Arthur Schopenhauer Maupassant

partir duquel on va juger du problème posé : on ne saurait discuter avec quelqu'un qui conteste les principes. Contra negantem principia non est disputandum. (de) L'art d'avoir toujours raison (titre original Eristische Dialektik) (1830), Arthur Schopenhauer (trad. Dominique Miermont), éd. Mille et une nuits, 1998 (ISBN 978-2-84205-301-7), p. 21 La seule parade sûre est donc celle qu'Aristote a indiquée dans le dernier chapitre des Topiques : ne pas débattre avec le premier venu, mais uniquement

PHILOSOPHIE 1) Le problème philosophique, c’est ce qui a rendu l’écriture d’un tel texte nécessaire. Schopenhauer a voulu clarifier ce qui distingue l’homme des animaux. C'est-à-dire qu’il a considéré que notre étonnement, notre conscience, notre réflexion sont confus, et donc a voulu établir un lien entre ces éléments pour définir ce qu’est qu’avoir un esprit philosophique. La conscience de la mort et le savoir de l’existence semble bien être l’apanage des hommes. Si un monde était parfait

est-il possible de combler tous les désirs ? Et nous les comblons, ne serait-on pas malheureux de ne plus rien désirer ? Nous vivrons dans l’ennui et la lassitude. « La vie oscille comme un pendule de droite à gauche, de la souffrance à l’ennui » (Schopenhauer) : La souffrance due au désir inassouvi et à l’ennui du désir comblé ou absent. Cette vision, bien qu’un peu pessimiste de la vie, caractérise les traits d’un cercle vicieux du désir selon lequel nous sommes tourmentés par nos désirs.

Sujet 1 : Peut-on désirer l’impossible ? Il existe des impossibilités de plusieurs ordres, d'abord l'impossibilité physique, selon les lois de la physique, puis l'impossibilité corporelle, selon les limites du corps, l'impossibilité morale, l'impossibilité juridique et l'impossibilité logique. L'impossible ne peut se produire ou être réalisé, donc à priori, il semblerait évident qu'on ne puisse pas le désirer. Pourtant, le désir est contradictoire, il est la recherche d'un objet que

l’ataraxie, l’absence de troubles dont le modèle est l’impassibilité divine. Platon ne partage pas ce point de vue car pour lui il y a une positivité du plaisir. II L’absence de douleur positive est source de plaisir et gage de bonheur Pour Arthur Schopenhauer, les plaisirs n’apparaissent jamais qu’en contraste avec un état de souffrance, et ne constituent pas une donnée réellement positive pour les êtres "en mouvement" et désirant. Le plaisir peut constituer tout au plus un repos de l’esprit mais

nature va être poussé à combattre ses semblables. Va faire la guerre pour différents motifs : L'impérialisme ou la volonté de puissance étatique, la jalousie des biens d’autrui, etc… Mais à chaque fois -> Philosophe pessimistes : L (Montaigne, Arthur Schopenhauer, Giacomo Leopardi, Nietzche, Cioran…) : Ne croit pas en le progrès de l’Homme. Pour eux, l’homme est condamné à s’entretuer à travers la guerre, sans espoir de progresser. -> Origine biologique de l’Homme (article de William James) : L’homme

dans le domaine d'ouvrage « à conseil » et prise avec du recul, peut s'appliquer à de nombreuse citations. De plus, ce « traité » fut le pnoit de départ pour de nombreuse œuvres avec un même but, comme par exemple L'art d'avoir toujours raison de Schopenhauer.

satisfaction, rendant celle-ci impossible, crée de la frustration. La frustration est donc déception, échec, insatisfaction, privation. Celle-ci peut mener vers la souffrance, qui est, selon la religion Bouddhiste, la seule et unique conséquence du désir. Schopenhauer poursuit dans cette voie la en disant : « Pour un désir qui est satisfait, dix au moins sont contrariés », ce qui revient à dire que le désir ne serait que frustration et souffrance. Dans ce cas la l’objectif ultime pour l’homme sera donc de se

Arthure Schopenhauer est né le 22 février 1788 à Dantzig, d'un mariage célébré en 1785 entre Johanna Henriette Trosiener, âgée alors de 19 ans, et de Henri Floris Schopenhauer qui en a 38. Son père veut faire de lui commerçant, tout comme lui, du fait de l’aisance et de la liberté que la carrière commerciale procure, ainsi que l’exercice qu'elle donne à toutes les facultés intellectuelles. Souhaitant aussi, fort intelligemment, en faire un citoyen du monde, il le prénomme Arthur, ce prénom étant

tempérante et le morale doit être objectif. Le désir est-il alors souffrance ? Le désir est long, il est anéantit par la satisfaction, alors nous revenons au point initial, retrouver du plaisir, après une quête de désir. L’exemple de Schopenhauer avec le mendiant reflète exactement ce problème : donner l’aumône à un mendiant, elle lui sauve la vie aujourd’hui pour prolonger la souffrance demain. Mais nous sommes pourtant satisfaits, puisque nous avons fait plaisir à autrui. Nous sommes