane ; - l’hybridation in situ. 2.2.3. Amplification On présentera : - l’amplification d’un ADN par PCR et la détection du produit

670 cm-1), de liaison NH (bandes à 1550 et 3260 cm-1) et de groupements CH3 (bandes à 2975 cm-1). Mode d'action des dithiolopyrrolones  La thiolutine, comme d'autres dithiolopyrrolones, empêche la synthèse de l'ARN messager en inhibant les ARN polymérases. Cette action à été démontrée chez les eucaryotes comme Saccharomyces cerevisiae (Tipper, 1973; Jimenez et al., 1973; Herrick et al., 1990; Adams et Gross, 1991 ; Lee et al., 1996; Webster et al., 2002) et chez les procaryotes comme Escherichia

l’opéron gapA intégrant les différents niveaux de régulation décrits. p. 176 Figure 62 : Schéma combiné du métabolisme central du carbone et de sa régulation transcriptionnelle chez Bacillus subtilis. p. 191 13 Abréviations ADN ADP AMPc Arg ARN ARNm ATP Ca CAP CAT CcpA CoA Cra cre Crh CRP Da DO EI EII FAD Kb GAPDH GDP GTP His HPr HPr-His15-P HPr-Ser46-P HPrK/P IPTG Lys acide désoxyribonucléique adénosine diphosphate adénosine monophosphate cyclique arginine acide ribonucléique acide ribonucléique

permettant de traduire une protéine. Pour exprimer ce gène il est nécessaire de passer par une transcription c'est-à-dire la transformation des régions codantes de l’ADN en ARNm par une enzyme l’ARN polymérase. L'ARNm est alors traduit en protéine à partir des acides aminés en présence des ribosomes et des ARN de transfert (ARNt). Les mutations des gènes peuvent donc avoir de graves conséquences sur la morphologie de la protéine qu’il code. Les mutations responsables de la maladie sont des mutations

2’-azinobis-(3-éthylbenzothiazoline- 6-sulfonique) ADN : acide désoxyribonucléique AGS : Acide Gras Saturés AGMI : Acide Gras MonoInsaturés AGPI : Acide Gras PolyInsaturés ALD : maladies alcooliques du foie ALT : sérum alanine aminotransférase AOM : azoxyméthane ARN : acide ribonucléique Atm : Atmosphére C : concentration M ou mol/l CCI : Transitional Cell Carcinoma CCl4 : tétrachlorure de carbone CDDP: Cis-Diamminedichloride platinum CE50 : concentration efficace pour réduire 50% du DPPH initial

milieu vivant Ils sont dangereux pour la santé car ils attaquent les enzymes, en particulier l’ADN polymérase. C’est le cas de certaines toxines qui ont une structure d’accepteur de Michael. H ¨ Enz-SH O OEt S Enz + OEnz Figure 4.49 Heureusement le gluthation, un composé présent dans la plupart des tissus, nous offre une protection : il réagira plus vite sur l’accepteur de Michael que l’ADN polymérase. O HO2C NH2 N H SH H N O OEt S O OEt CO2H glutathion (Glu-Cys-Gly) O R SH ¨

procaryotes et eucaryotes (gènes de classe I, II et III) et des différentes étapes de leur expression: transcription, traduction. Les aspects spécifiques aux procaryotes (expression liée à une organisation en opéron) et aux eucaryotes (maturation des ARN) sont développés. Les notions de régulation de l'expression du message génétique sont abordées mais peu développées (elles le seront dans le module de Biologie Moléculaire 2 en L3). Les séances de TD ont toutes un thème différent. Certaines illustrent

d’un gène dépend d’un facteur de remodelage de la chromatine qui permet : à des enzymes de modifier les histones, à des gènes précoces qui sont souvent des facteurs d’activation nucléaire d’accéder à la chaîne d’ADN à l’ARN polymérase de transcrire l’information génétique en ARN messager (mARN). Ce système de remodelage de la chromatine et de modification des histones maintient un état d’activation ou de répression de la transcription. La destinée des cellules est ainsi déterminée par des compartiments

l’institu Pasteur. Utilisation de : www.doctissimo.fr, http://www.futura-sciences.com/, http://www.sante.gouv.sn/, http://www.sante.gouv.fr, www.wikipidia.fr, www.pasteur.fr Hépatite A L’hépatite A est une maladie du foie qui est due à un virus à ARN de la famille des picornavirus, une famille de virus qui comprend aussi les poliovirus et les rhinovirus. La période de contagion correspond à peu près à la période d’incubation de la maladie. Comme les symptômes sont absents, le patient ne sait pas

l’activité α amylase provenait d’une synthèse de novo de l’enzyme (expériences de marquage en densité D₂O ou avec des acides aminés ¹⁸0 suivi d’une centrifugation à l’équilibre) et que cette synthèse provenait elle-même de la production de nouveaux ARN messagers spécifiques (expérience de Northern, inhibiteurs de la transcription). De nombreuses études ont ensuite porté sur la chaîne de transduction du message gibbérelline. Si diverses expériences démontrent la présence de récepteurs de GA sur