Autrui

être autre chose que moi-même ? Etre soi-même, c'est d'abord être son être propre, authentique, pensant et agissant librement et non comme les autres. Être soi-même, c'est être le sujet de ses pensées et actions et non en train de copier, d'imiter autrui. Se pose donc la question de la coïncidence avec soi-même sans contamination par la personnalité d'autrui. Etre soi-même, c'est ne pas être aliéné puisque l'aliénation est la perte de soi dans un autre. Dans l'aliénation mentale, par exemple, le fou

peut se reconnaître comme être pensant et conscient, s’améliorer, se perfectionner dans la solitude, le retrait, mais bien au sein d’une société donnée, avec les autres. Elle lui permet par la comparaison, la compétition, de se confronter à autrui et de progresser (la compétition, obéissant à des règles définies et égales pour tous, se révèle stimulante et bénéfique) Cependant, elle peut conduire au conformisme (des individus parfaitement adéquats aux valeurs communes) si bien qu’une

donc aussi bien être la révélation que le voilement de la vérité. Quelle vérité ? Celle de l'inconscient, celle des déterminations sociales ? Le sujet sous-entend la question de la pensée : nos paroles trahissent notre pensée, nos idées, et trompent autrui qui va alors juger injustement nos idées. Mais en disant plus que ce que nous voulions qu'elles disent, les paroles nous trahissent-elles vraiment ? Ne montrent-elles pas au contraire avec plus de justesse ce que nous sommes ? La non-maîtrise de la

les spectacles offerts par la ville. * L’homme solitaire qui se fond dans la foule qu’on retrouve dans « À une passante ». Petits poèmes en prose « Les Foules » - « prendre un bain de multitude, joui de la foule et un art ». « être lui même et autrui » - « universelle communiant » qu’on retrouve dans « A une passante » , « Les Aveugles » / « Les veuves » , « La Belle Dorothée » . * Le créateur qui invente un monde. Il se présente comme un architecte et un créateur dans « Paysage » et « Rêve

la prise de parole 3- Les techniques de la prise de parole 4- Conclusion 1-Comprendre la communication • Définition de la communication : La communication est l'action de communiquer, d'établir une relation avec autrui, de transmettre quelque chose à quelqu'un. Elle peut aussi désigner l'ensemble des moyens et techniques permettant la diffusion d'un message • Pourquoi communique t-on ? la communication permet d’abord de découvrir qui nous sommes et connaitre

chose, de faire appel à sa raison. Recourir à celui-ci c'est chercher à échapper à une situation par le dialogue. Or il existe une violence verbale. De même l'intention de recourir à laviolence (appel au meurtre par exemple) peut être transmise à autrui par le langage. L'opposition que la question met en avant ne semble pas se vérifier dans notre expérience empirique des rapports entre les êtres humains. Comment le recours audialogue pourrait-il mettre fin à toute volonté de violence si celle-ci

moral n a aucun contenu elle a une forme c est l universalité. Il faut que je puisse universaliser ma maxime par ex si je fais une promesse je dois la tenir car si tout le monde fait comme moi le monde n a plus aucun sens De plus je dois considerer autrui comme une fin avant de le considérer comme un moyen. Par ex je dois dire bonjour au chauffeur de bus. Mais surtout je dois décider par moi-même de ce qui est moral ou pas je ne dois pas juste obéir. Le devoir moral commande-t-il toujours Le devoir

vitres brisées, les groupes de jeunes impolis et parfois agressifs assemblés au pied des immeubles. L'ordre en public se loge dans le respect des civilités (politesse, déférence, respect d'autrui), dans la négociation des entrées en relation avec autrui, bref, dans l'affichage du caractère pacifique de la personne. Dans la civilité se jouent les droits et les devoirs concrets de l'individu. Avec les incivilités, c'est le lien qui réunit les membres d'un ensemble qui se trouve questionné. Qu'est-ce

conscience de ses faits et gestes, il peut donc se prendre lui même comme objet de réflexion et s'analyser. On dit souvent "je suis moi-même" c'est-à-dire qu'être soi-même est d'assumer son originalité. Quand à la solitude, c'est une éclipse des liens avec autrui, l'isolement en est la privation. Nous allons donc nous demander : Est-ce dans la solitude que l'on prend conscience de soi? Dans un premier temps nous allons nous pencher sur une réponse positive à la question, c'est-à-dire que la solitude favorise

Supposons donc la présence d'autrui tel un repère contre la solitude. Autrui offre d'abord un repère social et, à l'inverse, la solitude est déshumanisation. Roquentin dans La nausée de Sartre, note qu’à force de refuser le contact des autres, il sent qu'il perd son éloquence, il semblerait que sa vivacité mentale ne se développe qu’au contact immédiat des hommes. La présence d'autrui est donc la marque de notre humanité. Si autrui par sa présence physique permet d’obtenir des repères sociaux et de