Arthur Schopenhauer Maupassant

périodes, en mettant en avant la prééminence de l'un ou l'autre de ces thèmes17. On distingue ainsi une période comprenant La Naissance de la Tragédie et les Considérations Inactuelles, période pendant laquelle Nietzsche s'engage, sous l'influence de Schopenhauer et de Wagner, en faveur d'une renaissance culturelle de la civilisation allemande. La deuxième période est la période positiviste (de Humain, trop humain au Gai Savoir) ; Nietzsche rompt avec le wagnérisme, et développe une pensée historique et

démarquait du pessimisme schopenhauérien et du sens tragique de l'auteur. L'œuvre lui paraissait trop fataliste et défaitiste : « ...ces idées préconçues et ce mépris de l'Homme sont le fonds de commerce de Spengler... Il a tort de présenter Goethe, Schopenhauer et Nietzsche comme les inspirateurs de sa prophétie de hyène 5.» Karl Popper rédigea Misère de l'historicisme6 en réaction contre le principe spenglerien selon lequel il y aurait des lois historiques immuables. Le critique marxiste Georg Lukács

Mylène Steity 2m10 Français: Dissertation “ Ne pas se rendre au théâtre, c’est comme faire sa toilette sans miroir. “ Arthur Schopenhauer Le théâtre est un lieu de divertissement, qui de nombreuses années permet aux gens de se changer les idées, notamment par l’utilisation du comique. Il a pour but de transporter le spectateur dans un autre monde mais pas seulement. Il existe depuis la Grèce Antique un théâtre qui cherche à dresser « un miroir social » de la société. Ce reflet peut

C’est parce que l’homme est un être de désir qu’il ne se contente pas de ce qui est et transforme la réalité. Dans ce sens, l’énergie du désir est productrice. Si l’homme ne désirerait pas toujours plus, nous ne progresserions pas autant. . Pour Schopenhauer, la vie oscille sans cesse de la souffrance causée par le désir à l’ennui. « Le bonheur, toujours fugace, peut constituer un repos de l’esprit mais reste un repos éphémère, puisqu'il est sans cesse troublé par l'apparition de nouveaux désirs, lesquels

l'aide, il désirerait toujours plus, c'est-à-dire, qu'on fasse ses devoirs à sa place. Cet enfant désire, en fait, toujours quelque chose de plus grand que ce qu'il ne peut déjà obtenir. C'est dans la nature de l'Homme d'agir de cette manière. A. Schopenhauer, dans Le Monde comme volonté et comme représentation, (1818), écrivait « Mais le désir est-il rempli, aussitôt il en advient de lui comme de ces morceaux goûtés par nous et qui cessent d'exister pour notre sensibilité, dès le moment où nous les

2009 TABLE DES MATIÈRES Introduction 3 Visions discordantes 4 - Luther versus l’Église catholique romaine 4 - Luther versus l’Évolution de l’intellect 5 Influences et Évolution 7 - Schopenhauer et Wagner 7 - Nouvelles influences 12 - Autoportrait 14 Conclusion 15 Bibliographie 17 Introduction Martin Luther laissa une empreinte colossale sur la culture et sur l’histoire de l’Allemagne suite

soigneusement dessinées, dont les activités perturbent les opérations informatiques, et qui insiste avec obstination pour que les produits achetés fonctionnent. » Une telle attitude s'explique par la nature même des êtres humains qui, d'après Arthur Schopenhauer, « prennent les limites de leur propre vision pour les limites du monde. » À l'ère de la spécialisation, les travailleurs sont confinés dans leur compartiment et si obnubilés par leurs fonctions immédiates qu'ils ne peuvent percevoir le but

suffire à lui-même. Cette autosuffisance ne peut être atteinte qu’au sein de la cité, en commun avec les autres. Tel sera d’ailleurs le sens également du développement qu’Aristote fait sur l’amitié. Vous pouvez également vous reporter aux analyses de Schopenhauer indiquées plus bas lorsqu’il s’interroge sur la naissance de la société dans le rapport aux besoins. Dès lors, il semble bien que l’individu ait besoin des autres pour vivre. Faut-il alors penser que nous ne vivons que dans un rapport de dépendance

téléologique optimiste : Le bonheur serait le but 1. ARISTOTE : le souverain bien, condition : l’Etat, l’exercice de la vertu, la culture de la raison 2. Philosophie religieuses 3. Objections pessimistes a) Schopenhauer : Il est absurde de donner à la vie une multiplicité de fins b) Nietzsche : attention au danger des fins que l’on donne à la nature II . Critique de la notion de finalité : Sommes-nous faits pour quelque chose ? 1. Sartre

« Ne pas se rendre au théâtre, c’est comme faire sa toilette sans miroir » Arthur Schopenhauer Dans cet énoncé, Schopenhauer défend le fait de se rendre au théâtre, en lui attribuant une fonction essentielle. Il y a dans cette métaphore une forte valorisation de la représentation théâtrale ; en effet, l’auteur assimile la fréquentation du théâtre à un rituel d’hygiène quotidien, censé être accompli par tous. L’élément central de la métaphore réside dans la référence au miroir. Du mythe de Narcisse