Atomisme

on peut dire avec Dumont que la modernité s’entend comme « systèmes d’idées et de valeurs caractéristiques des sociétés modernes. Pour cet auteur, avec la naissance de l’Etat à partir du XIIIe siècle, des expressions comme « individualisme », « atomisme », « sécularisme » servent désormais à caractériser la société moderne par rapport aux sociétés de type traditionnel. En tout état de cause, il faut noter qu’il va du moderne comme du neuf. D’ailleurs, dans son sens premier, celui du latin « modernus

et à l'idée de justice qui en est solidaire, c'est, d'après Ricœur, la capacité de lier organiquement les hommes entre eux ; le droit (comme l'avait admis Kant) se borne à séparer le mien du tien. L'idée de justice souffre essentiellement de cet atomisme juridique. La faille qui affecte la société entière en tant que système de distribution devient chez Hegel infirmité insurmontable. La personne juridique reste aussi abstraite que le droit qui la définit32. C'est précisément à l'opposé de ce lien

leur méthodologie. La disparition de cette exception épistémologique négative a suscité des résistances et des rejets souvent liés à des malentendus ou déformations assimilant assez arbitrairement l'individualisme méthodologique à un « atomisme logique » ou un psychologisme tendant à réduire la société à une simple sommation d'individus isolés — voire à un douteux accompagnement idéologique de la vogue passagère de l'individualisme libéral luimême réduit à la plate apologie d'un homo

Cours de Sciences Sociales de M. PIAZZA. L1 section B, Université de Cergy-Pontoise Sciences sociales Introduction générale I/Quel est l’objet des sciences sociales ? A/l’opposition entre réalisme sociale et atomisme sociale Les sciences humaines ont un objet d’étude particulier : l’Homme. Cet Homme prit pour objet d’étude, ne peut être étudié de la même façon qu’un objet physique (table) ou qu’un animal/végétal. Au sein des sciences humaines, les sciences sociales se distinguent de la

un besoin impératif de ca produit, elle va s’acheter d’autres produits moins chers à la place pour conserver son pouvoir d’achat. P : prix. La baisse de la demande M est fonction de m qui est fonction de P. L’individualisme méthodologique c’est un atomisme social. Boudon ne pense as ça, les individus ne sont pas du tout pensés dans leur isolement. Au contraire l’individualisme méthodologique débouche sur une vision interactionniste de la société. L’acteur social se meut dans un contexte social qui

fait que le monde est du au hasard → Democrite : « Il s'agit de chercher l'origine de l'Homme dans des arrangements produits de façon fortuite par des éléments ». On pense comme élément premier de la réalité l'atome = ce qui peut être coupé, divisé. Atomisme antique , matérialisme antique : les atomes se sont assemblés par hasard. Les formes observées sont le résultat de l'agrégat fortuit de ces atomes. C'est le hasard qui préside la formation de ces ensembles. Lucrece : De natura rerum : « Ce n'est

Newton, Leibniz), malgré le grand nombre d'ouvrages scientifiques (voir par exemple Johannes Hartmann), d'expériences et de découvertes qui se succèdent. L'alchimie en déclin laisse place à la théorie du phlogistique et à la chimie pneumatique. Atomisme et phlogistique Pierre Gassendi (1592 - 1655) reprend en 1624 les théories atomiques de l'Antiquité et précise la notion d'atome et en 1620, Francis Bacon, qui publie Novum Organum, prend parti pour l'atomisme. Georg Ernst Stahl (1659 - 1734) crée

intégrant et/ou s’adaptant à ces différentes cultures. En philosophie particulièrement, tout le spectre des positions et options possibles a, à un moment ou l’autre, été l’objet d’élaborations et de débats. Il a donc connu son « réalisme », son « atomisme », son « nominalisme », etc. L’hindouisme, dont le bouddhisme est issu, présente lui aussi une telle variété. Pareillement, et à l’instar de la scolastique occidentale, toute philosophie s’inscrit dans le cadre de la religion. Plus précisément

intégrant et/ou s’adaptant à ces différentes cultures. En philosophie particulièrement, tout le spectre des positions et options possibles a, à un moment ou l’autre, été l’objet d’élaborations et de débats. Il a donc connu son « réalisme », son « atomisme », son « nominalisme », etc. L’hindouisme, dont le bouddhisme est issu, présente lui aussi une telle variété. Pareillement, et à l’instar de la scolastique occidentale, toute philosophie s’inscrit dans le cadre de la religion. Plus précisément

intégrant et/ou s’adaptant à ces différentes cultures. En philosophie particulièrement, tout le spectre des positions et options possibles a, à un moment ou l’autre, été l’objet d’élaborations et de débats. Il a donc connu son « réalisme », son « atomisme », son « nominalisme », etc. L’hindouisme, qui partage un certain arrière-plan philosophique avec le bouddhisme, présente lui aussi une telle variété. Pareillement, et à l’instar de la scolastique occidentale, toute philosophie s’inscrit dans