Artisanat de tranchée

EURO Source (vases) Source L’artisanat de tranchée, appelé aussi « Art du Poilu » ou « Art des tranchées » – Trench Art par les anglophones se développe dans les tranchées de la guerre de 1914-1918, des soldats ont développé d’étonnants savoir-faire pour fabriquer des objets  à partir de vestiges de la guerre tels que des balles et des douilles d’obus jetées. Cette production était un passe-temps populaire et beaucoup de spécimens ont survécu à la guerre. Les soldats de toutes les puissances combattantes

L'artisanat des tranchées Thématique : arts, technique et expressions. Époque : XXème siècle. Domaine artistique : l'artisanat. Problématique : comment l'artisanat peut-il témoigner d'un contexte historique ? Dans les tranchées et dans les campements de l'arrière de la Première Guerre Mondiale, la vie quotidienne est assez monotone. Dans l'attente du combat, les Poilus s'occupent à l'entretien de leur équipement, lisent, écrivent, font du sport, réparent et nettoient leur vêtements

La Bijouterie des Tranchées     La « bague des tranchées » a fait longtemps fureur. Ce léger cercle d'aluminium, orné de ciselures ou de chiffres enlacés, que l’on portait, à l'arrière, en souvenir de celui qui se bat au front. Ils furent fabriqués sous le feu de l'ennemi, éclos en pleine tourmente et nés de la seule ingéniosité de nos soldats, ils ont, ces « bijoux de poilus », quelque chose d'original, assurément, d'étrange et de mystérieux. Rien n'était pourtant plus authentique que l'origine

La vie dans les tranchées a été horriblement dure : le danger permanent, le froid hivernal, les rats, les poux, les odeurs nauséabondes, l’absence presque totale d’hygiène et le ravitaillement mal assuré, ainsi que la pluie et la boue, qui ont été de grands ennemis pour les soldats. L'enfer des tranchées reste difficilement imaginable: les combats sporadiques, les gazages, les pilonnages toujours plus violents, les attaques au lance-flammes mais surtout la peur, omniprésente. "Ce que

s’inscrit dans la durée, précise le cadre temporel : 1914-1918 - soldats soumis à une violence sans précédent et à l’horreur des tranchées. Problématique : Comment les soldats, soumis à des conditions de vie terribles, ont-ils combattu et tenu durant la Première Guerre mondiale ?  Plan : Malgré une violence inédite des combats et une vie insoutenable dans les tranchées, les soldats de la Première Guerre mondiale ont su trouver les ressources pour survivre et tenir durant ces quatre années.

L’expérience combattante au front : 1914-1918 Analyse du sujet : « Expérience combattante » : la manière dont les soldats combattent, survivent et tiennent au front ; la façon dont ils vivent au quotidien la guerre. « Front » : en référence aux tranchées, à la guerre de position ; lieu où les deux armées adverses se font face et s’affrontent. 1914-1918 : la Première Guerre mondiale. La Première Guerre est mondiale et totale, mais on s’attache à présenter la vie des militaires au front, pas celle

Le Quotidien des Tranchées La guerre dans laquelle la France s'engage en août 1914 n'est pas la guerre courte à laquelle chacun s'attendait. Elle s'avère être une guerre de quatre ans de combats au prix de terribles sacrifices des soldats ; Ces derniers côtoient la mort au quotidien dans l'enfer des tranchées, ce qui vaudra à cette guerre le surnom de "Grande Boucherie" Mais l'épreuve est aussi douloureuse pour les civils restés à l'arrière, confrontés à d'importantes difficultés matérielles et

 Existe-t-il des moyens de soulager la souffrance des combattants ? Sur un front de 800 kilomètres s'étendaient les tranchées.La tranchée n'a pas uniquement modifié le déroulement de la guerre, elle a également changé les hommes et leur façon d'y survivre.Dans ce type nouveau de conflit, il faut des soldats endurcis, solides psychologiquement,moralement pour résister aux nombreux fléaux que sont la boue, les intempéries, l'attente, le manque d'hygiène

noires, économisent sous par sou pour envoyer des colis aux soldats. Dans un village de Lot-et-Garonne, Toinette expédie des pâtés à l'officier du régiment où son mari a été affecté, dans l'espoir que l'époux soit muté loin du front. Depuis les tranchées, précisément, des poilus donnent des consignes à leur épouse par lettres. Cet agriculteur de Saint-Alban, dans le Tarn, s'inquiète… pour sa jument, « Il faut la faire travailler », et pour les travaux : « Vous me dites que vous n'êtes pas en retard

Quand il pleuvait, les tranchées se remplissaient de boue et les soldats étaient couverts de boue, des pieds jusqu’à la taille. En hiver, quand les soldats se réveillaient, ils étaient gelés. De gros rats transmettaient des puces. Les poux, surnommés "les totos", étaient partout, dans les pantalons, dans les vestes. Les soldats mangeaient des légumes, une portion de viande et un casse-croûte (ils avaient double ration car ils devaient tenir 24 heures). Leurs plats étaient souvent froids à cause